L'expression
« majeur et vacciné » traduit bien le fait
que les vaccinations sont depuis
longtemps entrées dans les murs. Dernièrement,
leur nombre s'est considérablement accru puisque le calendrier
des vaccinations ne prévoit pas moins de 10 immunisations
avant l'âge de 18 ans. Pourtant, quelques voix contestataires
se sont régulièrement élevées contre
sa justification, dénonçant même l'inefficacité
de cette prophylaxie.
Aujourd'hui, malgré de nombreux incidents tels que celui
de l'hépatite C, où, malgré des polémiques
parfois violentes, le dossier de la
vaccination peine à être ouvert, en France, dans
le cadre d'un débat public dépassionné.Il est difficile, même pour les médecins, de
savoir comment sont fabriqués les vaccins.
Le Dr Alain Scohy, qui ne tient pas sa langue dans sa poche, agite
le chiffon rouge. Pour lui, ce sont en fait de véritables
«soupes purulentes».
Une chape de plomb
Les
techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes
: il faut être initié ou chercher avec opiniâtreté
pour soulever un coin du voile ! Certains sont encore cultivés
sur foie de singe vert et lorsqu'un professionnel réclame
des éclaircissements à l'Institut Pasteur-Mérieux,
on lui répond, sans rire : «secret défense»
!
Lors
de la vaccination, le médecin inocule
soit le micro-organisme responsable de la maladie dont on voudrait
protéger le patient, soit divers poisons fabriqués
par ces micro-organismes. Le produit final étant toujours
complété par une substance toxique et souvent hautement
allergisante baptisée «adjuvant» telle le mercure,
l'aluminium... L'aluminium entrant dans
la fabrication des vaccins ayant un effet neuro-toxique, la
contestation se répand actuellement et pourtant les fabricants
refusent d'abdiquer.
La DOSE MINIMALE TOXIQUE de l’ALUMINIUM
dans les VACCINS est de 0,01 mg / kg de poids corporel.
Avec la double vaccination INFANRIX HEXA/PREVENAR 13, le nourrisson
de 5 kg à 2 mois reçoit 0,945 mg d’aluminium
(0,82 + 0,125) SOIT 19 FOIS cette dose toxique !!! Et c'est Agnès
Buzin a rendu 10 vaccins obligatoires, alors qu'elle a des intérêts
dans les labos concernés dans la fabrication de vaccins.
(Serge RADER, pharmacien)
Cette inoculation se fait au mépris de toutes les règles
de prudence en usage pour les traitements médicaux (primum
non nocere). Elle est «réputée» inoffensive
et toujours efficace, sans que jamais la moindre étude
épidémiologique sérieuse n'ait été
effectuée, étant donné que l'immunité
naturelle n'est pas quantifiable... Curieusement, les diverses
moutures sont fréquemment remplacées par de nouvelles,
réputées moins dangereuses et plus efficaces, ...ceci
pour rassurer les médecins.
Des cellules contaminées
Les premiers vaccins mis au point par Pasteur lui-même,
comme celui de la rage, étaient en fait des organes d'animaux
malades broyés et inoculés directement (moelles
épinières de lapins enragés dans ce cas précis).
Aujourd'hui, les vaccins viraux modernes sont préparés
le plus souvent sur des cultures de cellules animales (foie de
singe) ou humaines (issues des avortements), cancérisées
artificiellement (on les baptise alors gentiment «immortelles»),
ou encore d'emblée cancéreuses (lymphomes). C'est-à-dire
qu'on fait «pousser» les virus vaccinants sur ces
milieux. C'est, dans tous les cas, le «jus» de culture
de ces cellules cancérisées qui est inoculé
aux patients, après filtration et traitements éventuels
pour atténuer ou tuer les virus !
Vaches folles ou savants fous ?
Les cellules cancérisées servant à fabriquer
les vaccins doivent être en très grand nombre : en
effet, chaque dose vaccinale renferme des quantités invraisemblables
de virus ! 700.000, au moins, pour une dose de vaccin anti-poliomyélitique
par exemple. Or, les fabricants de vaccins produisent des milliards
de doses ! Pour augmenter le rendement, l'on nourrit les cellules
«immortelles» qui servent à la culture des
virus avec du sérum de veau qui possède un facteur
de croissance particulièrement actif.
Or, ce sérum de veau est susceptible d'être contaminé
par des prions, qui sont des micro-organismes encore plus résistants
que les virus, responsables de maladies comme l'Encéphalite
de la vache folle ou la maladie de Creutzfeldt-Jacob (démence
abiotrophique). Des virus cultivés sur du sérum
de veau : comment ne pas évoquer la maladie de la vache
folle ? Ces maladies évoluent après de longues
incubations (trois à cinq ans en moyenne), ce qui permet
d'éviter tout «rapprochement» malheureux avec
ces pathologies ou d'autres maladies neurologiques comme la maladie
de Alzheimer ou le syndrome de Parkinson, par exemple. D'autant
plus que les veaux donneurs sont tués avant l'âge
adulte, donc avant que l'on puisse diagnostiquer la maladie à
prions. Ce risque est tellement évident qu'il est désormais
interdit par la législation française d'utiliser
le moindre produit d'origine bovine pour la fabrication de médicaments
injectables !
Des virus résiduels
Le jus de culture obtenu est manipulé avant l'inoculation.
On le filtre, puis on atténue (soi-disant) le virus selon
le type de vaccin, avec des produits très toxiques, comme
le méthotrexate ou le formol. Il faut savoir qu'il est
absolument impossible d'obtenir un produit pur. L'Institut Pasteur-Mérieux
parle d'une pureté de 99 %, l'OMS de 90 à 95 % (Rapport
technique 760, I987). De toutes façons, il est bien difficile
de contrôler les affirmations de nos institutions vaccinales...
Enfin,
une nouvelle technique, réputée plus économique,
vient d'être mise au point : le génie génétique.
Des enzymes et des fragments de gènes issus de virus très
cancérigènes (virus SV40 ) responsable du cancer
chez les animaux - ou virus du papillome en particulier) - obtenus
en quantités industrielles grâce à des contaminations
de cellules cancérisées et nourries avec du sérum
de veau sont, par tâtonnements, mélangés à
des cultures cellulaires (cancérisées la plupart
du temps - à l'exception de Lengerix B ou du petit dernier
UB-VAX DNA qui sont préparés sur des cultures de
levures végétales), pour «lobotomiser»
ces cellules et en faire des usines de production. Elles pourront
ainsi fabriquer des protéines capables de déclencher
la fabrication des fameux anticorps...
Là encore, c'est le jus de culture, plus ou moins filtré
et sans le moindre contrôle extérieur - une véritable
«soupe» de purulence, qui est récupéré
et inoculé aux patients, additionné a quelque «adjuvant»
toxique. L'OMS parle pudiquement «d'innocuité théorique»
au dessous d'un certain seuil en ce qui concerne le matériel
génétique résiduel (cf. Rapport technique
747 de l'OMS*).
- Ces vaccins contiennent vraisemblablement des substances cancérigènes
et avec des outils de manipulation génétique eux-mêmes
tératogènes par les derniers vaccins obtenus par
génie génétique.
- Ils peuvent être contaminés à tout moment
(lors de la conception de départ ou lors des manipulations
nécessaires à la fabrication du produit fini), soit
par des prions (sérum de veau) ou si l'on a utilisé
d'autres milieux de culture bovins, comme le BCG qui est cultivé
sur de la bile de buf, soit par des virus connus (VIS du
singe vert) ou inconnus encore.
- De par les additifs, les vaccins modifient profondément
le terrain bio-électronique, ouvrant la porte à
toutes sortes de maladies : allergies, athérosclérose
(métaux lourds), etc.
- Par inoculation de micro-organismes plus ou moins mal connus
encore, ils vont pouvoir déclencher de nouvelles maladies
infectieuses (du genre Ebola), réveiller des cancers latents
ou générer des maladies dites auto-immunes (sclérose
en plaques, SLA, comme ce fut le cas pour les victimes vacciné
contre l'Hépatite C).
Les victimes de ce vaccin contre l'hépatite C sont plus d'un millier en France !
- Ils risquent de venir modifier le capital génétique
des ovules ou spermatozoïdes et donc de déclencher
la naissance d'enfants monstrueux dans la descendance immédiate.
- Ils spécialisent par ailleurs le système immunitaire
de l'organisme à la fabrication d'anticorps, au détriment
des autres mécanismes immunitaires comme les CD4, et engendrent
de ce fait à la longue un véritable effondrement
immunitaire, favorisant le développement du SIDA !
VACCINATION : ERREUR MÉDICALE
DU SIÈCLE - DANGERS ET CONSÉQUENCES par le Dr.
Louis de Brouwer, Ed. Louise Courteau. Cet
ouvrage démontre, par l'étude des principales vaccinations,
leurs dangers et, dans bien des cas, leur inutilité. "De
plus en plus, il apparaît que la vaccination porte en fait
atteinte à l'intégrité du système
immunitaire des personnes vaccinées. L'introduction dans
l'organisme (par vaccination) de virus vivants, ou atténués
peut lui permettre de reconstituer ce capital mais risque aussi
de recréer de toutes pièces un virus ou un rétrovirus
hybride. Ainsi, le nombre des accidents provoqués par les
vaccins est important." Un ouvrage qu'il vaut mieux avoir
lu avant de décider de se faire vacciner ou de faire vacciner
ses enfants. Et sur l'imposture pasteurienne :
Pour en finir avec Pasteur, un siècle de mystification
scientifique,
du Dr Eric Ancelet
«Les dessous des vaccinations, dossier vérité»
du Dr Alain Scohy, (109 pages). Vente en magasins de produits
naturels (ou 68 F franco aux éditions Cheminements, 3 place
Ossolo, 06130 Grasse).
La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,
La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,
Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,
Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed.
Amrita,
La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,
Au cœur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,
Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,
Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL),
auto édité,
Vaccinations : l'Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,
Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,
Pour en finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,
La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI),
Ed. Compagnie,
La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD),
Ed. le Seuil,
Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,
On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,
Vaccination, Social Violence and Criminality, North Atlantic Books,
Berkley 1990,
A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing
group, 1991,
Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed.
La Vieille Taupe, 1989,
L'intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,
La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV,
Ed 1988,
Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon
Press Corp, New Yorl, 1996,
L'intox, quelques vérités sur vos médicaments,
(Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,
Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington
DC National Academy Press, 1991,
Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,
La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,
Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN),
Ed. Vivez Soleil,
Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN),
Ed. Soleil 1987,
Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,
La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean
PILETTE), Ed. de l'Aronde, 1997,
La catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l'Ouest,
1950,
Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,
Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),
Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies
naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller
Schär MANZOLI),
Déjà vacciné ? Comment s'en sortir ?, (Dr
A. BANOIS – Sylvie SIMON),
Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,
12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie,
1978,
Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à
Grenoble), Ed. Louise Courteau,
Nous te protègerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,
La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique
médicale infantile), Ed. Princeps,
La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin
Michel,
Vaccin Hépatite B : Les coulisses d'un scandale, (Sylvie
SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur. Retour
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