Des questions qu'on se pose
sur cette crise sans précédent
Tout le monde a pu voir récemment un certain nombre de
très grands médecins et de professeurs en infectiologie,
immunologie, génétique ou virologie se succéder
sur les plateaux de télévision et de radio pour
expliquer qu’ils ne comprenaient rien à la gestion
de cette crise de la Covid-19 et aux différentes situations
politiques paradoxales qui se sont enchaînées dès
l’apparition du SARS-COV2 dans le monde.
Le professeur Christian Peronne, brillant médecin-professeur
français exerçant à l’hôpital
de Garches en région parisienne est l’un d’entre
eux. Apparaissant de plus en plus interloqué émission
après émission, il vient de publier récemment
un livre dans lequel il recense « les erreurs majeures »
que le gouvernement français aurait commis durant cette
crise.
Or Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs
la plupart « des gens normaux » qui pensent que Boris
Johnson s’est retrouvé à côté
de la plaque ou encore qu’Agnès Buzin et son Comité
scientifique « se sont retrouvés dépassés
».
Le souci c’est qu’en réalité, les gouvernements
de la planète n’ont commis aucune erreur même
si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire.
Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient
données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise
totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates
ou David Rockfeller.
Au total, ce ne sont pas moins de 194 États dans le monde
qui ont ratifié le Règlement
Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation
Mondiale de la Santé (OMS). Règlement, rappelons-le,
qui prévoit qu’en cas de crise sanitaire majeure,
tous les états membres s’engagent à respecter
toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à
faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et
les codes juridiques des états.
Mais nous allons développer tout ceci un peu plus loin
car c’est très important, d’autant plus que
le Parlement Européen a fait promulguer une loi
extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de permettre
la vaccination des individus et de leur inoculer des OGM dont
on ne sait absolument rien.
On est toujours le même cas de figure, celui où
des gens innocents, naïfs et fondamentalement bons ne voient
jamais « le Mal » tel que l’on devrait le voir,
c’est-à-dire dans son essence la plus absolue et
la plus machiavélique qui soit. Ils en sont incapables
car ils pensent que tout le monde est comme eux. Ils ne voient
que des imperfections, des incohérences, des incompétences
et des erreurs commises. Et comme leur nature est intègre
et qu’ils sont des gens fondamentalement honnêtes,
ils sont incapables de percevoir et de comprendre que cette crise
du COVID vient de très loin et qu’elle a été
intégralement orchestrée de A à Z.
Rien n’est dû au hasard. Avec le recul, nous pouvons
même penser que toutes ces histoires de nems de chauve-souris
mal cuits et de pangolin mal grillé pour être revendu
à la sauvette dans un marché de Wuhan ne sont que
des histoires pour enfants. La preuve est que nous sommes déjà
à la mi-septembre et nous n’avons toujours pas trouvé
de patient « zéro ». Tout nous laisse penser
que nous le trouverons pas.
La réalité est bien plus scabreuse, bien plus machiavélique
et bien plus maléfique que tout ce à quoi l’on
veut nous faire croire. Le hasard, comme le disait Einstein, «
c’est Dieu qui se promène incognito » et en
arabe, ce terme désigne la chance ou le succès.
C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait
qu’un événement considérablement improbable
et incertain se réalise avec une précision divine.
Si tel est peut-être le cas dans le domaine de la physique
quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques,
c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes
où Dieu se promène partout entre la masse du proton,
la fleur de vie et le nombre d’or, ce qui relève
de la certitude, c’est que dans le domaine de la physique
des affaires politiques, de l’ingénierie sociale
et du contrôle des populations - et des pandémies
évidemment -, Dieu n’y est pour rien.
L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises
ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes,
de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux
qui maîtrisent les événements et le temps,
réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut
bien dire que les crises sont délibérément
organisées et déclenchées à des fins
précises et aux moments voulus.
Dans la réflexion, la planification, l’organisation,
le contrôle des médias, la manipulation génétique,
la recherche d’armes biologiques et bactériologiques,
la dissémination délibérée d’un
virus ou derrière un lockstep économique et un lockdown
des populations, l’homme est partout. Il pense à
tout.
Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif
de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression
et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme
ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il
s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment
à tout.
Pour vous convaincre par les sentiments, par exemple, la fabrique
du consentement vous répétera, jusqu’à
ce que vous le répétiez vous-même à
vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la
servitude volontaire, que vous ne devez surtout pas rendre visite
à vos grands-parents dans leur maison de retraite au prétexte
que vous pourriez les tuer en leur transmettant un virus mortel.
En France, le 27 mars 2020, le gouvernement n’a pas hésité
à interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19
par hydroxychloroquine basant son décret sur l’étude
truquée de la revue « The Lancet » et
si les responsables de cette revue ont reconnu leur erreur, le
gouvernement lui n’a pas changé d’avis.
Déclarant ainsi dangereuse, une molécule prescrite
depuis plus de 60 ans à travers toute la planète
et dont le Docteur Fauci disait, en 2005 dans un article, que
cette molécule était d’une efficacité
redoutable pour traiter le SARS-COV1 mais aussi tous les coronavirus.
Alors complot contre la santé ou hasard de calendrier
?
Il y a quelques jours, le New York Times publiait encore un article
dans lequel l’auteur expliquait que le confinement avait
tué 10 fois plus de gens que le virus lui-même mais
cette information est passée totalement inaperçu
dans les médias européens.
Par le terrorisme émotionnel, pour vous donner un autre
exemple, la fabrique médiatique du consentement vous fera
toujours croire que si vous ne voulez pas que votre bébé
meure dans d’atroces souffrances, vous devez impérativement
le vacciner contre une bonne douzaine de maladies et ce, avant
même que son corps ait acquis sa propre immunité.
Qu’importe que votre enfant devienne plus tard autiste
ou que les effets secondaires irréversibles de ces vaccins
le rendent stérile ou développent chez lui, 30 ou
40 ans après, toutes sortes de maladies neuraux-dégénératives
qui seront beaucoup plus graves que les maladies contre lesquelles
il est censé être immunisé.
L’important, pour tous ces ministres de la santé
qui ne sont en réalité rien d’autres que les
représentants commerciaux des grands firmes pharmaceutiques,
est juste que vous injectiez toute une série de vaccins
payants dans le corps de ce petit être encore fragile et
innocent, cet incroyable miracle de la nature. Seul compte pour
eux le volume des ventes, la rentabilité des investissements
consacrés à la recherche et au développement
et la hausse du cours de l’action de la société.
L’homme de pouvoir et assoiffé de contrôle,
a toujours la fâcheuse tendance à toujours vouloir
se prendre pour le Créateur et à toujours vouloir
tout manipuler et refaire à sa place et je ne parle pas
là des chefs d’état et des gouvernements qui
ne sont que de simples exécutants. Je parle de ceux qui
ont réellement le pouvoir. Ceux qui financent les bourses
d’études et les campagnes électorales de ceux-là
mêmes qui deviendront ensuite leurs débiteurs. Ceux
dont on ne parle jamais.
Pourtant ces acteurs de l’ombre impriment la monnaie et
décident de votre paix si vous leur contractez un prêt
ou installez une de leurs banques centrales sur votre territoire.
Le cas échéant, comme ce fut le cas en Libye, ils
décident de vous renvoyer à l’âge de
pierre.
« Le monde », disait Nicholas Butler, « se
divise en 3 catégories : un très petit nombre qui
fait se produire les événements, un groupe un peu
plus important qui veille à leur exécution et les
regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité
qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité
».
Ce que nous proposons ici est une grille d’analyse de la
situation d’aujourd’hui car oui, l’homme de
pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et
surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir
et l’évolution démographique et génétique
de notre espèce.
L’opération COVID-19 est une pure opération
d’ingénierie sociale
Derrière la terreur et la psychose, plus de contrôle
et encore moins de Liberté
Les eugénistes et les malthusiens disent souvent que rien
n’est plus dangereux pour notre planète et notre
avenir que la surpopulation.
À Alberton, dans l’état de Géorgie
aux États-Unis, ces grands penseurs de l’avenir de
l’humanité ont même gravé cette recommandation
démographique dans le marbre et pour être bien sûr
que personne ne l’oublie, ils l’ont faite graver et
écrire en 8 langues sur 6 énormes blocs de marbre
ne pesant pas moins de 108 tonnes.
Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions
d’individus en perpétuel équilibre avec la
nature.
Très bien et merci du conseil mais nous sommes actuellement
7,5 milliards d’individus et pour atteindre cet objectif,
je pense que nous avons ici « un léger » problème.
Alors comment faire…
John Holdren et Paul et Anne Ehrlich ont apporté des solutions.
Ils les ont même écrites et publiées dans
un livre qui s’appelle « ECOSCIENCE ». Un livre
fou dans lequel on peut y lire toute une série de mesures
pour mener à bien cette opération de réduction
de la population planétaire comme le fait d’«
ajouter des stérilisants dans l’eau du robinet et
les aliments de base, des perturbateurs endocriniens, de légaliser
les drogues et les neurotoxiques » ou encore de «
libérer des virus hautement pathogènes ».
Voilà qui est intéressant.
Rien n’est inventé et tout est dans ce livre qui
est « La référence et la bible » des
mondialistes tels que Bill Gates ou David Rockfeller lequel disait
encore il y a quelques années que « nous sommes à
la veille d’une transformation globale et tout ce dont nous
avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure pour
que les nations acceptent le Nouvel Ordre Mondial ».
John Holdren a été un collaborateur particulier
d’Obama et il est un ami proche des Clinton, de Bill et
Melinda Gates et de David Rockfeller.
En mai 2010, la Fondation Rockfeller a publié un rapport
extrêmement intéressant sur son site. Il s’intitule
: «Scenarios for the Future of Technology and International
Development ». Ce rapport est public et tout comme dans
ECOSCIENCE, on y trouve tout ce qu’il faut savoir sur les
pandémies, les confinements et les vaccins. A la page 18
de ce rapport, on y trouve un chapitre intitulé «
LOCKSTEP », c’est-à-dire la mise à l’arrêt
ou le verrouillage économique mondial en cas de pandémie.
Certes il ne s’agit que d’un scénario sous
forme de dystopie mais aujourd’hui il est malheureusement
bien réel et tout ce qui nous est arrivé y est décrit
avec une précision inouïe. Or on ne peut pas comprendre
la crise de la COVID-19, comme c’est le cas pour les professeurs
Perrone, Raoult, Henrion-Caude, Toubiana ou Toussaint, si l’on
ne se donne pas la peine de contextualiser ce jalon sanitaire
dans le temps long. C’est-à-dire de le voir comme
l’étape d’un programme mondialiste plus global
et plus complexe.
Les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que
se pencher sur la question du comment faire pour arrêter
l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions
et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine
de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique,
écologique et logistique, de l’exploitation et de
la gestion de nos ressources. L’idée est née
en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est
là où il était déjà question
de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.
Il est intéressant de noter que le premier vice-président
du Club de Rome a été David Rockfeller. Celui-là
même qui a commandé le premier rapport Meadows et
qui a été publié en 1972.
Dès l’antiquité les mésopotamiens,
les égyptiens et les chinois recensaient leur population
pour s’assurer un parfait contrôle démographique.
Il s’agissait d’une question existentielle fondamentale
car c’est de la bonne gestion des ressources caloriques
et des effectifs humains aptes à défendre puis assurer
la protection de l’espace vital, que dépendait la
survie du groupe.
Cette question du recensement et de la maîtrise démographique
des populations, à des fins martiales ou socio-économiques,
pour le travail dans les champs puis dans les mines et les manufactures,
a toujours obsédée les hommes et a toujours fait
partie de notre histoire. C’est une question essentielle.
Ce qui vient bousculer cette question plutôt simple pour
notre époque, c’est l’arrivée de l’intelligence
artificielle.
Il n’y a pas de hasard rappelons-le. Tout est calculé
et pensé plusieurs dizaines d’années à
l’avance.
En démographie, il est même très courant
de faire des projections sur plusieurs centaines d’années.
Bill Gates, dans une interview accordée à John
Kennedy Junior et qui a été publié dans le
magazine mensuel George en février 1997 sous-titrée
« guide pour le futur 2020 », il dit exactement ceci
: « je finance des projets d’éducation, je
finance le contrôle de population, je suis très impliqué
dans le programme United Way ». C’est à la
page 101 du magazine pour ceux qui ont chez eux ce numéro
qui se vend sur le marché des collectionneurs à
plus de 5000 $.
Pendant que la plupart d’entre nous avons le nez dans le
guidon à essayer de survivre dans cette « course
» perpétuelle sans comprendre réellement le
sens du miracle de la vie, d’autres réfléchissent
pour nous. Ils pensent, prévoient et organisent nos vies,
à tort ou à raison, jusqu’à décider
de qui est utile sur cette planète-miracle qui ne l’est
plus.
S’il faut bien comprendre une chose aujourd’hui,
c’est que l’accélération technologique
et l’accélération de l’innovation, mais
surtout la pénétration de l’intelligence artificielle
dans tous les aspects de notre vie quotidienne, vont inéluctablement
changer le monde pour toujours.
Il faut être vraiment naïf ou incroyablement rêveur
pour croire que les fondations telles que la fondation Rockfeller
ou la fondation Bill et Melinda Gates investissent des milliards
de dollars dans la recherche biologique et bactériologique
ou dans les vaccins pour le bien-être de l’humanité.
Comment peut-on croire naïvement un seul instant que ceux
qui veulent nous sauver des virus et des pandémies sont
ceux-là même qui essaient de maîtriser et de
réduire la population ?
Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire
et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU,
disait que « les virus étaient créés
et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques
fassent des profits grâce à la vente des médicaments
». Il ajoutait que « les médicaments et les
vaccins ne devaient pas être vendus aux particuliers. Annoncez
la gratuité des médicaments et des vaccins dans
le monde », disait-il « et vous n’aurez plus
jamais de virus en circulation car les virus sont créés
pour que des vaccins soient mis au point et pour que les grandes
entreprises capitalistes en tirent profits ». Tout n’est
pas qu’une question de profit.
Alors, virus de la nature ou virus délibérément
propagé ?
Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019
et qui s’intitule Global Preparedness Monitoring Board
et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est exactement question
de la dissémination délibérée d’un
virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur
la période septembre 2019-septembre 2020.
Au paragraphe « Indicateurs de progrès »,
il est écrit :
Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins
deux exercices de formation et de simulation à l’échelle
du système, dont un couvrant la dissémination délibérée
d’un agent pathogène respiratoire mortel.
L’OMS met au point des facteurs déclencheurs intermédiaires
pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale
dès le début d’une flambée, afin de
compléter les mécanismes existants pour les stades
ultérieurs et plus avancés d’une épidémie
dans le cadre du RSI (2005).
Le Secrétaire général de l’Organisation
des Nations Unies convoque un dialogue de haut niveau avec les
responsables de la santé, de la sécurité
et des affaires étrangères pour déterminer
comment le monde peut faire face à la menace d’une
pandémie due à un agent pathogène respiratoire
mortel, et pour gérer la préparation aux épidémies
dans des situations complexes où règne l’insécurité.
Dans le magazine hebdomadaire The Economist et dans un
des numéros paru en fin d’année 2018 et qui
s’intitule « The World In 2019 », il était
déjà question de la survenue d’un événement
exceptionnel qui allait semer la mort et l’apocalypse à
travers le monde.
Sur la première de couverture, où les fans de ce
magazine y trouvent toujours une page entière consacrée
à l’eurythmie où le jeu consiste à
deviner (ou se préparer) pour tous les événements
de l’année à venir, on peut y voir beaucoup
de dessins comme notamment ceux du président chinois en
Pinocchio (le menteur), un QR code sur un téléphone,
un ARN incomplet ou encore une cigogne portant un bébé
avec un code barre.
Mais les plus intéressants de tous ces dessins sont les
figures représentant les 4 cavaliers de l’apocalypse,
le panda fâché regardant Donald Trump et le pangolin.
Alors pour en revenir à nos probabilités et aux
événements improbables et incertains, c’est-à-dire
aux cygnes noirs, pourquoi diable les Rothschild, qui sont les
propriétaires de ce magazine et les initiateurs de ce jeu
annonciateurs pour initiés, ont-ils choisi le pangolin
pour figurer sur cette première de couverture alors qu’il
existe près de 8 millions d’espèces animales
dans le monde ?
J’en avait déjà parlé dans un article
paru en février 2019 intitulé « Vers davantage
de contrôle et moins de liberté » mais je n’avais
toutefois pas précisé que l’événement
dont il était question et qui allait survenir en 2019,
allait être une pandémie.
Sans doute avait-il manqué d’informations car il
est vrai aussi que le fait de voir ce panda fâché
dévisager Donald Trump et qui reste inflexible et déterminé
peut nous laisser penser que l’apparition du SARS-COV2 dans
le monde relève d’un début de guerre bactériologique
entre la Chine et les États-Unis.
D’autant plus qu’il y a environ un peu plus d’un
1 an, le 5 août 2019, nous apprenions par l’intermédiaire
du New York Times qui rapportait dans un de ses articles, que
l’armée de terre américaine venait juste d’ordonner
la fermeture du laboratoire militaire de Fort Detrick dans le
Maryland. Laboratoire militaire de classe Pathogène 4 (P4)
donc de très haute sécurité, rappelons-le,
et dans lequel ne sont effectués que des recherches au
contact de virus exceptionnellement mortels à des fins
de production d’armes biologiques et bactériologiques.
Il est important par ailleurs de noter que le laboratoire de
Fort Detrick avait déjà été au cœur
de plusieurs scandales aux États-Unis dont celui qui a
donné lieu à l’affaire « Drop Kick »,
opération militaire durant laquelle l’armée
américaine a délibérément relâché
dans des zones civiles des centaines de milliers de moustiques
porteurs de la malaria à des fins de tests.
Il s’agit juste d’une parenthèse importante
pour bien faire comprendre aux lecteurs que quand une organisation
militaire ou scientifique veut relâcher un virus dans la
nature à des fins d’exercice ou de test, il ne s’agit
pas de complotisme. Cela existe et l’opération «
Drop Kick » n’a pas été une erreur et
un cas isolé.
Si à cela on ajoute d’autres événements
tels que l’assassinat étrange du chercheur sino-américain
Bing Liu, la fuite rocambolesque de la chercheuse chinoise Juan
Tang pour se réfugier dans l’ambassade chinoise de
San Francisco et dans le même temps la fuite « à
la Spy Game » de la chercheuse et spécialiste mondiale
des coronavirus Li-Meng Yan vers les États-Unis, il y a
vraiment de quoi être dérouté.
Cependant, après quelques mois de réflexion et
un peu de recul, ce que nous trouvons sur le site du Forum Économique
Mondial nous démontre bien que la première hypothèse
est la bonne, la seconde est un leurre.
À savoir que nous sommes bien dans le cas où la
dissémination délibérée d’un
virus respiratoire mortelle a pour objectif d’amener l’humanité
à changer de paradigme.
Si vous vous rendez sur le site du Forum Économique Mondial
et que vous vous allez sur l’onglet « platforms »
et que vous cliquez ensuite sur « covid action platform
» vous y lirez déjà des informations extrêmement
intéressantes.
Déroulez ensuite votre curseur et cliquez après
sur le graphique en forme de coronavirus tel que celui-ci-dessous.
C’est le même. Il va s’afficher et devenir interactif.
Cliquez ensuite sur « Avoiding COVID-19 Infection and
Spread ». vous y verrez clairement que si vous voulez
sortir de cette pandémie et en éviter d’autres,
la seule piste qui vous est proposée est celle du gouvernement
mondial, de la transhumance et la voie du vaccin.
Alors si nous savons déjà beaucoup de choses sur
le gouvernement mondial, l’intelligence artificielle et
l’homme augmenté, ce que nous savons moins en revanche
et dont nous avons moins connaissance, ce sont toutes ces choses
satellites au vaccin et c’est là, où les choses
deviennent très intéressantes. Le brevet qu’a
déposé Microsoft, le 26 mars 2020, concerne la cryptomonnaie...
"Des données d’activité corporelle peuvent
être générées sur la base de l’activité
corporelle détectée de l’utilisateur".
Alors quelques questions se posent :
. Comment va-t-on équiper tous les êtres humains
de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement
des bras et des jambes, la position assise ou couchée,
l’activité physique de l’activité cérébrale
?
. Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données
d’activité corporelle ?
. Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement
modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché
a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement
européen n’a pas vocation à modifier notre
ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau
d’intelligence artificielle ?
L’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement
celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle
ère, ce qui est également très probable est
le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouverons
sans doute plus leur place et deviendrons obsolètes. Ils
seront progressivement éliminés.
De la même façon qu’aujourd’hui les
chiens-robots sont venus progressivement remplacer les soldats
au devoir, à la surveillance frontalière ou en zone
de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra
pas garder et payer les gens à la maison à ne rien
faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence
artificielle. Y compris la police et l’armée et ce
n’est absolument pas une fiction.
Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils
seront tous inéluctablement tous bio-connectés à
une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera
s’il y a lieu de le faire. Nous le répétons,
ce n’est pas de la science-fiction et nous ne sommes pas
dans un film. Tout ceci est la réalité mais il est
encore très difficile de la saisir dans le temps présent
alors que la compréhension de l’ensemble du projet
s’inscrit, elle, dans le temps long.
Cette « pandémie » qui a été
mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident
de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a
rien d’un jeu pour enfant.
Comme l’explique l’OMS à travers ses publications
et comme le publie également le Forum Économique
Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle
sera alors l’issue de cette partie finale qui se jouera
entre ceux qui veulent nous contrôler et nous posséder
d’une part et ceux qui ne veulent pas de ce projet d’autre
part ?
Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent
du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements
dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur
par les effets statistiques via la propagande médiatique,
force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur
mais bien de stratégie.
Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security
à New York, il s’est sans doute tenu, concernant
l’avenir du monde, la réunion la plus importante
de toute l’année 2019. Il s’agit de l’Event
2019.
Cette réunion, organisée en partenariat entre le
centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le
Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer
l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness
Monitoring Board de 2019. Elle s’est tenue en public
avec des invités particulièrement triés sur
le volet et sous forme d’une pièce de théâtre
où chacun avait un rôle bien précis. La simulation
consistait à se préparer à la prochaine pandémie
mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette
réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans
compter les dégâts incommensurables qu’une
telle catastrophe allait provoquer sur l’économie
globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points.
Ce qui est intéressant à savoir c’est que
tous les gouvernements et la plupart des grands médias
de la planète étaient au courant de cette réunion.
Seulement personne n’en a parlé. La consigne était
de ne pas en parler. Pourtant cet exercice n’était
pas qu’une simulation, c’était une véritable
préparation à la pandémie qui allait venir
quelques semaines plus tard mais si vous répétez
cela, vous serez désigné comme complotiste et vous
serez discrédité à vie.
Si vous regardez bien le parcours professionnel des personnages
politiques en fonction, vous verrez que la plupart des Ministres
de la santé viennent presque tous du privé et ont
tous des liens plus ou moins étroits avec les plus grandes
entreprises pharmaceutiques de la planète. Et alors diront
les libéraux dont je fais partie ? Est-ce interdit ? Bien
sûr que non. Oui c’est légal et ce n’est
pas mal en soi.
Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour
le bien-être et l’intérêt des peuples
et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt
des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif et unique
est de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur
revendre des traitements sous licences afin faire un maximum de
profits ? N’y a-t-il pas là un conflit d’intérêt
? Bien évidemment que oui.
Rappelez-vous car nous l’avons vu plus haut, qu’en
cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec
la crise du COVID-19, tous les états membres doivent impérativement
accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial lequel est
dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland. Une
charmante dame très connue pour avoir échappée
à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège
et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable
à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses
études de médecine.
La création et la présentation du Conseil Mondial
a été officiellement annoncée par communiqué
de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est,
en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants
du monde et de leur donner les consignes à suivre pour
endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création
est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS
et le Groupe de la Banque Mondiale.
Petit flashback intéressant concernant la Banque Mondiale.
Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, qui est une Banque censée
aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable
idée d’émettre sur le marché des obligations
des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire
des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés
sur un risque de pandémie.
Une idée folle n’est-ce pas ? Pas tant que ça
à vrai dire surtout si vous êtes une banque, un fond
de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes
au courant, -et en droit financier cela s’appelle le délit
d’initié-, qu’il va y avoir une pandémie.
A votre avis, combien de banque accepterait de se lancer, -de
façon hasardeuse-, dans l’émission de telles
obligations sans avoir la certitude de ramasser le jackpot avant
la fin du contrat ? Aucune.
Mais comment voulez-vous prévoir une pandémie ?
C’est tout simplement impossible.
Alors en quoi consiste ces pandemics bonds ? C’est
très simple.
La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à
des fonds, des sociétés ou des états en misant
sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15
juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance
avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie
est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs
de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent
collecté est reversé aux pays les plus pauvres de
la planète (75 états). S’il n’y a pas
de pandémie, les investisseurs récupèrent
leur mise de départ et les intérêts en découlant.
Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans
les pandemics bonds disent qu’il y a anguille sous
roche et ont perdu leur mise. Ce qui est intéressant également
à noter c’est que les pays les plus pauvres de la
planète n’ont toujours pas touchés leurs aides.
Ces contrats en effet, qui prenaient en compte le virus concerné,
le début de la pandémie, son évolution ou
encore le nombre de morts, etc, étaient en réalité
bien plus complexes qu’ils n’en avaient l’air.
Pour Arturo Bris, professeur de finance, il n’y a aucun
doute. « Les gens qui sont à l’origine de la
création et de l’émission des pandemic bonds
étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une
pandémie de coronavirus avant le 15 juillet 2020 ».
Ce sont de graves accusations mais sont-elles infondées
et farfelues ? Pas si sûr.
A ce stade, il est maintenant très difficile de défendre
l’idée que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie
respiratoire dénommée la COVID-19, est un virus
venu de la nature et que personne n’était au courant
comme il est encore plus difficile de croire que tout le monde
a été surpris et pris de court et que tous les gouvernements
de la planète ont été des amateurs.
Peut-être que la Chine a menti, comme un Pinocchio sur
une page de couverture, et peut-être que même que
l’état profond chinois a été complice
dans la dissémination délibérée de
ce virus et dans le lancement théâtral de cette pièce
tragique et funeste. Nous ne le saurons peut-être jamais.
Mais ce qui est certain et que nous commençons à
comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence
artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons
de surprise en surprise.
Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de
Bill Gates
Le
souhait de Bill Gates et des eugénistes, et qui est de
vouloir coûte que coûte contrôler et vacciner
toute la planète sous couvert d’avancées humanitaire
et philanthropique, ne date pas d’hier.
Comme le montre la photo ci-contre, on peut y voir que le père
du créateur de Microsoft, en pose très confiante
avec David Rockfeller et son petit fils. Il est au milieu et c’est
très révélateur.
Le projet conjoint « Trust Stamp » de la fondation
Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockfeller et de Mastercard
consiste à vacciner tous les êtres humains avec des
alibis pour enfants comme par exemple la lutte contre le blanchiment
ou la lutte contre le trafic d’être humains comme
on peut le lire sur l’onglet « humanitaire »
du site.
La réalité est tout autre et d’ailleurs,
les premières expériences sont déjà
en cours en Afrique de l’Ouest. Intéressant de voir
que c’est toujours en Afrique, en Inde ou dans les régions
les plus pauvres de la planète que Bill Gates et ses amis
philanthropes essaient toujours leurs dernières trouvailles.
L’organisation « ID2020 », qui est également
le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire
piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires
sont là encore les fondations Gates et Rockfeller, s’engagent
à fournir une identité numérique aux milliards
de sans papiers qui migrent à travers le monde.
S’agissant du vaccin, qui est déjà en train
d’être massivement inoculé en Afrique et au
Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de
modifier notre génome en temps réel mais aussi les
nanoparticules censées interagir avec les réseaux
d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés
seront connectés, il est impossible dans l’immédiat
de prédire quels seront les effets premiers et les effets
secondaires.
Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront
aucun recours possible pour se défendre car, comme vous
le savez sans doute, aucune des sociétés qui développent
et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant
un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction.
Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient
d’une immunité judiciaire sans limite.
Du point technique et salutaire, dans un cas où tout le
monde serait vacciné et répertorié selon
le projet ID2020 étendu et que nous devions évoluer
dans un système verrouillé tombés aux mains
de radicaux fous et totalitaires, il serait impossible de se défendre
et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un
clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où
il nous viendrait l’idée de vous révolter
ou de vouloir contester un ordre.
La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockfeller
il y a quelques années.
Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement
le pouvoir et il va être très difficile de leur ôter.
L’argent est bien souvent le nerf de la guerre et ils en
impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur
l’imprimante et elle tourne à plein régime.
Dans un récent article publié sur le site de Futurama,
qui présente la start-up « Neuralink » et ses
travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité
du transhumanisme qui est de connecter l’homme à
la machine, c’est-à-dire à l’humanité
à l’intelligence artificielle, via un « neural
lace », c’est-à-dire un implant greffé
au cerveau.
Alors certes, les travaux de cette société appartenant
au célèbre milliardaire Elon Musk en sont encore
à implanter des puces sur les cerveaux des cochons mais
les premiers résultats sont déjà là
et ils sont prometteurs.
Derrière l’argument du progrès et de l’aide
que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique
aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles,
aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre
réalité dans les coulisses du transhumanisme et
celle-ci n’est jamais mise en avant. Elle réside
dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule
personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles
et par là même le contrôle total sur une humanité
connectée.
Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après
avoir greffés les cochons ne vienne le moment de greffer
les hommes.
. Qu’en sera-t-il si vous ne contrôlez plus vos pensées,
vos faits et vos gestes ? Qu’en sera-t-il si l’intelligence
à laquelle vous êtes connecté subit un bug
?
. Que pourrez-vous faire si vous n’avez plus le contrôle
de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants
? Que pourrez-vous faire si quelqu’un venait à pirater
l’intelligence à laquelle vous êtes connecté
et à en prendre le contrôle ?
Il n’est pas évident de répondre à
toutes ces questions.
Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en
ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que
vous refusez d’en porter un dans les rues de la région
du Québec, et bien vous risquez de vous retrouver dans
des camps pour détenus ayant peut-être la COVID pour
une durée de 14 jours. Vous en sortez, vous rentrez chez
vous et là, la police vous contrôle à nouveau.
Vous repartez en camps pour détenus COVID et ainsi de suite
tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est
en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard lors
d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans
toutefois répondre à la question d’une journaliste
qui lui demandait où étaient enfermés les
dissidents à cette crise.
Vous l’avez compris, l’état de crise sanitaire
dans lequel nous sommes plongés depuis déjà
plus de 6 mois, autorise les autorités à arrêter
quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir
14 jours.
À partir de là, personne n’est autorisé
à savoir où l’interpellé est détenu
ni avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement
de la COVID pour être ensuite incinéré comme
le veut le protocole sanitaire.
Ce qui est plus facile également à comprendre en
revanche, c’est que ceux qui pensent, décident et
dirigent ce monde ont déjà commencé à
jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler.
Un peu comme si un joueur dans un casino n’arrivait plus
à se contrôler et à s’arrêter.
L’OMS, dans son GPMB de 2019, parle bien de « deux
exercices » de formation et de simulation à l’échelle
du système, dont un couvrant la dissémination délibérée
d’un agent pathogène respiratoire mortel.
Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination
délibérée du SARS-COV2, alerter les populations
sur le danger mortel de contracter le virus, arrêter l’économie,
confiner les populations et leur rendre une semi-liberté
sous conditions. C’est-à-dire qu’elles portent
le masque et qu’elles acceptent un ou des éventuels
reconfinements jusqu’à ce que le Conseil Mondial
ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une
solution : le vaccin.
Le second consistera probablement à vacciner toute la
population mondiale et à lui inoculer tout ce dont nous
avons parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous
nous sauver de la COVID-19, cette maladie qu’ils ont en
réalité eux-mêmes propagée. Maladie
qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour les familles
qui veulent se promener sur la plage mais qui est sans aucun danger
pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités
du monde entier ont autorisé.
Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de
tous les pays essaient de développer un vaccin contre le
virus qui provoque chez l’homme le Syndrome d’Immunodéficience
Acquise (SIDA).
Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques
qui leur ont été attribué ? Non.
Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est impossible de
se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent
en passant d’un organisme vivant à un autre, d’un
homme à un autre.
Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à
ARN très répandus et chaque année, dans tous
les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent
à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt
ils sont bénins, tantôt ils peuvent provoquer des
complications respiratoires sévères.
En France et dans le reste de l’Europe, ils sont très
nombreux à circuler dans les cours d’école,
dans les transports en commun ou dans tous les lieux publics.
Dès que nous approchons des moments de fortes amplitudes
thermiques, dans les saisons où nous passons du chaud au
froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus,
qui sont dit saisonniers, se manifestent et s’installent.
Ils nous rendent malade et puis disparaissent.
Un article publié sur le site Sciences et Avenir et dont
le sujet est dans le titre : « et si on ne trouvait jamais
de vaccin ? » explique plutôt bien et gentiment les
dessous de la recherche vaccinale sur les virus à ARN.
A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en
existe pas et on en trouvera jamais alors par quel miracle trouverons
nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?
C’est une foutaise et c’est la même foutaise
que celle du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous
tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements
via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche
d’ozone. Puis on en a plus parlé du jour au lendemain.
Mais les humbles veillent et vous posent la question : où
est passé le trou dans la couche d’ozone ?
Les véritables objectifs des dirigeants de ce monde ne
sont pas de sauver l’humanité mais de lui donner
le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui
imposer un contrôle total et totalitaire et réduire
le nombre d’individus à un seuil gérable du
point de vue démographique et politique, et de faire en
sorte que sa mise en servitude soit définitive.
Il y a quelques jours à peine, le professeur Raoult de
l’IHU de Marseille, dont nous ne sommes ni les contradicteurs
ni les admirateurs, disait qu’il y avait en circulation
sur le sol français, non pas une souche de coronavirus
SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire
des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles
passaient d’un hôte à un autre.
Ce qui est surtout intéressant de savoir concernant la
souche originelle du SARS-COV2, c’est qu’il n’est
absolument pas un virus provenant de la nature mais qu’il
est issu d’un croisement, comme l’affirme la professeur
Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus.
Elle est aujourd’hui réfugiée au États-Unis
et protégée par le FBI.
Dans une interview accordée à la chaine NewsMax
il y a environ 1 mois, elle expliquait que ce virus, sur lequel
elle travaillait en particulier lorsqu’elle était
en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien
de naturel et qu’il est le croisement de deux coronavirus
; celui du pangolin et celui de la chauve-souris.
Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour
avoir découvert le virus du SIDA, a été quant
à lui le premier francophone à dénoncer le
fait incroyable et étrange que dans le génome du
SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques
du virus du SIDA.
Dans une interview accordée à la chaîne Thana
TV, il explique cette manipulation, ces insertions et les dérives
qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant
du fait que nous « vivons dans un monde de fou » pour
reprendre ses termes.
Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’ils
ils nous demanderont pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il
était encore temps ?
À ce stade, il n’y a plus aucun doute que les mesures
contradictoires et paradoxales prises par les autorités
sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres
objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez
les individus afin de briser leur rationalité.
Cette dissonance nous empêche ainsi de réfléchir
et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une
véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun
média n’apporte de contradiction ou ne remettent
en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui
jusqu’ici n’ont été que des échecs
?
N’y a-t-il pas là une communication de programmation
et de conditionnement ?
Joseph Goebbels disait : « un mensonge répété
à quelqu’un restait toujours un mensonge mais un
mensonge répété 1000 fois et partout devenait
une vérité ». C’est terrible à
dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train
de se passer et c’est entre autre pour cette raison que
Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fou.
Plus personne n’ose contester le port du masque alors que
des centaines d’études à travers le monde
ont démontré que, non seulement il était
inefficace mais qu’il était également dangereux.
On ne compte plus le nombre de personne ayant eu des troubles
ou des accidents à cause du port prolongé du masque
et la semaine passée, une fille de 13 ans est décédée
en Allemagne après s’être évanouie dans
le bus à son retour de l’école. Une autopsie
est en cours.
Certains le portent par conviction, et là on ne peut rien
faire pour eux car une fois que l’on adhère au dogme
politico-médiatique il est très difficile d’en
sortir sinon c’est le monde qui s’écroule et
là, très peu de gens sont prêts pour ça.
C’est-à-dire sortir de la Matrice et suivre le lapin
blanc.
D’autres le portent par obligation, par peur du qu’en
dira-t-on, par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la
verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité.
Et là c’est pire car c’est la voie toute tracée
vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite.
Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : «
La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences
de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers
ne songeraient pas à s’évader. Un système
d’esclavage où, grâce à la consommation
et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur
servitude ». Nous y sommes non ?
Les gouvernements ne font pas d’erreurs lorsqu’ils
vous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont
inutiles. Pas plus qu’ils n’en font lors des lendemains
tranquilles, au plus fort de l’été lorsque
les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le
contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger
et protéger les autres. Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils
vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues
mais pas au restaurant avec les mêmes collègues.
En réalité, les gouvernements créent chez
vous de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une
mise en situation dans laquelle tous vos jugements entre en contradiction
les uns avec les autres et vous amènent à des situations
de blocages et d’égarement. Vous êtes ainsi
beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable
à des consignes que vous n’auriez sûrement
pas acceptées si votre raison fonctionnait normalement.
Le fait de porter un masque nous entretient dans un climat de
terreur qui repose sur une menace que nous ne voyons ni ne percevons.
Ce qui amplifie et nos angoisses, notre stress et impacte directement
notre système immunitaire qui s’affaiblit à
force d’anxiété. Du point psychologique, nous
savons que la peur est très mauvaise conseillère.
Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à
accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes.
Les ingénieurs sociaux le savent et la journaliste canadienne
Naomie Klein a écrit un excellent ouvrage sur le sujet,
« La stratégie du choc ».
Au-delà du fait qu’il s’agit d’un livre
très critique sur les dérives de l’ultralibéralisme,
l’ouvrage met surtout en lumière le fait que les
gouvernements profitent de plus en fréquemment de certains
événements majeurs, telles que les attaques terroristes
(cas du 11 septembre 2001) ou les insurrections populaires (cas
des gilets jaunes en France), pour renforcer leur arsenal juridique
(perquisitions sans commission rogatoire, restriction des libertés,
assignation à résidence, fichage des individus,
renforcement des contrôles, etc) visant à restreindre
les libertés individuelles de chacun sans toutefois apporter
une réelle sécurité aux populations.
Est-ce que les états d’urgences qui ont été
instauré dans plusieurs états du monde ont été
ensuite retirés ? Non et ils sont toujours en vigueur.
Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en
France depuis le massacre de l’équipe de Charlie
Hebdo en 2015 a t-il empêché l’attentat de
Nice ? Non. Absolument pas. Une des grandes entourloupes du gouvernement
Valls a été de faire croire aux français
qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les
idéologies radicales en installant partout des caméras
et des portiques de sécurité.
L’état d’urgence, en réalité,
n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre
établi et des gouvernements sous prétexte de lutter
contre le terrorisme et les français l’ont accepté.
La peur de mourir, égorgé par Mohamed le gérant
de la petite épicerie du bas de l’immeuble ou par
Youcef à coups de balai entre deux nettoyages de voirie
était trop forte et allait bien au-delà de la raison.
Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se
construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos
sens et lorsqu’ils sont biaisés ou ne sont plus tout
à fait fonctionnels, c’est tous les repères
qui s’effondrent. Nous nous retrouvons là dans une
position d’extrême vulnérabilité voir
même de perdition. Comme des baleines dépourvus de
leur système d’écholocation.
Nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous
nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous
en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.
C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous
nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin.
Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons
tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement
la notice. Nous retrouvons comme des enfants dans les mains de
nos parents.
Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette
mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux
depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables
à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler
les masses.
Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire
P4 de Fort Detrik dans le Maryland, n’est-ce pas, saviez-vous
que ce laboratoire était également très connu
pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle
le plus grand centre de recherche mondial sur le contrôle
mental ?
Il est vrai que c’est effrayant mais ce n’est que
la réalité. Si les structures supra-étatiques
telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais
eu autant de pouvoir, comme nous l’avons durant cette crise,
le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne
sont absolument pas indépendants en toutes matières
car elles dépendent elles aussi d’autres structures
pour les financer.
Qu’il s’agisse de Madame Brundtland ou du controversé
Monsieur Adhenom Ghebreyesus, tout nous laisse à supposer
aujourd’hui que ces acteurs internes ne sont que des femmes
et des hommes de paille.
Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne,
jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis
ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS,
c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenu
le premier contributeur.
Or sans réel contre pouvoir, les populations du monde
sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent
les crises qu’elles ont elles-mêmes sans doute orchestrées
et provoquées.
Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose
cloche ; que l’on nous dit pas la vérité et
que les chiffres sont truqués et manipulés et que
surtout, plus rien ne sera comme avant.
Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un
aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy,
toutes les grandes personnalités politiques n’ont
eu cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce
n’est absolument pas du complotisme, « c’est
notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel
Macron car effectivement c’est un projet bien réel.
Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà
une première ébauche de gouvernement mondial et
elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle ne fait
qu’adopter des résolutions qui ne servent à
rien hormis brasser du vent.
Est-ce que l’ONU a aidé à ce que la souveraineté
des états les plus pauvres de la planète soit respectée
? Non. L’ONU a-t-elle fait quelque chose pour les palestiniens
? Rien.
Le Proche et Moyen-Orient aujourd’hui sont dans un chaos
inédit. Est-ce que l’ONU a empêché les
bombardements de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye
ou de la Syrie ? La réponse est non.
Est-ce que les américains ont apporté la démocratie
et les droits de l’homme en Afghanistan depuis qu’ils
y ont mis les pieds en 2001 ? Non. Sont-ils toujours là-bas
? Oui. 19 ans dans un pays pour rien.
La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est
la production d’héroïne et elle a explosé
entraînant par principe de cause à effet une hausse
vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre
un niveau alarmant.
On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins
et les milliardaires ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter
de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par leurs
profits et leur salut.
C’est à nous de nous réveiller et d’arrêter
de nous faire promener comme des enfants immatures et irresponsables
et de concevoir un système pour décider tous ensemble
de ce qui est bon pour notre avenir et notre planète.
La première chose à faire est déjà
de nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement
que sont les médias conventionnels qui ne font que servir
la soupe à leurs propriétaires et leurs actionnaires
principaux. Nous devons impérativement nous réapproprier
les différents canaux d’information de grande écoute
et participer à l’éducation des peuples afin
qu’ils se réveillent et ne se fassent plus endormir
comme des enfants.
La seconde est de veiller à ce que n’arrivent jamais
au pouvoir des hommes et des femmes avides et cupides, et de créer
un système de protection qui procure une immunité
et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses
qui ont à cœur le bien être de l’humanité
et de la nature.
A ce jour, ce sont plus de 655 000 américains qui ont
déposé une pétition à la maison blanche
pour que le gouvernement américain ouvre une enquête
sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda
Gates et sur le GAVI. Il n’y a aucun doute que nous entendrons
parler, dès cet automne, des suites qui seront données
à pétition. Sûrement après les élections
du 3 novembre.
Il est extrêmement important de faire la lumière
sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie
et de traduire en justice tous les différents protagonistes
liés de près ou de loin à cet épisode
funeste de l’histoire de l’humanité.
Nous devons tous faire pour que cette pandémie nous serve
de leçon et surtout qu’elle soit la première
et la dernière.
Amar
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