CANCER : OÙ EN EST-ON ?
Depuis
1980, le cancer a progressé de 64 % en vingt ans (bilan
établi par les autorités sanitaires françaises)
et c'est la première cause de mortalité chez les
moins de 65 ans. La mortalité infantile, indicateur de
la pollution radioactive, augmente de nouveau dans le monde. Environ
3,2 millions cas de cancer ont été diagnostiqués
en 2006, contre 2,9 millions en 2004. Le nuage radioactif de la
catastrophe de Tchernobil (1986) a contaminé un tiers de
la population européenne. Le nombre de décès
par cancer s'élève à 1,7 million en 2006,
soit 20 ans après.
Nous constatons aujourd'hui encore l'ampleur du fiasco : le
nombre de cancéreux va en augmentant
tous les ans, alors que, depuis 50 ans, la recherche sur le cancer
piétine. Le scandale de l'ARC
(escroquerie à la charité par détournement de fonds)
n'explique par tout. Le tabac et l'alcool sont souvent incriminés,
mais avec de l'amiante dans l'isolement, des nitrites dans l'alimentation
industrielle, la pollution de l'eau par les PCB, les pesticides,
herbicides et défoliants venant des industries chimiques
(la pétrochimie), de la radioactivité venant de
l'industrie nucléaire cela va en augmentant malgré
le plan anti-cancer lancé par le gouvernement
Chirac le 24 mars 2004 car il n'y a aucune politique de prévention
sérieuse. La Ligue anti-cancer est
mal informée pour faire de la prévention. Où
va l'argent du "plan cancer" ?
En France, au moins un cancer sur dix trouve son origine dans
l'activité professionnelle
Le
cancer est la première cause de mortalité en France,
devant les maladies cardiovasculaires. (INSEE, 29 nov. 2019).
Mortalité par le cancer : 157 000 en 2019.
Aujourd'hui, 430 personnes meurent chaque jour du cancer en 2020
(selon l'ARC). C'est deux fois plus que par la covid-19 (80 000
décès en 2020). Depuis 20 ans on note un accroissement
des lymphomes malins (les lymphomes ganglionaires sont les plus
fréquents) en cause, les facteurs chimiques et ionisants
de l'environement.
Dans
le monde, le cancer a progressé encore, surtout chez les
femmes (+ 93 %). En avril 2003, l’OMS
a déclaré qu’elle s’attendait à
ce que le taux mondial de cancers augmente de 50 % d’ici
à 2020.
1500 Américains meurent chaque jour du cancer. Ces chiffres
prouvent que la recherche médicale ne suffit pas pour éradiquer
ce fléau. La recherche des causes (ou étiologie)
n'est pas l'obsession de la recherche médicale.
Pourtant il suffirait d'un peu de bon sens pour trouver les causes.
Une bonne campagne de prévention orchestrée
au niveau national ou même mondial permettrait d'éradiquer ce
fléau.
Parmi
les catégories ouvrières, un cancer sur cinq est
d'origine professionnelle.
On recense au total 15 à 20 000 nouveaux cas de cancers
professionnels chaque année en France. Les substances ou
agents à l'origine de cancers sont nombreux et largement
présents dans le monde du travail, et la médecine
du travail reste impuissante !
Parmi les produits cancérigènes
les plus fréquemment utilisés, huit produits
représentent 2,2 millions d'expositions dans le cadre professionnel
: amiante, benzène, perchloéthylène, trichloéthylène,
éthers de glycol, huiles minérales, pesticides,
désherbants, goudrons, gaz d'échappement diesel
et silice cristalline.
Les maladies professionnelles ne sont pas toutes déclarées
Des
milliers de salariés sont intoxiqués au travail
par les produits chimiques présents dans beaucoup d'entreprises.
En France, 50 000 salariés sont exposés à
des agents chimiques cancérigènes ou mutagènes
ou repro-toxiques ou les trois à la fois (CMR)
: amiante, gaz, effluents radioactifs, poussières, fumées
toxiques. En France, environ 2 000 cas de cancers professionnels
sont déclarés chaque année, mais en réalité
il y en aurait deux fois, voire trois fois plus. Souvent, les
travaux dangereux de nettoyage avec des solvants et des détergents
sont confiés à des intérimaires.
Dans la nouvelle réglementation européenne REACH,
trop mal connue, on ne peut espérer de grands progrès.
On recherche
des produits de substitution mais on n'a pas l'assurance qu'ils
seront moins nocifs. Cette situation alarmante n'est pas pour
autant une fatalité. Les cancers provoqués par les
produits industriels sont évitables, ils devraient être
sévèrement taxés et pénalisés.
Plus que jamais, mieux vaut prévenir que guérir
et surtout mieux vaut agir vite. Il en va de notre santé
à tous.
Une
chercheuse, spécialiste des cancers professionnels, refuse
la Légion d'honneur décernée par la ministre
du Logement, Cécile Duflot, pour dénoncer l'"indifférence"
qui touche la santé au travail et l'impunité des
"crimes industriels". En Europe, les cas de cancer sont
en progression et la mortalité liée au cancer est
assez stable en France depuis l'an 2000... Après ablation
de la tumeur, le cancer récidive pour 85 % des cas (seulement
15 % des cas n'ont pas de récidive dans les 5 années).
Autant dire que les traitements sont peu satisfaisants.
« Prévenir vaut mieux que guérir »
Le
cancer résulte d'une série d'agressions sur l'organisme
et la sommation des effets finit par déclencher inexorablement
la maladie, même si des différences génétiques
"subtiles" conduisent à des variations individuelles
de sensibilité. Il faudrait mieux se protéger des
produits chimiques, industriels tel que l'amiante, les pesticides,
défoliants, désherbants (glyphosate),
des fumées d'incinérateurs (ou dioxines),
des radiations (radioactivité, champs électromagnétiques
intenses des lignes haute tension, mais il y a d'autres facteurs
favorisants bien connus, par exemple alimentaires de type industriel
contiennent des substances cancérogènes, les additifs
(sels nitrés ou nitrites) des charcuteries
qui forment des nitrosamines. Evitez aussi la graisse animale
carbonisée (barbecue, fritures). Par contre, les légumes
crus et les fruits frais sont très recommandés (surtout
le chou cru). Une enquête parue en juin 2004 dans Sciences
& Vie dénonce les facteurs environnementaux (dioxines,
pesticides, ondes électromagnétiques des lignes
à haute tension) et les produits chimiques contenus dans
les produits ménagers courants, les cosmétiques
et même les médicaments.
Le silence sur les travaux du Docteur A. Gernez. La preuve du Complot
Mondial (vidéo).
Que disait-il en 1967, et que s'est-il passé ?
Il n'y a pas de campagne de prévention efficace. Un vrai scandale !
Une bonne compréhension du mécanisme
de la cancérogénèse implique des mesures
de prévention. Prévention ne veut pas dire
dépistage : la confusion n'est pas anodine. En dehors de l'usage
abusif du tabac et de l'alcool, la radioactivité
reste la cause honteusement cachée dans les rapports officiels.
Le cancer du sein est le plus fréquent,
devant le cancer du poumon (selon le CIRC),
et celui de la trachée, du larynx, de la prostate, de l'intestin,
de la peau. Des milliers de femmes en sont atteintes (plus
d'une femme sur dix en France) ou du col de l'utérus,
cancers qui sont sans doute liés à des traitements
hormonaux dont les doses étaient trop fortes au début.
Le facteur de risque imputable à la prise d'hormones œstrogènes
est enfin reconnu dans le traitement hormonal substitutif (œstro-progestatifs)
à l'approche de la ménopause.
Y a-il un risque à prendre régulièrement
la pilule contraceptive, bloquant artificiellement le cycle menstruel,
avec un risque accru en cas de puberté précoce,
de première grossesse tardive ou d'absence de grossesse
? Le dépistage systématique des cancers du sein
n'a pas fait vraiment reculer la maladie, preuve que, sans prévention,
on est dans l'erreur, car le cancer est dépisté
entre 5 à 8 ans d'évolution (près d'un milliard
de cellules), et c'est déjà trop tard. Explication
:
Cancérogénèse
Le
cancer est consécutif à un dérèglement chromosomique
par mutation génétique. Connaître le facteur déclenchant
est capital pour éclaircir le mystère des mutations génétiques
qui ont des causes bien réelles. Le point qui échappe encore aux
chercheurs peut être expliqué mathématiquement. Dans n'importe
quel tissu organique, si toutes les cellules se divisaient, on
parlerait de prolifération, le volume et le poids augmenteraient
de façon exponentielle, et nous savons bien qu'il n'en
n'est rien. Notre poids reste constant d'année en année.
Comment le tissu se régénère-t-il tout en
maintenant un nombre constant de cellules ? Tout simplement, une
cellule sur deux se divise (mitose)
pour que le volume et le poids restent constants. Il y a donc
des cellules programmées pour mourir sans se diviser et d'autres
programmées pour se diviser en deux cellules-filles et ainsi régénérer
l'organisme. Au lieu de cela, on voit encore écrit que
"la cellule, à l'état normal, est programmée
pour se diviser, puis mourir." (Sciences & Avenir,
sept. 1997) ... ça fait sourire !
Logiquement, une cellule sur deux est fonctionnelle mais s'épuise
et meurt ; la division cellulaire est
prévue pour l'autre type de cellule afin de régénérer sans cesse
le tissu organique. La vie a pensé à tout. Pendant la croissance
de l'organisme, l'hormone de croissance fait les ajustements nécessaires.
De son côté, le système immunitaire veille. Les cellules mortes
sont détruites puis éliminées.
Si la fonction est réglée dans les gènes,
il suffit d'une mutation génétique pour que toutes les cellules
se divisent. Qu'observe-t-on alors ? Une prolifération cellulaire,
un nouveau tissu qui se développe : une néoplasie...(un "néo",
disent les médecins qui ne veulent pas effrayer leur malade).
La réaction du système immunitaire est d'éliminer
la cellule cancéreuse. Quand il y en a trop, le cancer
peut se développer ! Un cancer se développe en trois
ans (mille cellules cancéreuses), il devient irréversible
au bout de 5 ans (1.000.000 cellules), et au bout de 8 ans il
compte 1 milliard de cellules. C'est à ce moment-là
qu'il est dépisté. Trop tard, parfois !
Des recommandations
pour la prévention du cancer arrivent enfin sur le
web !
La vocation de la médecine n'est pas orientée
pour faire de la prévention mais pour soigner, traiter. En fait,
elle ne cherche qu'à stopper la tumeur chimiquement et
à l'éradiquer chirurgiquement. Les campagnes pour
le dépistage précoce de
cancers visent à traiter avec de bonnes chances de guérir.
Mais, en général, quand la tumeur est dépistée,
c'est déjà trop tard ! D'où l'intérêt
de savoir comment éviter ce qui cause les mutations génétiques.
Mais qui s'en soucie ? Au lieu de cela, on cherche dans les gènes
et quelqu'un a prétendu avoir découvert le gène
du cancer (sic), "le gène de l'immortalité
cellulaire, le morf4" (Science, 9/01/98). "Ce
gène est activé ou désactivé, et on
cherche où exactement et comment"...
Passé
l'an 2000, les essais de thérapie génétique
concernent en majorité le traitement des cancers. La recherche
d'une thérapie génique
tente d'agir sur les lymphocytes pour forcer
ces cellules à détecter et phagocyter
les cellules cancéreuses. Mais le système immunitaire
a ses limites. Après l'annonce de "vaccins génétiques"
anticancéreux, sorte de stimulants des défenses
naturelles de l'organisme, des essais thérapeutiques ont
été réalisés sur des personnes souffrant
de mélanome (cancer de la peau). On attends les résultats.
Il parait que ces expérimentations sont décevantes,
et on est loin de réaliser ces "vaccins génétiques"
issus des Organismes Génétiquement
Modifiés (OGM).
Dans
le domaine du cancer, différentes approches qui se combinent
aux méthodes traditionnelles de chirurgie, chimiothérapies
et radiothérapies sont à l'étude, à
travers des essais de phases 1 et 2 principalement : destruction
des cellules tumorales grâce à l'utilisation de gènes
suicides ou de gènes codants pour des facteurs anti-angiogéniques
(qui empêchent la vascularisation, et donc l'alimentation
de la tumeur); stimulation du système immunitaire par transfert
de gènes codants pour des cytokines ou des antigènes
spécifiquement associés aux tumeurs (qui permettent
au système immunitaire de «voir» les cellules
tumorales et de les éliminer). Dans la mesure où
elles visent à rééduquer le système
immunitaire, ces méthodes se rapprochent énormément
des vaccins. C'est pourquoi on parle aussi parfois de «vaccin
anti-cancer». Le virus MVA, dérivé de la vaccine,
est ainsi utilisé comme vecteur dans des essais d'immunothérapie
des cancers par thérapie génique. Mais, administré
seul, il est aussi employé comme vaccin antivariolique
chez des patients immuno-déprimés. La frontière
est encore plus mince en ce qui concerne la thérapie génique
des maladies infectieuses. On peut faire transporter aux poxvirus
les gènes codants pour certaines protéines de micro-organismes.
Les protéines seules ne déclencheraient pas de réaction
immunitaire. C'est la présence du vecteur qui la suscite,
protégeant ainsi les patients contre ces micro-organismes.
A condition que l'efficacité et la sécurité
progressent encore (mise au point de systèmes d'expression
inductibles, adjonction d'un gène suicide), la thérapie
génique a donc de beaux jours devant elle, mais pas forcément
là où on l'attendait au départ (guérir
les myopathes) !
On
arrive maintenant, avec la stratégie du ciblage moléculaire,
à repérer la mutation génétique à
l'origine du cancer. Cela permet d'identifier l'enzyme synthétisé
sous l'égide du gène détérioré
qui joue un rôle important dans le processus de cancérisation...
Reste ensuite à le neutraliser !
Des scientifiques du Projet Génome Humain ont identifié
les mutations liées aux cancers et plus d'un millier de
mutations génétiques affectent les gènes
d'une enzyme, la kinase. (revue Nature, 08/03/2008)
Les
anticancéreux se multiplient depuis 1998, où l'on
annonçait moins d'opérations de la prostate grâce
à un médicament modifiant le métabolisme
de la testostérone, le finastéride. Par rapport
aux anciennes chimiothérapies, des médicaments anti-tumeur
de nouvelle génération, comme le Glivec
ou l'Herceptin, semblent plus efficaces, car plus ciblés
et moins toxiques en s'attaquant à une protéine
de la cellule cancéreuse sans atteindre la cellule saine
(sans effets secondaires). Le laboratoire Novartis a présenté
le Glivec ainsi : "En utilisant le
ciblage moléculaire, il n'attaque que les protéines
responsables du dérèglement des cellules cancéreuses
et épargne les cellules saines." Des espoirs sont
permis depuis que ce nouveau médicament est mis sur le
marché européen. Par contre,
au sujet du Taxol, il y a eu de fortes déceptions
chez les médecins américains : ses effet sont presque
nuls et sa toxicité pour la moelle osseuse est considérable.
Dans Le Point du 26 Octobre 2001, nous
apprenons que les résultats sont jugés satisfaisants
! Les comprimés de Glivec
seraient peu toxiques pour l'organisme, mais réservés
à certains cancers rares. On y parle aussi du Napac (dérivé
du napa) comme substance expérimentée par les chercheurs
et les premiers résultats semblent encourageants pour les
tumeurs du cerveau : il bloque la multiplication des cellules
cancéreuses et les pousse même au "suicide"
et, de plus, il empêcherait l'angiogénèse.
Mais, gros inconvénient, le traitement doit être
suivi à vie, d'où son coût élevé,
et cela fait douter de son efficacité !
Le Cancer est une maladie moderne liée à l'ère atomique
Les essais nucléaires atmosphériques et souterrains
comportent des retombées radioactives qui ont entraîné
la dispersion d'énormes quantités de césium
137 radioactif, de strontium 90 et d'autres isotopes cancérigènes
sur l'ensemble de la planète, et s'ils ont été
terriblement préjudiciables à l'environnement et
à la santé dans les zones d'essai, tout notre environnement
est plus ou moins contaminé.
Actuellement, la dose maximale admissible est fixée à
1 millisievert (mSv) pour la population, et 20 mSv pour les salariés
du secteur nucléaire. Des limites contestées par
le Comité européen sur le risque de l'irradiation (CERI),
soutenu par le groupe des Verts au Parlement européen,
qui préconise de fixer à 0,1 mSv pour la population
et à 5 mSv pour les salariés du nucléaire,
la dose maximale de rayonnement liée à l'activité humaine.
C'est la preuve que les salariés sont mal protégés !
Aujourd'hui, un modèle mathématique doit être
élaboré afin d'évaluer les risques pour de
faibles doses de rayonnements ionisants. Le risque est sous-évalué
parce qu'invisible. "Soyons plus prudents", affirme
le CERI contestant les modèles "basés sur des
calculs de moyennes" au niveau d'un organe ou du corps entier.
Il y a un effet accumulateur qui ne pardonne pas !
Les armées US ont utilisé de l'uranium appauvri
en Yougoslavie, Irak, Afghanistan, les vétérants
de ces guerres en reviennent malades et les pays rendus invivables.
Les grandes puissances ont procédé pourtant à
des centaines d'essais
nucléaires dans l'atmosphère et dans les atolls
océaniques, et la catastrophe de la centrale de Tchernobyl
a répandu en Europe un énorme nuage radioactif provoquant
de nombreux cancers et malformations congénitales. Celle
de Fukushima a été
encore plus catastrophique et toute la chaine alimentaire va être
contaminée, à commencer par les molusques et les
animaux marins... Nous sommes prévenus contre les expositions
prolongées aux rayons solaires, mais rarement contre la
radioactivité environnementale
(retombées d'essais nucléaires, rejets de l'industrie
nucléaire, catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima), source
de nombreux cancers des poumons ou de la peau. Les autochtones
et les militaires irradiés font les frais des essais nucléaires
en Polynésie française. Les responsables de l'Etat
militarisé ne veulent jamais reconnaître leurs tords.
Des leucémies ont apparu dans la population proche de La
Hague. Naturellement, avec des rejets en mer. Maintenant, on apprend
que les pesticides, largement utilisés
en agriculture moderne productiviste,
et présents dans l'alimentation, sont aussi cancérigènes,
donnant des lymphomes !
L'OMS
parle aussi de prévention
et conseille de changer nos habitudes alimentaires...
(Les
aliments à éviter).
Mais cela ne suffit pas ! Partout, cette maladie mortelle progresse
depuis 50 ans. Pourquoi ?
- D'abord à cause de la pollution radioactive planétaire.
L’atmosphère est contaminée partout dans le
monde à la suite des essais nucléaires, de l'utilisation
de l'uranium appauvri par les armées US et des rejets en
mer de déchets nucléaires.
Des spécialistes ont étudié la question.
Il suffit d’une année pour que le mélange
se fasse complètement dans l'atmosphère, avec le
brassage des vents et des tempêtes. Nous avons de gigantesques
tempêtes d’un million de miles carrés qui transportent
des millions de tonnes de poussières et de sable chaque
année dans le monde. C’est un sujet vraiment inquiétant.
Aujourd’hui, le total de ces radiations représente
l’équivalent de 400 000 bombes de Nagasaki.
La disparition des abeilles et des guèpes en sont en partie
la conséquence. Les océans reçoivent tout
ce que les pluies, la neige, le brouillard leur amènent
depuis l’atmosphère. L’hécatombe mondiale
de grenouilles est certainement en rapport avec la radioactivité
dans l’eau de pluie. C’est un holocauste nucléaire
planétaire qui affecte tous les êtres vivants. On
appelle cela un «omnicide», car ça tue tout
ce qui vit : hommes, animaux, plantes, bactéries. Depuis
la catastrophe de Tchernobyl et surtout
celle de Fukushima, la radioactivité
s'est répandue dans les océans à tel point
qu'une année a suffi pour que toute la chaine alimentaire
soit contaminée. Nous mangeons des poissons contaminés,
des "fruits de mer" contaminés, etc. Nous devrions
tester tout nos aliments avec un compteur Geiger pour vérifier.
*Sources. La Vie Claire (Campagne 73)
- Prévention du Cancer (selon les découvertes
du Dr A. Gernez, de Roubaix) - Lire: la cure (préventive)
anti-cancer 
Le Centre International de
Recherche sur le Cancer (CIRC) a publié en février
2007 ces estimations faites en 2006, révélant
que le cancer du sein est le plus fréquent
à cause de la pilule contraceptive.
La pilule augmente le risque de cancer du
sein, de l'utérus et du foie, par la prise répétée
pendant des mois, voire des années. Le cycle menstruel
est bloqué artificiellement. Danger des oestrogènes
de synthèse donnés à la ménopose.
Le dépistage déçoit,
car trop tardif, et à peine 10 % de malades sont opérables.
Résultat nul : chaque année en France, plus de 6
000 personnes décèdent toujours du cancer (Sciences
& Vie, mai 2004). "Trop
dépister les cancers nuit-il à la santé ?
L'exemple des cancers du sein". Retour
Le 24 mars 2004, Jacques Chirac avait lancé
le plan anti-cancer pour prévenir, dépister mieux,
améliorer les soins, accompagner humainement les malades
et changer le regard porté sur eux. Budjet annuel : 15
milliards d'euros dont on ne peut pas mesurer les retombées,
d'après la Cour des Comptes. Où va l'argent ? Doté
d'un budget de 100 millions €/an, l'Institut National du
Cancer (INCA) avait été chargé de la pathologie,
des politiques de soins et de recherche, mais où en est-on
? Retour
* Produits cancérogènes produits
par l'industrie : amiante, acrilonitrile, butadiène,
cadmium et oxyde de cadmium, chromate de sodium, dichromate d'amonium
et dichromate de sodium, trioxyde de chrome, brai et distilats
de goudron de houille, Huiles entières minérales,
benzène, diamine de tholuène, dinitrotoluène,
méthyloxiranne, méthylènedianiline, perchloroéthylène,
trichloroéthylène, poussière de bois, gaz
d'échappement diesel et silice cristalline.
- Produits chimiques dérivés du pétrole (goudrons,
fibres minérales, pesticides (DDT, Chlordécone);
- Agents physiques : la radioactivité, les rayonnements
ionisants et les ultraviolets;
- Agents biologiques (virus);
- Procédés industriels (fonderies, industrie du
caoutchouc, chimie du chlore : furanes, dioxines, PCB). (liste
donnée par Sciences & Vie, juin 2004) Retour
Qu’est-ce que les CMR ? Au sens de l’article
R 231-51 du code du travail, sont considérés comme
agents CMR toutes substances ou toutes préparations cancérigènes,
mutagènes, ou néfastes pour la reproduction.
-
(C) Cancérogènes : substances et préparations
qui, par inhalation, ingestion ou pénétration
cutanée, peuvent provoquer un cancer ou en augmenter
la fréquence
-
(M) Mutagènes : substances et préparations
qui, par inhalation, ingestion ou pénétration
cutanée, peuvent produire des défauts génétiques
héréditaires ou en augmenter la fréquence
-
(R) Toxiques pour la reproduction : substances et préparations
qui, par inhalation, ingestion ou pénétration
cutanée, peuvent produire ou augmenter la fréquence
d'effets nocifs non héréditaires dans la progéniture
ou porter atteinte aux fonctions ou capacités reproductives.
retour
Nitrites :
Ce sont les sels nitrés, utilisés dans la charcuterie
industrielle comme conservateurs, qui forment des nitrosamines,
cancérigènes ! Des analyses effectuées en
France entre 1987 et 1992 ont révélé la présence
de nitrosamines de type NDMA dans 59 échantillons sur 71,
à raison de 0,45 nanogranune par gramme de produit. Les
nitrosamines sont liées à l'utilisation comme additif
de sel nitrité, afin d'améliorer la coloration rose
de la chair et de prévenir l'apparition de la bactérie
Clostridium botulinum. Les nitrites peuvent entraîner
la formation de nitrosamines par réaction de l'anhydride
nitreux avec des vitamines C et E, qui s'opposent à la
formation de nitrosamines.
Certaines charcuteries fumées dans des filets en caoutchouc
contiennent aussi les nitrosamines NDEA et NDBA, qui apparaissent
lors de l'interaction entre les nitrites de l'aliment et certains
accélérateurs utilisés pour vulcaniser le
caoutchouc. Rien ne permet d'affirmer que les taux de nitrosamines
relevés dans les charcuteries contaminées présentent
un danger pour la santé, mais les nitrosamines étant
cancérogènes pour toutes les espèces animales,
le fabricants doivent en priorité faire chuter leur taux.
En France, tous les ans, 10.000 femmes meurent
du cancer du sein, et 30.000 femmes sont concernées.
Les traitements hormonaux contre la ménopause suivis 4 ans induisent
le cancer du sein. C'est la preuve qu'il ne faut pas faire confiance
dans médecine moderne. Retour texte
Sachant comment la conseillère médicale
à la Ligue contre le cancer explique les choses, c'est
consternant :
«Les cellules se divisent et meurent, l'organisme obéissant
à des lois, tout comme une société. Pour
des raisons que l'on ne connaît pas toujours, une cellule
devient folle, elle "se prend pour le bon Dieu". Rien
ne l'arrête. Sa multiplication finit par former une tumeur
mal limitée qui "pousse des pattes" dans tous
les sens, d'où le terme cancer qui veut dire crabe en
latin. Les cellules anormales se détachent et voyagent
dans l'organisme pour se fixer dans les organes : ce sont les
métastases. Tous les cancers ont ce mécanisme en commun,
mais chacun a sa propre histoire et son propre développement,
ce qui suppose des traitements différents.»
retour
Autre erreur fondamentale que répercutent certains médias,
comme Sciences & Avenir :
« Alors que la cellule normale est programmée
pour vieillir et mourir, la cellule cancéreuse est capable
de se diviser à l'infini. »
- Non, tout le monde doit savoir que des cellules saines se
divisent et régénèrent le tissus sans jamais
vieillir ni mourir (processus de division
cellulaire appellé « mitose ») alors que
d'autres se sont différenciées pour assurer une
fonction organique, s'usent et meurent. (cf. vidéos
sur la Mort programmée des cellules, 1986)
Pour des raisons diverses (exposition à l'amiante, aux
pesticides, aux défoliants, aux goudrons, à la radioactivité,
etc...) une anomalie survient par mutation génétique
au niveau chromosomique, ce qui fait que la cellule programmée
pour mourir va se diviser, elle aussi. Cela découle des données
découvertes ou rassemblées par le Dr GERNEZ (Le cancer,
Presses de la Cité, 1971), mais les médecins
semblent les plus mauvais élèves... c'est à
croire qu'une volonté médicale est à l'origine
de l'illogisme et que la recherche scientifique est mal orientée...
voire détournée pour le profit : depuis 36 ans !
La recherche médicale
est centrée sur la production de médicaments (le
profit avant tout). Le marché des anticancéreux
croit de plus en plus et il en sort constamment des nouveaux,
comme le Cervarix contre le cancer du col de l'utérus.
En France, les trust pharmaceutiques dépensent
chaque année 2 milliards d'euros au titre de la promotion des
médicaments auprès des prescripteurs. Cette action publicitaire
massive qui s'appuie notamment sur le réseau de 15 000 visiteurs
médicaux n'est pas sans lien avec le niveau élevé des dépenses
médicamenteuses en France. Beaucoup de médicaments sont
prescrits non sur leur valeur médicale mais en raison des
avantages accordés au médecin par le fabricant.
La presque totalité des médicaments mis sur le marché
ces dernières années ne présentaient en réalité
aucune nouveauté, même si leur prix avait augmenté.
Merck,
par exemple, son Gardasil a des effets secondaires graves...
Lymphocytes :
cellules du système immunitaire qui circulent dans le
sang et dans la lymphe.
phagocyter
: ingérer, et détruire, ce que les cellules phagocytaires
savent faire pour éliminer les déchets. retour
texte
A propos du Glivec :
Ce serait plus clair de dire que les cellules programmées
pour se diviser sont épargnées et que ce remède
attaque les autres, celles qui prolifèrent anormalement
au lieu de mourir.
A propos du Taxol :
annoncée à grands sons de trompe par des chercheurs
américains comme la drogue anticancéreuse par excellence,
le taxol, substance extraite de l'if, déçoit
considérablement les médecins américains
qui l'ont mis à l'essai ! Ses effets sont infiniment moindres
que ceux prédits, et sa toxicité pour la moelle
osseuse est considérable. Il faut toujours se méfier
des déclarations mirifiques des chercheurs qui ont sauté
un peu vite sur les conclusions de travaux in vitro. (Science
& Vie n°916)
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