LE SYSTÈME MONÉTAIRE INTERNATIONAL (SMI)
Démonétisation
Autrefois
circulaient des pièces de monnaie en or, en argent ou en
cuivre, qui avaient de la valeur quoi qu'il arrive. On en remplissait
des bas de laine et on cachait son or dans les matelas. Les louis
d'or, par exemple. Napoléon-Bonaparte a créé
la Banque de France qui émettait le Franc-or, convertible
en or (l'once), l'économie a été florissante
avec cette monnaie sonnante et trébuchante et chacun était
à l'abri des spéculations. Le fameux "napoléon"
valait 20 francs e pesait son poids d'or. Mais, depuis 1913, un
cartel de sept banques a institué le système monétaire
international sur un mode féodal pour que chaque citoyen
paye une sorte de taxe au cartel, par l'intermédiaire du
dollar (car le dollar est une monnaie privée émise
par ces banques privées). La libre convertibilité
du franc en or est alors suspendue. Ces grandes institutions financières
sont installées à New-York aux Etats-Unis, pays
géographiquement invulnérable où l'économie
est gonflée par le dumping et où le profit augmente
avec les guerres, car c'est le premier fournisseur d'armements
du monde. Les Etats-Unis bénéficient donc du «droit
du seigneuriage» dans le système monétaire
international, mais depuis quand ? Quelles
ont été les étapes de la détérioration
du système monétaire international ? Quelle est
leur signification ? C'est à quoi répond le texte
suivant.
I. Le désordre monétaire
dans l'entre-deux guerres.
En
France, depuis 1913, à cause des frais occasionnés
pour la guerre, la Belle Époque se termine ! Dès
le 5 août 1914, supression de la libre convertibilité
de la monnaie en or. La guerre de 1914-1918 entraîna une
désorganisation très grave des monnaies et des échanges.
Les Français étaient invités à revendre
leur or pour financer la guerre. Une nouvelle ruée vers
l'or a eu lieu, aussitôt, pour récupérer tout
l'or des belligérants (rançon de guerre) et c'est
l'origine de la Réserve de lingots d'or
de Fort Knox... Après cette seconde guerre contre les
Allemands, la France est battue et ruinée, ce sont nos
alliés qui ont eu le dessus. H. Bergson a été
envoyé pour les implorer, ...et les Américains ont
marchandé. De nombreux effondrements monétaires
conduisirent à des démonétisations (Russie,
Europe centrale à l'exception de la Tchécoslovaquie,
Allemagne) tandis que des dépréciations profondes
d'une quinzaine de monnaies (franc, franc belge, lire...) amenèrent
des dévaluations en cascade. En pleine guerre de 14-18,
les grandes banques américaines, sous l'impulsion des Rockefeller
et des Rothschild, ont formé un cartel en créant
la Réserve Fédérale Américaine qui
put ramasser tout l'or du monde : l'or des vaincus, les Allemands,
mais aussi l'or des Français, étant donné
qu'ils sont allé chercher main forte (c'est Henri
Bergson qui était allé réclamer une aide
militaire à Washington). Mais la conspiration s'est constituée
dans la haute finance bien avant la guerre. Les banques émettent
du papier-monnaie sans aucune valeur pour remplacer la monnaie
traditionnelle, l'argent et l'or. Une démonétisation
à grande échelle, car le franc qui avait comme valeur
l'once d'or est déprécié...
En fondant
le Système Monétaire International (SMI) sur une
monnaie privée, le dollar, le cartel des 7 grandes banques
américaines ont donné un pouvoir exceptionnel au
pays qui l'émet, les USA, qui se permet, par la spoliation
d'autres pays, d'avoir une politique impérialiste. Des
fortunes se sont constituées en achetant des biens réels
avec du papier monnaie de faleur fictive. Ce système monétaire
a une consonnance féodale ; les autres pays sont donc vassaux,
et le Tiers Monde est réduit au servage...
Après
la guerre, la restauration monétaire se fit à deux
niveaux :
- On s'est efforcé de rattacher de nouveau la monnaie à
l'or, mais selon des modalités différant souvent
des conditions d'avant 1914. Ainsi, l'Allemagne créa en
octobre 1923 une monnaie nouvelle - le rentenmark -, gagée
sur l'or ; celui-ci n'était plus monnayé en pièces
mais gardé en réserve à la Banque d'émission
(il en sera désormais de même partout) - c'est le
système du Gold Bullion Standard. Afin de pouvoir
toujours « regarder en face » le dollar, resté
convertible, la livre sterling est rétablie le 13 mai 1935
à sa parité d'avant-guerre ; décision courageuse
mais très dangereuse en raison d'une déflation poussée
à l'excès. Le franc est stabilisé le 25 juin
1928, mais il a perdu les quatre cinquièmes de sa valeur.
- Au niveau international, les dérèglements dans
les marchés de capitaux (mouvements «erratiques»
et fonds spéculatifs de capitaux à court terme)
et les dérèglements monétaires conduisirent
à une conférence internationale tenue à Gênes
en 1922. En raison des énormes réserves en or de
Fort Knox, seul le dollar pouvait être qualifié d'étalon
et ce qui fut finalement institué privilégia cette
monnaie privée américaine, la FED jouant le rôle
de banque centrale. Le dollar prit le rôle de «monnaie-étalon»
du système monétaire international et les Banques
centrales des nations occidentales furent obligées d'adopter
ce nouveau système. En 1928, un franc ne valait plus qu'une
once d'or (0,0655g d'or).
- La «grande dépression» consécutive
au krach boursier qui éclata à Wall Street (New
York) en octobre 1929 devait entraîner la disparition du
GOLD EXCHANGE STANDARD, car les investisseurs
ne purent se rabattre sur l'or, valeur-refuge, comme si l'or n'était
plus convertible. Incroyable ! Pourquoi, en 1929, lors du fameux
krach boursier de Wall Street, le Gouvernement fédéral
a-t-il refusé aux investisseurs de se rabattre sur de l'or
en déclarant les stocks insuffisants alors que la réserve
devait crouler sous les lingots après les années
heureuses que furent les années 20 aux USA ? Qui avait
confisqué l'or ? Un mystère plane sur cette richesse
accumulée au Pays de la ruée vers l'or, car on n'a
jamais bien expliqué les causes de la crise de 1929. La
crise frappa sévèrement l'Angleterre : crise des
exportations, ralentissement de l'activité économique,
chômage grave (10 % de la population active) ; le 21 septembre
1931, la livre cesse d'être convertible, elle flotte et
la dévaluation va atteindre 30 %. De nombreux pays qui,
selon le système du gold exchange standard, conservaient
leurs réserves de change en sterling sont contraints de
dévaluer à leur tour: Portugal, Pays scandinaves,
Irak, Iran... et créent la zone de l'étalon-sterling.
La Conférence
internationale tenue à Londres en 1933 tenta de prendre
des mesures contre la crise monétaire et financière,
commerciale et économique; les désaccords (des Etats-Unis
notamment), le poids des égoïsmes nationaux l'emportèrent
sur le désir d'une réelle coopération internationale.
Le 20 avril 1933, les Etats-Unis, imitant la Grande-Bretagne,
annoncèrent la suspension de l'étalon-or et la loi
du 12 mai 1933 autorisa le président des USA à dévaluer
le dollar jusqu'à concurrence de 50%; Le 31 janvier 1934,
le dollar fut dévalué de 40,94 %, le cours de l'or
étant fixé à 35 dollars l'once de fin (31,1035
g).
- Dès lors, il n'y a plus de système monétaire
international. Les capitaux flottants vont de place en place au
gré de la spéculation. Après l'Allemagne,
touchée gravement par la crise dès 1931, la France
connaît des difficultés en 1935 (mesures de déflation)
et à partir de 1936 (dévaluations de 1936, 1937,
1938). Le monde se scinde en cinq blocs différents à
l'intérieur desquels les capitaux circulent plus ou moins
aisément mais qui maintiennent, de l'un à l'autre,
des restrictions sévères de change :
- le bloc dollar (Etats-Unis, Canada, Brésil, Etats de
l'Amérique centrale) où le dollar reste défini
par rapport à l'or;
- le bloc sterling (Grande-Bretagne et ses dominions sauf le Canada,
la Finlande, la Norvège, la Suède, la Turquie) où
un cours de change fixe est maintenu vis-à-vis de la livre
sterling;
- le bloc mark (Allemagne, Autriche, Tchécoslovaquie, Bulgarie,
Roumanie) qui pratique un contrôle des changes strict et
des taux de change multiples sur le mark;
- le bloc yen (Japon et pays occupés) ;
- le bloc rouble très peu lié à l'extérieur.
II. Les négociations de Bretton Woods
Le cadre
et les acteurs - « Bretton Woods n'est même pas un
village. C'est une clairière dans les montagnes boisées
du New Hampshire, quelque part entre les villes américaines
de Berlin et de Manchester, à 300 kilomètres au
sud de Québec. Là, s'élève un bel
hôtel de villégiature, qui va héberger les
500 participants à la Conférence internationale,
composée de toute la crème des riches capitalistes
et des puissants de ce monde, pour instituer le nouveau système
monétaire international. Les stocks étaient certainement
suffisants en 1944 lors de la Conférence internationale
qui s'est déroulée à Brentton-Woods pour
que le dollar se retrouve la seule monnaie indexée sur
l'or. C'est lors des accords de Bretton Woods, avec la création
du FMI et de la Banque Mondiale, qu'est institué le nouveau
système monétaire international. Le dollar sera
la seule monnaie indexée sur l'or et servira de monnaie-étalon.
Les autres monnaies sont toutes indexées au dollar. Comment,
concrètement, ce système a-t-il fonctionné
entre 1944 et 1971 ?
1. Le fonctionnement du système de 1944 à 1958
: le dollar-roi. Sacré dollar !
Au risque de surprendre, on peut dire que si le système
monétaire international n'a pas posé de problèmes
majeurs durant cette période, c'est qu'en réalité
il n'a pas fonctionné dans les conditions prévues
par les accords de Bretton Woods, en raison des conditions historiques
de l'après-guerre. En effet, l'Europe est dévastée,
l'Angleterre affaiblie, et ces différents pays se révèlent
incapables de restaurer la convertibilité de leurs monnaies.
On assiste alors à une cascade de dévaluations en
Europe mais le FMI n'intervient pas. Pendant toute cette période,
la monnaie universellement demandée et qui est relativement
rare dans le monde, c'est le dollar. Le dollar est la seule monnaie
qui donne accès au marché américain, c'est-à-dire
le seul marché abondant et diversifié.
De plus, les Etats-Unis détiennent les 3/4 du stock d'or
monétaire mondial, et donc seul le dollar jouit d'un fort
gage métallique. De fait, c'est la seule monnaie effectivement
convertible en or. Le dollar est : «as good as gold»
et sa puissance est telle qu'on a pu dire à l'époque
que l'or est convertible en dollars. Le dollar devient la principale
monnaie de réserve et d'échange. La formidable puissance
économique des Etats-Unis va se mobiliser pour la reconstruction
de l'Europe, ceci malgé l'existence d'un déficit
permanent de la balance des paiements américaine, provoqué
dès 1950 par le programme massif d'aide économique
et militaire à l'étranger (plan Marshall). Le flot
de dollars satisfait à peine le besoin de liquidités
du monde. La confiance dans le dollar est absolue et paraît
même inébranlable. A la fin de 1957, les réserves
d'or des Etats-Unis sont au même niveau qu'en 1950, 22,8
milliards de dollars, et on ne compte dans le monde que 3,5 milliards
d'avoirs libellés en dollars. A cette date, la phase de
reconstruction s'achève; on va pouvoir tenter d'appliquer
plus strictement les clauses des accords de Bretton Woods.
2. De 1958 à 1965 : les contradictions apparentes du système
apparaissent.
On peut affirmer que ce n'est qu'en 1958, avec le retour à
la convertibilité externe des principales monnaies, c'est-à-dire
la convertibilité pour les non-résidents, que le
système monétaire international a commencé
à fonctionner dans l'optique du Plan White avec cette fois
le concours du F.M.I. C'est précisément à
partir de cette date que les problèmes sont apparus, et
que les contradictions du système se sont manifestées.
En effet, il faut bien voir que pour qu'une monnaie soit monnaie
de réserve, deux conditions sont nécessaires. Cette
monnaie doit bénéficier d'une confiance absolue
d'une part, et d'autre part le pays à monnaie-clef doit
accepter et subir une balance déficitaire pour satisfaire
les besoins mondiaux en monnaie-clef. Or il est clair qu'à
long terme ces deux conditions sont incompatibles. Tant que les
Etats-Unis étaient le seul marché disponible, il
n'y a pas eu de problème. Mais l'aide Marshall et le temps
ont permis la reconstruction de l'Europe qui non seulement pourvoit
maintenant à ses besoins vitaux, mais exporte de plus en
plus.
Par suite, le dollar est moins recherché et donc non seulement
il n'est plus « rare », mais il est même trop
abondant compte tenu de la demande, et ceci de plus en plus, puisque
le déficit de la balance américaine persiste, non
plus sous la forme d'aide à la reconstruction mais d'investissements
directs des firmes américaines dans le monde.
L'Europe est inondée de dollars et tout naturellement les
pays qui ont trop de dollars les échangent contre de l'or
au prix fixé en 1934 de 35 dollars l'once d'or fin.
Entre le 1er janvier 1958 et le 31 décembre
1960, les Etats-Unis perdent 5 milliards de dollars-or.
Ainsi, si au début de l'année 1960 on pouvait croire
le système monétaire relativement stable, dès
octobre de cette même année l'illusion s'effondre.
Brusquement le cours de l'or à Londres monte. Dès
la fin de 1964, les avoirs étrangers officiels en dollars
sont équivalents aux réserves en or de Fort-Knox
qui s'amenuisent depuis 1957. L'or est lourdement taxé
pour quiconque cherche à s'en procurer mais c'est une valeur
sûre.
3. A partir de 1965, nous allons voir le S.M.I. se dégrader
lentement jusqu'à la crise finale du 15 août 1971.En
France, plus de la moitié de la monnaie en circulation
est de la monnaie scripturale, la couverture métallique
est seulement d'environ 10 %. Seule la stabilité de son
pouvoir d'achat fait qu'une monnaie est «solide».
Si jusqu'en 1965 le dollar jouit d'une confiance totale, c'est
en grande partie parce qu'aux Etats-Unis, entre 1954 et 1964,
les prix de gros n'ont pratiquement pas bougé et que les
prix de détail pendant la même période ont
augmenté seulement de 10 %. Or, à partir de 1965
les choses changent. Des taux d'inflation de 4 % puis de 6 % par
an, apparaissent. Ceci crée une disparité entre
le taux d'échange du dollar et celui des autres monnaies,
en particulier le deutschemark (DM). Cette inadaptation des parités,
jointe au fait que l'Europe est saturée de dollars, favorise
le déplacement des capitaux flottants, en particulier des
eurodollars à la recherche de gains spéculatifs.
L'inflation devient un problème très préoccupant
pour les Etats-Unis à partir de 1966. Il est clair que
le système mis en place à Bretton Woods ne pouvait
plus fonctionner.
Trois dates
essentielles vont consacrer son écroulement :
Depuis 1950, le déficit de la balance américaine
des paiements n'a cessé de croître mais après
1968, le déficit de 1969, 1970 et surtout de 1971 a atteint
des valeurs qui donnent le vertige (17 milliards en 1971). Les
raisons de cette détérioration sont connues : perte
de compétitivité de l'économie américaine
entraînant la détérioration de la balance
commerciale depuis 1964, sorties de capitaux venant s'investir
à l'étranger et surtout, dépenses militaires
accrues pour la guerre au Viêt-Nam. Le 15 mars 1968, le
pool de l'or est supprimé et un double marché de
l'or est créé. Un marché libre où
le prix du dollar par rapport à l'or est fixé par
le jeu de l'offre et de la demande; un marché officiel,
où seules les banques centrales peuvent acheter de l'or
aux Etats-Unis au cours inchangé de 35 dollars l'once.
Le
15 août 1971, le président Nixon suspend toute convertibilité
officielle du dollar en or. Sur les 20 milliards de dollars d'or
détenus à New-York en 1957, il en reste moins de
10 milliards en 1971. Le 19 décembre 1971, le dollar est
dévalué de fait. Outre ces trois dates capitales,
on peut noter pendant cette période de nombreux accès
de fièvre (dévaluation de la livre en novembre 1967,
dévaluation du franc en août 1969 et réévaluation
du mark en novembre). Et fin décembre 1971, un réalignement
quasi général des monnaies est décidé.
La grande question, résolue en 1971, est posée :
le dollar vaut-il moins que l'or ? Les ministres des Finances
des principaux pays riches, sous la pression des Américains,
répondent non, et pour couper
court à toute spéculation ils constituent «
le pool de l'or » afin que le cours de l'or à 35
dollars l'once soit maintenu. Mais la confiance est ébranlée,
le doute s'installe et s'amplifie.
III. Origine de la crise monétaire
Rappelons tout d'abord qu'il n'y a plus aujourd'hui de lien direct
entre la vraie valeur d'une monnaie et le stock d'or du pays considéré.
La masse monétaire intérieure n'est plus gagée
sur les réserves métalliques en or. Le dollar
n'est pas garanti par l'Etat. Cette monnaie est immatérielle
; c'est une simple unité de compte et elle est essentiellement
créée par le crédit bancaire. A chaque prêt,
on opère un virement, et la monnaie est détruite
quand le crédit est remboursé, mais comme des intérêts
sont payés à la banque, c'est de la création
monétaire qui s'ajoute à la masse monétaire,
et cela peut induire de l'inflation. Les
Etats-Unis, de leur côté, ont alors un déficit
budgétaire cumulé de plus de 4500 milliards de dollars
et empruntent au reste du monde mais c'est un déficit
sans pleurs. Le dollar, monnaie de réserve internationale,
a donc un statut privilégié et cela profite aux
exportations américaines. D'ailleurs, si les Etats-Unis
peuvent se permettre un tel déficit budgétaire,
c'est qu'ils ont conservé le droit régalien de battre
monnaie, et cela se répercute à l'échelle
mondiale. De temps en temps, Alan Greenspan
règle cela en ajustant les taux de crédit. La dette
publique s'accroit d'autant, ainsi les riches américains
vivent à crédit mais se sont enrichi avec des dollars
qui ne valaient rien ! Finalement, ayant crevé le plafond
qui avait été fixé, le plafond a été
relevé (août 2011). Sacré dollar !
Les
Etats-Unis et le désordre économique mondial.
Fort Knox est un camp militaire des États-Unis
d'Amérique construit en 1936 et situé dans l'état
du Kentucky au sud de Louisville. Il abrite la réserve
d'or des États-Unis d'Amérique, autrefois la plus
importante du monde, maintenant d'une importance inférieure
à celle de la réserve fédérale de
New York, appelée la FED. Retour
Henri Bergson est élu à l'Académie
française en 1914 quand la grande guerre va éclater.
Les Français espéraient une revanche rapide contre
les «Boches », mais les pertes sont nombreuses et
l’on n’en voit pas la fin. En 1917, Bergson se rendit
à plusieurs reprises aux États-Unis où il
rencontra le président Wilson pour tenter de le convaincre
d'entrer en guerre contre l'Allemagne. Avec le soutien de ses
alliés, la France obtint la reddition de l’Allemagne.
En 1921, Bergson démissionna du Collège de France
pour se consacrer aux affaires internationales et à la
politique. Retour
A la FED, à New-York, il y aurait actuellement
4 570 tonnes en lingot en dépôts.
L'ex-PDG de la Réserve Fédérale
américaine (FED), Alan Greenspan, est qualifié
de "rock star" de l'économie mondiale. Il a annoncé
une possible récession américaine d'ici la fin de
l'année 2007, ce qui a semé la panique sur les marchés.
Mais “ La politique monétaire ne peut
pas être débattue en public sans créer des
secousses sur les marchés.” Retour
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