NÉO-LIBÉRALISME, DOGME ANTI-SOCIAL
Rappel.
En 1947, sur le Mont Pèlerin, 400 personnes décidées
à former un réseau mondial étaient réunies
en conclave dans un petit village suisse (près du lac Léman)
: Hayek, Milton Friedman, etc... ce qui leur donna l'idée
d'appeler la nouvelle société libérale :
"global village" ou "world village" avec comme
paradigmes : refus de toute idéologie (socialiste ou communiste),
lutte contre l'étatisme et le socialisme (dérégulation).
L'économie capitaliste ("économie
de marché") et le libre-échange doivent s'imposer
partout, et tous les pays devront se frotter à la concurrence.
Le "marché" c'est la sphère financière
et mercantile, les banques d'affaire et les sociétés
financières. Mais l'ouverture des
marchés a surtout constitué à abattre
les barrières douanières pour mettre en concurrence
toutes les entreprises de tous les pays très différents...
et le nivellement par le bas dans les salaires a commencé.
Le premier accord de libre-échange fut signé en
1947 pour harmoniser les politiques douanières des parties
signataires ; le GATT,
cet accord général sur les tarifs douaniers et le
commerce entra en vigueur en janvier 1948 (date où est
institué en France la Sécurité Sociale et
toutes les mesures de justice sociale voulues par le Conseil de
la Résistance).
Le grand tournant libéral
Dans les
années 80, le libéralisme anglo-saxon refait surface sur le Vieux
Continent. Petit à petit, il s'impose partout comme une pensée
globale, totalitaire, dogmatique : c'est la "pensée
unique", avec comme mots d'ordre : libre-concurrence, nationalisations,
flexibilité (note). Mais ce nouveau
libéralisme illustre bien le paradoxe du libéralisme,
qui ne favorise qu'une sorte d'individus, égoïstes
et avides de richesses, non tous les individus qui composent la
société. Le libéralisme économique
qui prétend défendre la liberté d'entreprendre,
brise l'Etat social et citoyen : on se demande pourquoi c'est
le pouvoir politique qui nous l'impose mais il se croit obligé
pour être compétitif face à la concurrence
et s'attaquent aux acquis sociaux, démantelant les règlements
établis (code du travail). Ainsi
le travailleur salarié est exploité à outrance
(utilitarisme), subit le stress quotidien et le chantage
au chômage...
Mondialisé, le mouvement idéologique
néo-libéral semble s'imposer sans choix démocratique en
imprégnant les esprits des élus. Par une propagande
mensongère, ce nouveau libéralisme s'impose comme
modèle pour sauver l'économie, alors qu'il ne fait
que ruiner les Etats et leurs services sociaux en
augmentant le chômage. C'est un nouveau féodalisme,
avec la vassalité envers le dollar et la haute finance
mondiale, avec sa bureaucratie dont la Communauté Européenne
sert de relais (alors que le libéralisme est sensé
être contre la bureaucratie !).
Constatez les résultats au Mexique
: les méfaits du libéralisme ont contribué
à ruiner ce pays fin 1994 après
le Chili, suite au coup d'Etat de Pinochet
et, depuis 1999- 2002, l'Argentine en crise
n'a pas été sauvée par la voie libérale,
elle a été ruinée. Le socialisme, basé
sur des principes moraux de justice sociale, d'égalité
des chances, d'interdépendance et de solidarité
ne peut survivre que dans un Etat démocratique souverain,
ce qui n'a pu se réaliser pleinement. Quand la haute finance
et le dollar domine le monde, il est difficile de maîtriser
l'économie. C'est pourquoi le vrai socialisme n'a pas été
encore possible. Alors sur le point de s'affirmer en France, Jean
Jaurès fut assassiné et une première grande
guerre le stoppe net. En 1936, le Front Populaire fut mis en échec
par le fascisme et la seconde grand guerre. Attaqué scandaleusement
par la Presse, le gouvernement du Front Populaire a été
malmené par les sbires du capitalisme. Le
ministre Roger Salengro en est mort, comme notre ministre Pierre
Bérégovoy, assassiné en 1993 pour avoir voulu
combattre la corruption (suicide maquillé). “Les
socialistes ont été élevés au biberon
du libéralisme” a dit Danielle Mitterrand, bien placée
pour le savoir. C'est en effet vers 1982 qu'a eu lieu le tournant
libéral, avec Mitterrand au pouvoir. Or le libéralisme
est incompatible avec le socialisme. On ne peut plus dire que
le PS est un parti de Gauche. C'est pourquoi le Front de Gauche
s'est constitué ensuite... On le voit bien : F. Hollande
continue la politique libérale de la Droite ultralibérale,
en bon élève de l'Europe de Maastricht.
Le libéralisme économique détruit l'Etat
social
Basé
sur l'individualisme et l'utilitarisme, le libéralisme
repose sur l'idée qu'en économie, les données
sont tellement nombreuses et les ajustements tellement complexes,
que la raison est impuissante pour gérer l'économie
d'un pays, surtout avec la bureaucratie d'État. Dans l'Histoire,
la société obéirait à un processus
quasi-biologique, par sélection naturelle : la croissance
et la production de richesse parvient à satisfaire petit
à petit les besoins de tous, dans la mesure où il
y a eu, depuis l'essor de l'industrie, toutes les libertés
d'entreprendre et d'échanger. Comme si nous avions été
guidés par une «main invisible», celle des «marchés»,
c'est-à-dire du dictat des cours de la Bourse et des spéculations
boursières. C'est “la solution libérale”
telle que Guy Sorman l'explique dans son livre. Opposé
aux idéaux socialistes, ce libéralisme favorise
les entreprises privées, fondées sur le pragmatisme,
l'adaptation spontanée aux nécessités du
moment, pour le maximum de profit. De fait, il s'oppose au socialisme,
qui est considéré comme une idéologie à
la base de l'Etat-Providence, incapable de maîtriser l'«économie
de marché» ! Si ce n'est pas du darwinisme social, ça
y ressemble, et en mettant sous séquestre les ressorts
de l'économie, on empêche les Etats-Nations de gouverner.
Or, cet ultralibéralisme globalisé a pour source
le Consensus de Washington.
Un américain
qui a milité longtemps pour cette voie, M. Friedman, prétendait
que la solution libérale au chômage est d'abaisser les salaires,
et de supprimer le S.M.I.G., mais, n'est-ce pas promouvoir ainsi
une sorte d'esclavage ou de servitude pour les salariés
? En fait, le chômage
est maintenu à un taux acceptable pour que la menace
du chômage contraigne bon nombre de travailleurs à
accepter des conditions de travail infernales. Leurs salaires
n'augmentent plus et les avantages sociaux ont déjà
été réduits. Ils sont traités comme
des bêtes de somme (le terme «marché
du travail» renvoie à celui de «marché
à bestiaux»). De plus en plus, les jeunes, plus maléables,
sont surexploités, et, dans certains pays, on fait travailler
les jeunes enfants. C'est la servitude totale avec la répression
policière et le "tout-sécuritaire"
qui servent de programme social au nouveau libéralisme,
ultralibéral, cause d'inégalités croissantes.
Après le virement à 180 degrés du gouvernement
“socialiste” en 1982, le président Chirac a
engagé la France dans un libéralisme effréné
en prêchant la flexibilité de l'emploi. Pas étonnant,
il avait annoncé la couleur pendant sa campagne : il est
acquis au libéralisme qui brise
l'Etat social et citoyen. Sarkozy embraye avec le "tout
sécuritaire" et réduit les libertés.
Avec beaucoup de culot, il a qualifié de "pensée
unique" celle de ses adversaires durant la campagne des présidentielles
alors qu'il est lui-même imprégné de ce qui
est convenu d'appeler la "pensée
unique" puisque ce néo-libéral copie les
néo-conservateurs. Les socialos sont aussi des libéraux,
maintenant. “F. Hollande est le candidat du système”
a dit Martine Aubry, et en effet, il était d'accord avec
Mitterrand pour le grand tournant libéral en 1982-1992.
On n'attend rien de lui. Dans la France d'aujourd'hui, c'est sous
une présidence dite de “gauche” (“sociale
libérale”) que le libéralisme triomphe avec
des lois ou réformes anti-sociales (en particulier la loi
El Khomri).
Le marketing néo-libéral :
Aux États-Unis
sont créés les « think tanks », groupes
de lobbying qui sont là pour appuyer et légitimer
les politiques néo-libérales, fortement soutenues
par l'OCDE, l'OMC, la Banque Mondiale, le
FMI et divers journalistes. Les professeurs d'Université
sont invités à des conférences...
Des baisses de crédits sont alors effectuées sur
les universités hostiles au capitalisme, en particulier
les sections d'histoire, de droit, d'économie ou de sociologie.
En même temps, la privatisation des chaînes de télévision
et l'acceptation de l'omniprésence de la publicité
permettent de faire passer les idées auprès des
électeurs.
Tous les grands médias appartiennent à des fleurons
de l'économie capitaliste : Berlusconi, Disney, Lagardère,
Dassault, Matra-Hachette... Rothschild
Pour faire
passer leur idéologie très contestable, les néolibéraux
usent de mensonges :
«La concurrence fera baisser les prix, les services seront de
meilleure qualité ; vous aurez plus de choix, alors que
ce choix n'existe pas avec les monopoles publics. Cela stimulera
la croissance, donc augmentera les richesses. Cela créera
des emplois. Les Pays en développement seront avantagés.»
- C'est un dogme ressassé par les néolibéraux,
mais la guerre commerciale qui aboutit à des fusions d'entreprises
risque de laisser tout le marché à des monopoles
sans concurrence et il n'y aura plus de choix. La concurrence
est redoutable pour les entreprises de moindre importance. John
Rockfeller n'y croyait pas : «La concurrence, c'est la mort
du commerce», disait-il. Il était intraitable et
il s'est évertué durant sa vie à supprimer
tous ses concurrents pour réussir. Les règles du
jeu ont changé avec la mondialisation et le libre-échange
: ce n'est pas le mythe
de la concurrence qui sauvera l'emploi. Il y a des accords
illicites sur les prix et pas de véritable concurrence,
et bientôt il n'y aura plus que de grands monopoles privés
au rythme où vont les choses : 2005 est une année
record en fusions d'entreprises. Ces gros trust suppriment toute
concurrence, bafouent le droit du travail.
- Dans le même temps, on élimine toute ambition politique
alternative prétextant l'inéficacité du socialisme
et du communisme et on prétend que c'est "la fin des idéologies"
(et même "La fin de l'Histoire"!). L'Union
européenne est devenue une dictature néolibérale...
- C'est un facteur de la "fracture sociale" et du triomphe des
inégalités. Il prétend défendre les libertés, or le libéralisme
est contre nos libertés démocratiques en s'attaquant au principe-même
de "l'Etat-providence" et ses déficits sociaux par l'endettement.
Les acquis sociaux sont présentés comme des "avantages"
et tout est fait pour grignoter ces acquis, pourtant les riches
profitent aussi des mesures sociales un jour où l'autre,
et depuis le krach de 2002, les assurances par capitalisation
ont jeté les retraités dans la misère dans
les pays acquis au libéralisme.
- Le libéralisme est anti-social.
Il attaque les droits sociaux acquis par les luttes syndicales
et les traite comme des "archaïsmes" pour s'en prendre au Code
du Travail, d'où la volonté de "moderniser"
(terme qui, en soi, ne veut rien dire) selon les directives ultra-libérales
de l'UE. La "modernité", c'est le laminage de
nos protections sociales : c'est donc une régression sociale.
Lorsqu'il y a un conflit social, on ne parle que d'un "problème
de communication". Rien ne doit perturber l'ordre établi pour
les privilégiées et leurs vassaux. Un nouveau féodalisme s'est
installé et la violence aussi... Le nouvel esclavage ne dit pas
son nom ; c'est pourtant une réalité. La grosse majorité des gens
trime et se croit encore en démocratie.
- Le "Moins d'État" qu'il prône, c'est contre le citoyen.
A terme, c'est la fin de la démocratie, des régulations
sociales, c'est l'anomie... comme pour les pays spoliés.
Doit-on subir la dictature des marchés, c'est-à-dire
des aléas de la Bourse, des humeurs des gros investisseurs,
des patrons de la haute finance (OMC) ?
Évidemment non, et si les États socialo-démocrates
ou socialistes sont endettés, il y a bien une raison valable à
cela. Les dépenses sociales pèsent lourd dans leur budget. Or,
le même endettement se retrouve dans le plus riche État
capitaliste libéral, aux USA, est-ce que les dépenses militaires
en sont la seule cause ? Les USA font le forcing par des moyens
qu'ils réprouvent eux-même quand d'autres les utilisent.
Ils sont contre la bureaucratie socialiste mais passent par les
bureaucrates de Bruxelles pour imposer des directives impopulaires
!
Les banques privées sont assez riches pour prêter. Si le secteur
public manque de fonds, c'est que les trusts transnationaux retirées
dans les paradis fiscaux arrivent à réduire leurs
charges fiscales au maximum, affaiblissant les gouvernements socio-démocrates,
donc la citoyenneté.
Une "main
indivisible" semble derrière cette évolution
libérale en Europe, d'abord en Grande-Bretagne, puis dans
les démocraties sociales ; la commission européenne a suivi l'initiative
en imposant la libéralisation, le démantèlement
des services publics et la privatisation des banques et monopoles
publics. Les prix sont régulés par les salaires et pour que les
prix baissent il faut que les salaires soient au plancher. D'où
les délocalisations d'usines vers les régions où le coût salarial
est au plus bas, sans charges sociales.
Finalement, le chômage s'accroit
au fur et à mesure des restructurations, des fusions d'entreprises,
des délocalisations, plans de licenciements. Aujourd'hui,
les américains achètent les actions des sociétés dénationalisées
par l'intermédiaire des fonds de pension. Résultat
prévisible : la concurrence est plus rude et l'État ne
contrôle plus rien, ne sait même plus comment se
réformer; les Français sont petit à petit dépossédés
du secteur public et la politique n'est plus qu'un jeu de dupes.
Le secteur privé américain a l'avantage ; donc, il contrôlera
notre économie, car les grands patrons peuvent baisser nos salaires,
faire chuter les prix et provoquer la faillite par une concurrence
impitoyable. Le chômage s'étend tandis que
le taux de croissance atteindra à peine 1 % en 2010.
Le monde devient instable, la concurrence mondiale demande plus
d'efforts et de sacrifices... Déjà, au travail, le stress est
permanent, par peur d'être licencié, et on plie sous
la cravache. Les avoirs ne sont pas les seuls à être
toxiques dans cette crise financière qui s'étend
à l'économie réelle et qui fait craindre
une récession sans précédent...
Les
mensonges du libéralisme (www.syti.net
=> Stratégies planétaires)
Les
institutions internationales sous influence
Les
28 et 29 septembre 2002 se sont tenues les Assemblées annuelles
des institutions financières internationales (IFI) : la
Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Une
fois de plus, la libéralisation y a été présentée
comme LA solution aux maux du développement et le renforcement
du système commercial international comme la pierre angulaire
de la lutte contre la pauvreté. Ce rapprochement entre
commerce et financement du développement est le corollaire
de celui qui s'opère entre les IFI et l'OMC (Organisation
mondiale du commerce). Dans cette même veine, le rapport
annuel de la Banque sur le développement dans le monde,
intitulé "Making Services Work for the Poor",
affirme que seuls des services privatisés peuvent permettre
l'accès généralisé des populations
les plus pauvres aux services de base. Malheureusement, c'est
l'inverse dans la réalité.
Il
n'y a qu'à voir comment cela se passe un peu partout où
ce crédo libéral est imposé :
Aux USA la
crise sociale est latente, la moitié des américains
n'ont pas de couverture sociale et on fait travailler en prison
les sans-emplois devenus des criminels, ou supposés tels
!
Dans l'Union
Européenne, la hausse des prix du gaz et de l'électricité
a été de 42 % en 10 ans. Ceci à cause de
la politique néolibérale imposée par Bruxelles
depuis 2003, c'est-à-dire la privatisation des entreprises
nationales qui fournissent le gaz et l'électricité
en Europe. Le résultat : des gens qui ont des revenus modestes
ne peuvent plus payer le gaz ou l'électricité !!!
(chiffres 2015)
En Grande-Bretagne,
depuis les réformes
des libéraux Thatcher et Major, le libéralisme n'a
pas fait le plein emploi (les jeunes ne trouvent d'emplois qu'à
l'armée, sinon ils ont des emplois précaires) et
la condition sociale est désastreuse (une personne sur
cinq vit en dessous du seuil de pauvreté en Grande Bretagne).
Depuis madame Thatcher : suppression de 2 millions d'emplois,
et avec Tonny Blair encore 1,5 million d'emplois perdus (500 000
anglais sont venus vivre et travailler en France). Même
si les médias vantent le faible taux de chômage actuel,
il faut savoir que les chiffres officiels du chômage sont
truqués. Le système de pensions par capitalisation
est en crise avec le krach boursier de 2002, et les retraités
sont dans la rue : encore une belle réforme libérale
! Le prix du gaz et de l'électricité a tellement
augmenté que beaucoup de pauvres gens ne peuvent plus payer
!!!
Chili
: «Plus que la victoire de Pinochet, ce que le Chili
a connu après le 11 septembre 1973, c'est le triomphe des
thèses ultra-libérales de Milton Friedman. Il ruina
le pays et le transforma en un Etat typiquement sous-développé,
exportateur exclusivement de produits du secteur primaire (fruits,
vins) et de matières premières (cuivre). Pendant
que les bases de l'économie, de la culture et de l'histoire
sociale étaient aussi démantelées par la
privatisation systématique des Services Publics, y compris
la santé et l'éducation, toute tentative d'opposition
fut réprimée par la torture, les disparitions, les
assassinats ou l'exil. Voilà ce qu'a laissé Pinochet
: un pays brisé et dépourvu d'avenir. Aujourd'hui,
le Chili ne produit pas même une épingle.Tous les
produits manufacturés, absolument tous, sont importés.
Après l'agonie d'un peuple, c'est le laminoir économique
!» (Luis Sepulveda dans Le Monde diplomatique de
janvier : « Pinochet sans peine ni gloire »).
(retour texte).
Quant à
l'Argentine, cet État acquis au
libéralisme depuis 20 ans connaît une crise sans
précédent et croule sous les dettes ! Les argentins
sont privés de leurs économies et beaucoup cherchent
à repartir en Europe, dans leurs pays d'origine. Carlos
Menen a conduit ce pays à la banqueroute, la ruine totale,
comme ce fut déjà le cas au Mexique
en 1994.
Mais depuis,
la dérèglementation financière a entrainé
les pires crises qu'on ait connu...
La firme qui a provoqué la crise financière mondiale
de 2007 est devenue si riche et si puissante qu'elle s'est attaqué
à l'Europe : Goldman
Sachs, le côté obscur de Draghi et Monti

Notes. 1. L'essence
du néolibéralisme, par Pierre Bourdieu. On peut
dire que c'est comme une religion, avec ses dogmes... que nul
n'ose contester.
2. Après avoir été condamnés
en 2005 à 500 millions d'euros d'amende pour entente illicite,
les opérateurs mobiles vont devoir répondre à
12.000 clients qui réclament 700.000 € de réparation.
Idem pour les industries de lessives, en 2011, Uniler a vendu
la mèche, il y a une entente sur les prix pour faire de
gros bénéfices ! Retour
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