Les affaires judiciaires qui tournent au vinaigre
De pire en pire...
La Magistrature qui dépend du Chef de l'Etat s'est déjà
totalement déshonorée dans l'affaire Outreau (un
fiasco
judiciaire lamentable), et dans le procès
Colonna, en condamnant un innocent au mépris de toute
justice ! Et celui-ci voudrait maintenant supprimer le juge d'instruction,
pour que la justice dépende entièrement
du pouvoir... Par ailleurs, c'est la même chose au niveau
de la Police : "la
police politique de Sarkozy", appelée le "FBI
français", qui a été mise en place secrètement
au sein de la DCRI,
pour protéger les intérêts personnels du Président
et de ses proches, pour le prévenir des affaires scandaleuses
qui pourraient le nuire, a été révélée
dans un livre depuis peu (L'espion du Président).
L'affaire dite de tarnac : le fiasco que le pouvoir va masquer
intentionnellement...
Toutes ces manigances de Sarkozy, on les connait, il n'arrête
pas, c'est un paranoïaque !
De même avec l'affaire Sarkozy-Tapie : 408 millions prélévés
sur le trésor public pour son ami Bernard Tapie qui se
plaignait d'avoir été lésé par le
Crédit Lyonnais dans la revente d'Adidas, avec la complicité
de Christine Lagarde, son ministre des finances jugée coupable
par la CJR mais dispensée de peine ! C'est finalement un
fiasco
judiciaire (9/07/2019). Bernard Tapie doit toujours rembourser les 408
millions d'€, mais il n'est contraint par personne, semble-t-il.
Opération
Sarkozy ou comment la CIA a placé un de ses agents à
la présidence de la République Française
(Réseau Voltaire).
Procès du groupe de Tarnac : encore un fiasco judiciaire
Accusés d'actes terroristes en 2008, ils sont finalement
relaxés dix ans plus tard. Les membres du groupe de Tarnac
qui avaient été arrêtés, devant les
caméras de télévision, par 150 policiers
le 11 novembre 2008, étaient soupçonnés d'avoir
saboté des caténaires de lignes SNCF en novembre
2008 à Dhuisy (Seine-et-Marne). Jugés pour "associations
de malfaiteurs", ces huit membres de la mouvance libertaire
d'extrême-gauche ont toujours nié les faits. Le procureur
Olivier Christen avait d'ailleurs fini par reconnaître le
28 mars 2018 : "le 'groupe Tarnac' n'existe pas ; c'est une
construction policière". La présidente du tribunal
a, de son côté, déclaré à la
sortie du tribunal : "L'audience a permis de comprendre que
le groupe de Tarnac était une fiction". Au terme d'un
procès de plus de deux semaines, les libertaires Julien
Coupat et Yildune Lévy ont été relaxés
ce jeudi 12 avril par le tribunal correctionnel de Paris. (Magazine
Marianne, publié le 12/04/2018)
Tarnac : la manipulation politico-policière confirmée... par une plume de la presse.
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