GOUVERNEMENT MONDIAL
Le
gouvernement mondial, maintenant bien établi, c'est un
secret de polichinelle. Le gouvernement invisible, ce serait
un ensemble de groupes et des réunions pour influer sur
les décisions les politiques partout dans le monde : Bildegerger
Club, Commission Trilatérale, CFR,
G7 puis G8... Le Nouvel Ordre Mondial est en substance la prise
du pouvoir au niveau mondial par certains financiers, par certains
capitalistes, par certains riches, par certains technocrates qui
se sont entendu en dehors de tous les principes démocratiques
– en dehors de tout système démocratique –
pour prendre le pouvoir définitivement sur cette planète.
Leur but final sous-jacent est simplement de se substituer aux
États et aux Républiques. Pour ce faire, ils utilisent
les canaux des médias dominants qu’ils ont achetés
ou infiltrés pour manipuler et surtout endormir les masses.
– Dans le lot, il y a David Rockefeller, lequel disait :
“Pendant plus d’un siècle, des idéologues
extrémistes des deux côtés du spectre
politique ont utilisé et instrumentalisé des incidents
tels que ma rencontre avec Castro afin d’attaquer la famille
Rockefeller et son influence qu’ils clament que nous avons
sur la société américaine, sa politique
et ses institutions économiques. Certains croient même
que nous faisons partie d’une cabale secrète et
travaillons contre les intérêts des États-Unis,
caractérisant ma famille et moi-même comme étant
des “internationalistes” et de conspirer avec d’autres
dans le monde afin de construire une structure globale politique
et économique plus structurée, un monde unique
si vous voulez. Si ce sont là les accusations, alors
je suis coupable et fier de l’être.” (citation
tirée de ses propres mémoires). Et de rajouter
: “Nous remercions le Washington Post, le New
York Times, le Time magazine et leurs directeurs
qui ont participé à nos réunions (Bilderberg)
et ont respecté leurs promesses de discrétion
pendant près de quarante ans. Il nous aurait été
impossible de développer notre plan pour le monde si
nous avions été soumis aux feux de la rampe durant
toutes ces années. Mais le monde est aujourd’hui
plus sophistiqué et préparé à marcher
vers le gouvernement mondial. La souveraineté supranationale
d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux
est sûrement préférable à l’auto-détermination
nationale pratiquée ces derniers siècles.”
Bilderberger' Club est le groupe qui a commencé à
se réunir dans un hôtel de Bilderberger ;
Du 31 mai au 3 juin 2011, une rencontre du Club Bilderberger a
eu lieu dans les environs de Washington D.C. Le lieu de rencontre
a été l’hôtel Westfields Marriott à
Chantilly, qu’on avait déjà utilisé
à plusieurs reprises. La sécurité des environ
120 participants a été garantie par la présence
usuelle des forces de sécurité. En plus, l’hôtel
de luxe est entouré d’une forêt, et bien caché.
Cette fois, à part de nombreuses décisions considérables,
Obama recevra les ordres pour sa prochaine présidence de
Rothschild et de Rockefeller. Le nouveau président des
Bilderberger est maintenant Henri de La Croix de Castries, chef
de la direction (CEO) du groupe d’assurance français
AXA. Rothschild et de Rockefeller sont aussi des membres fondateurs
de la Commission Trilatérale (Amérique-Europe-japon)...
voir l'organigrame
de tous les organismes
Le but de ce qu'on appelle le Nouvel Ordre Mondial (WNO) était
l'établissement et l'acceptation du Gouvernement mondial.
Le G-7, devenu G-8 avec la Russie, puis G-9 avec la Chine et maintenant
G20 en 2010, représente la coalition de chefs d'États
sous la gouvernance de groupes d'intérêts privés,
et d'experts présents lors des "sommets" interdits
à la Presse. Lors du dernier G20 a lieu à Séoul
en novembre, Nicolas sarkozy prétend refonder le Système
Monétaire International (SMI), qui remonte aux accords
de Brenton Wood de 1944... alors que les États-Unis
n'hésitent pas à recourir à la planche à
billets pour relancer leur économie, sachant qu'ils font
peser leur déficit public sur les autres pays (à
cause de la prépondérance de la FED et du dollar).
Créé en 1975 pour discuter «informellement»
de la stabilité économique et financière
internationale, ce club très fermé a progressivement
élargi son champ de compétences à tous les
grands problèmes mondiaux : guerre, terrorisme, SIDA...
etc. Ses recommandations sont mises en uvre par les institutions
internationales que sont le Fonds monétaire international
(FMI) et la Banque mondiale (les pays riches qui le composent
en sont les actionnaires majoritaires), ou par l'organisation
mondiale du mercandishing : l'OMC.
La guerre commerciale, seul horizon du libre-échange
"Unité de temps, de lieu et d’action : la conférence
ministérielle, à Cancun, de l’Organisation
mondiale du commerce (OMC) télescope en quatre jours (du
10 au 14 septembre) tous les conflits engendrés par la
mondialisation à marche forcée des échanges
de biens et de services. Pour les Etats-Unis et l’Union
européenne, parfois concurrents mais le plus souvent partenaires,
la planète se réduit à un vaste marché
dont ils entendent s’approprier le maximum de parts. Bernés
par les promesses libre-échangistes, nombre de gouvernements
de pays du Sud ont jusqu’ici participé à leur
propre mise sous tutelle. Mais jusqu’à quand vont-ils
jouer le jeu ?" (Bernard Cassen)
Le G8 joue, de fait, le rôle de gouvernement du monde,
sans aucune légitimité.
Il n'est pas mandaté par les peuples
de la planète, mais impose pourtant ses choix et oriente
la marche du monde... en s'appuyant sur le complexe militaro-industriel.
Il met en œuvre des politiques néo-libérales
qui accélèrent la concentration des richesses au
profit d'une poignée de détenteurs de capitaux,
qui précarisent l'emploi et les conditions de vie de la
grande majorité des peuples et favorisent les exclusions
culturelles et la destruction de l'environnement.
Alors que le G-8 refuse de lutter réellement
contre les fraudes financières, le blanchiment d'argent
et les pavillons de complaisances, il légitime, au nom
de la lutte contre le terrorisme, la guerre, le militarisme et
la répression.
Il prétend vouloir lutter contre
la pauvreté dans le monde. Pourtant, son programme de réduction
de la dette des pays pauvres s'est avéré totalement
insuffisant, tout en imposant des conditions inacceptables. Son
plan consiste à appliquer le "concensus
de Washington", en le globalisant.
Le "consensus de Washington"
est un corpus de mesures standard appliquées aux économies
en difficulté face à leur dette par la Banque Mondiale
et le FMI...
Or, les plans du FMI réduisent des pays à la faillite,
comme le Mexique ou l'Argentine.
La libéralisation commerciale, sous l'égide de l'OMC,
se révèle chaque jour plus défavorable aux
pays du Sud, tandis que le programme de lutte contre le SIDA et
d'autres pandémies reste loin des besoins et des possibilités.
Enfin, le G-8 n'a encore pris aucune mesure sérieuse de
protection de l'environnement et de lutte contre les émissions
de gaz à effet de serre. Le G-8 est illégitime !
Face au G-8, depuis une quinzaine d'année, les mobilisations
se multiplient partout dans le monde. En Europe, en 1989 à
Paris et en 1996 à Lyon, en 1998 à Birmingham et
1999 à Cologne, des dizaines de milliers de manifestants
ont exigé l'annulation de la dette des pays pauvres. En
2001, 300 000 personnes manifestaient à Gênes en
dépit de la répression policière qui a entraîné
la mort de Carlo Giulliani, un jeune militant italien...
Le sommet du G-8 s'est donc tenu à Glenagles en Ecosse,
début juillet 2005, sous la pression du public en faveur
des pays pauvres, en particulier africains. Mais, comme il a été
perturbé par des «attentats terroristes» à
Londres, on peut se demander qui avait intérêt à
faire cela ; pour que G. W. Bush fasse accepter sa guerre contre
le terrorisme, la «stratégie de la tension»
consistait ici à maquiller les crimes des services secrets
en «actes terroristes» :
Les dirigeants de la Coalition ont saisi l’occasion des
attentats de Londres pour, une fois de plus, dénoncer un
complot islamique mondial et appeler à la guerre au terrorisme.
Pourtant les faits parlent d’eux-mêmes : l’opération
a été organisée sous couvert d’un exercice
anti-terroriste auquel participaient les forces de l’ordre
britanniques. Comme dans les années 80 au cours desquelles
les services secrets anglo-saxons organisaient des attentats meurtriers
en Europe pour inspirer la crainte du communisme, un groupe militaire
anglo-saxon active aujourd’hui la stratégie de la
tension pour provoquer le « clash des civilisations ».
Depuis Adam Smith, chacun sait qu'une "main invisible"
gouverne l'économie. Tout le monde doit se résigner
à accepter l'"économie de marché",
puisque ce sont les "marchés" qui dominent l'économie
et, par conséquence, la politique. La science économique
resterait inaccessible au simple citoyen, tandis que, de plus
en plus, la crise économique s'aggrave.
Le dernier G20 qui a eu lieu à Nice en 2011 sous la présidence
française a été une fanfaronnade qui a mis
en avant la crise de l'euro pour ne
pas avoir à faire ce qui était réclamé
et prévu : la réforme du système
monétaire international qui avantage injustement le
dollar, la fin des paradis fiscaux et
une véritable réglementation financière contre
la spéculation financière et le second marché.
Un totalitarisme s'est installé au niveau mondial. Avec
la crise du covid19, on a le choc-en-retour
Spectre : un mot déjà utilisé
à cette fin au cinéma, dans un film où James
Bond 007 se bat contre le Spectre d'un gouvernement
mondial dictatorial !!! Retour
Le
"consensus de Washington", paradigme
du développement. Dans un article publié en 1989,
l'économiste John Williamson a émis une série
de dix principes, considérés comme la "sagesse
acceptée par tous les économistes sérieux".
La consécration de ses théories est intervenue avec
la décision de la Banque mondiale et du Fonds
monétaire international (FMI) de subordonner leurs
prêts à l'adoption de politiques inspirées
de ses thèses. Les recommandations de John Williamson se
résument en dix points :
- Discipline budgétaire (régime sec pour l'Etat
et les services sociaux)
- Réorientation de la dépense publique
- Réforme fiscale, taux marginaux majorés
- Libéralisation financière
- Adoption d'un taux de change unique et compétitif
- Libéralisation des échanges (libéralisation
économique et commerciale)
- Elimination des barrières à l'investissement
direct étranger
- Privatisation des entreprises publiques
- Dérégulation des marchés pour assurer
l'élimination des barrières à l'entrée
et à la sortie
- Sécurité des droits de propriété,
et incitation à l'épargne
Ces propositions sont inspirées par le libéralisme
économique (dont le renouveau depuis les années
1970 s'est manifesté sous la forme de ce que l'on désigne
par « néolibéralisme
») ont été appliquées par l'Union
Européenne et de nombreux États (de façon
sélective) avec des ressentiments très divergeants
étant donné l'accroissement des inégalités
et du taux de chômage qui en résulte.
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