Pourquoi ont-ils permis les attentats du 11 septembre ?
L'affaire qui a débuté le 11 septembre 2001 sera
bientôt considérée comme la plus grande manipulation
du troisième millénaire !
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Combien
de caméras étaient prêtes pour filmer
les tours du World Trade Center et les transmettre à
la chaine de télévision qui diffusa en boucle
la grande manipulation en direct au monde entier ce 11/09/2001
? Tous les médias ont relayé aussitôt
l'info, la manipulation étant de désigner aussitôt
les auteurs donc les adversaires en Afghanistan : les Talibans.
"Alerte rouge" aurait pu mettre en garde...
Ce jeu vidéo est sorti en septembre 2000 (cliquez sur l'image
pour la voir en grand)
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Tout le mal est dû à Ben Lâden, selon
la propagande de la Maison Blanche. Mais ces idées
fausses n'ont pas de bases factuelles. D'abord parce que Ben
Lâden n'a jamais revendiqué quelque attentat
que ce soit malgré les commentaires de presse et de
télévision. Les vidéos de Ben Laden étaient
trafiquées, sinon comment expliquer qu'un homme mette
en échec la plus grande puissance mondiale dans cette
chasse à l'homme d'un nouveau genre ? Seulement, lorsqu'on
examine tous les aspects de cette propagande américaine,
on est taxé immédiatement de "révisionnisme"
par les zélateurs serviles de la thèse officielle.
Et pourtant, la réalité est qu'il n'y a pas
d'armée de l'ombre qui s'appellerait Al Qâeida.
Il y a un peu partout dans le monde des groupes de patriotes
- ou d'insurgés, suivant de quel côté
du malheur on est né - qui se battent contre des régimes
oppressifs par esprit de révolte ou par désespoir.
C'est l'administration Bush-Junior qui a désigné
immédiatement le terrorisme islamiste responsable,
il n'y a jamais eu d'enquête. Finalement, on sait que
Bush
et Disck Chesnay sont impliqués dans ces attentats
du 11 septembre 2001.
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Des
doutes subsistent sur l'origine islamique de la destruction
des tours jumelles du Centre d'Affaire International de Manhatan.
On aura beau brandir des cassettes avec des messages de Ben
laden, la plupart des gens ont le sentiment qu'on leur ment
et que le 11 septembre 2001 ne fût que le début
d'une gigantesque opération
de manipulation qui a servi à justifier aux yeux
d'un peuple trop naïf l'envoi de troupes à l'étranger
pour le compte de quelques intérêts économico-politico-militaires
cyniques, le tout organisé par un groupuscule de prédateurs
à Washington au service d'une cause qui a pour but
de remodeler l'échiquier géostratégique
international en faveur d'un pouvoir obscur sans cesse plus
puissant. Les sondages prouvent que beaucoup d'américains
en sont persuadés. La
face cachée des attentats du 11 septembre...
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Savez-vous par exemple que plusieurs
centaines de personnalités américaines contestent
la version officielle de la Commission sur le 11-septembre
et exigent du Congrès une nouvelle commission d’enquête,
réellement indépendante (des militaires
de haut rang, agents des services secrets, policiers, gouverneurs
d’État, représentants ou sénateurs
au Congrès, membres de la Commission officielle d’enquête
sur le 11 septembre 2001, scientifiques, ingénieurs,
architectes, professeurs d’universités, journalistes,
professionnels des médias, écrivains, pilotes,
survivants du 11 septembre et familles des victimes). Nombre
de ces personnalités affirment ouvertement que les
faits matériels prouvent que ce ne sont pas les deux
avions qui ont fait s’effondrer les trois tours (les
tours jumelles et le bâtiment 7) du World Trade Center
mais des explosifs placés à l’avance à
différents étages jusque dans les sous-sols
de ces tours (ce qui n’a pu être organisé
et réalisé qu’avec la complicité
des services secrets américains et de l’administration
Bush).
Selon un sondage réalisé par l’Institut
Zogby aux États-Unis du 12 au 16 mai 2006, 42% des
américains croient que le gouvernement des États-Unis
et sa commission d’enquête sur le 11-septembre
ont tenu cachées ou refusé d’étudier
des preuves cruciales contredisant leur explication officielle
des attaques du 11-septembre.
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Savez-vous que les fait matériels suivants contredisent
la version officielle :
De multiples explosions se sont produites à différents
étages des tours jumelles du World Trade Center, et
ce jusque dans les sous-sols (bien documentées notamment
grâce aux enregistrements vidéos et audios réalisés
en direct le 11-septembre, aux enregistrements des communications
radios des pompiers présents dans les tours et aux
témoignages des survivants).
Les tours jumelles et le bâtiment 7 se sont effondrés
à une vitesse très proche de celle de la chute
libre (vitesse mesurée sur les vidéos), c’est-à-dire
quasiment sans résistance, malgré les nombreuses
colonnes d’acier qui les soutenaient. Autrement dit,
les trois bâtiments se sont effondrés à
peu près à la même vitesse que si toutes
leurs colonnes s’étaient instantanément
volatilisées, ce qui est physiquement impossible.
La température des feux dans les trois bâtiments
était insuffisante pour provoquer la rupture des colonnes
d’acier.
Jamais un immeuble à structure d’acier ne s’était
complètement effondré à la suite d’un
incendie avant le 11 septembre 2001. Pourtant ce jour-là,
trois tours à structure d’acier se sont effondrées
à des vitesses proches de la chute libre, dont le bâtiment
7 qui n’avait été heurté par aucun
avion et ne présentait que quelques feux isolés.
Le déroulement de l’effondrement des tours jumelles
(visible sur les vidéos filmées le 11-septembre)
viole les principes de conservation de l’énergie
et de conservation de la quantité de mouvement, deux
principes de base de la physique, en l’absence d’un
apport d’énergie dû à des explosifs
placés dans les tours (voir l’analyse du professeur
Steven Jones et l’interview du professeur Crockett Grabbe).
Il n’existe toujours aucune explication officielle pour
l’effondrement du bâtiment 7.
Plusieurs vidéos filmées le 11 septembre prouvent
que des personnes savaient à l’avance que les
tours jumelles et le bâtiment 7 allaient s’effondrer
(voir par exemple cette vidéo).
D’éminents scientifiques spécialisés
en physique (par exemple les professeurs américains
Steven Jones et Crockett Grabbe) ou en dynamique de la structure
des bâtiments (par exemple les professeurs suisses Hugo
Bachmann et Jörg Schneider), ainsi que des experts en
démolitions contrôlées affirment que le
bâtiment 7 a clairement fait l’objet d’une
démolition contrôlée.
L’effondrement du bâtiment 7 du World Trade Center
(immeuble de 47 étages et de 174 m de haut) est sans
doute le talon d’Achille de la version officielle du
11-septembre. L’endroit où chacun, même
sans formation scientifique, peut se rendre compte de l’évidence,
à savoir que le bâtiment 7 a fait l’objet
d’une démolition contrôlée. Or,
il était physiquement impossible de placer les explosifs,
détonateurs et télécommandes nécessaires
à cette démolition contrôlée dans
le court laps de temps (7 heures) entre l’effondrement
de la seconde tour et celui du bâtiment 7 (effondré
à 17h20, heure locale), d’autant qu’il
y avait encore des feux isolés à plusieurs étages.
Là-dessus, l’expert néerlandais Danny
Jowenko est formel : c’était impossible (voir
la vidéo sous-titrée en français). Alors,
la seule possibilité restante est que les explosifs
ont été placés dans le bâtiment
7 avant le 11 septembre 2001. Ce qui signifie que le gouvernement
et la commission officielle ont menti. Et, s’il y avait
des explosifs dans le bâtiment 7 et qu’on nous
l’a caché, pourquoi n’y en aurait-il pas
eu aussi dans les tours jumelles ? Comme vous voyez, le bâtiment
7 est probablement la clé pour faire éclater
la vérité. Pas étonnant dans ces conditions
que la commission officielle d’enquête sur le
11-septembre ne mentionne même pas le bâtiment
7 dans son rapport final. Quant aux médias américains
(pour les Européens ce n’est guère mieux
: voir par exemple cet article sur AgoraVox), ils ont tellement
bien évité de parler du bâtiment 7 que,
selon un sondage de Zogby International réalisé
du 12-16 mai 2006, 43 % des Américains ne savaient
même pas qu’un troisième bâtiment
s’était effondré à New York le
11 septembre 2001 !
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Pour en savoir plus sur le faits qui contredisent la version
officielle du 11-septembre, ce document gratuitement accessible
sur Internet, sur www.agoravox.fr/renvoit
vers d'autres sites librement accessibles sur INTERNET (et
il y a en beaucoup d’autres : Réseau
Voltaire, www.syti.net,
par exemple).
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De plus, l'invasion de l'Aghanistan n'avait pour intérêt
celui d'acheminer les ressources en pétrole et gaz
naturel vers la mer Caspienne, fut justifiée mensongèrement
au nom d'une chasse à l'homme qui n'est toujours pas
retrouvé 10 ans après malgré des moyens
bien supérieurs à ceux des chasseurs de primes
du Far-West du 19e siècle. Pas très
glorieux, n'est-ce pas ? Alors, pourquoi devrait-on se sentir
américains, et "mourir
pour New-York" ?
Aucune arme de destruction massive en Iraq !
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Les USA se sont permis d'engager en mars 2003 une guerre
en Iraq, sans l'aval de l'ONU, pour renverser Saddam Hussein.
Leur propagande appuyée par des mensonges ("armes
de destruction massive" qui n'existent pas en Iraq) et
des faux documents (messages soi-disant de Ben Laden ou vidéos
d'Al Quaïda, interview de la soi-disante ex-femme de
Saddam...) reliée par les grands Médias, avides
de sensation, visait à engendrer la peur d'attentats
terroristes et la haine envers l'Iraq de Saddam Hussein, pour
rallier le maximum de gens à leur cause. Tout cela
afin de pouvoir bénéficier librement du pétrole
de l'Iraq, évidemment.
Cela relève de leur stratégie de conquête
et nous ne pouvons que constater que les événements
du 11 septembre 2001, et la «guerre à la terreur»
qui les ont suivis, jusqu'en Iraq, ont principalement contribué
à un «choc au sein de la civilisation».
Il n'y avait aucun rapport avec les kamikazes d'Al
Quaïda, qui n'a aucune consistance réelle
: c'est l'épouventail fabriqué par la propagande.
Le terrorisme n'est qu'une sorte de révolte contre
le terrorisme étatique de la superpuissance hégémonique
qui s'octroie tous les droits avec une armée invincible
de haute technologie.
Hans Blix, commissaire de l'ONU pour le désarmement
de l'Iraq, a fini par dire que le prétexte d'armes
de destruction massive était un faux prétexte
inadmissible. Hans Blix a reconnu publiquement ce que tout
le monde sait : ce MENSONGE D'ETAT des autorités a
servi à justifier l'invasion de l'IRAQ autrement que
par des considérations politiques et économiques.
Alors que le dictateur coréen est bien plus dangereux
que Saddam Hussein, il fallait faire un exemple de volonté
de puissance du fort sur le faible pour s'emparer des puits
de pétrole de l'Irak, bien sûr ! Les mensonges
d'état qui viennent d'être divulgués par
les aveux de l'administration américaine et le journaliste
de la BBC !
Pour un soldat américain mort, il y a environ 1
000 civils iraquiens tués.
Selon une étude publiée en 2006,
650.000
Iraquiens ont été tués depuis l'invasion
US.
A quand une coalition des pays non-alignés contre l'hégémonie
nord-américaine ?
Crimes de guerre ou crimes contre l'humanité ?
Après le scandaleux bagne de Guantanamo où les
prisonniers sont secrètement maltraités sans aucune
forme de procès, ce qui est une atteinte intolérable
aux droits de l´homme, les USA ont engagé unilatéralement
une guerre en Irak, en violation de la charte des Nations Unies
: de quel droit les Forces armées anglo-américaines
ont-elles bombardé l'Irak ? Sûrs de leur suprématie,
ils poursuivent leur guerre pour s'emparer du pétrole irakien.
Les réserves mondiales s'épuisent, et le contrôle
des champs pétrolifères de l'Irak est le but inavoué
de cette guerre.
L'Agence Internationale à l'énergie atomique a
pris position contre le Président Bush sur l'absence d'armes
de destruction massives en Iraq.
Janvier 2005 : Confirmation, après environ 2 ans d'enquête,
qu'il n'y avait pas d'armes de destruction massive en Irak. Le
travail de recherche s'est terminé sans résultat
(The Washington Post). Cette conclusion contredit l'argument
qu'a utilisé le président Bush pour pouvoir envahir
l'Iraq. Flagrant délit de mensonge... alors que l'US army
a déjà employé des armes de destruction massive
(nucléaires, chimiques et bactériologiques) à
plusieurs reprises contre des populations civiles, d'abord pour
des tests sur des atolls du Pacifique, puis sur des villes habitées,
causant des millions de morts civils et des millions de blessés
(bombe A sur Hiroshima et
bombe H sur Nagasaki au Japon), puis l'armée américaine
procéda, pendant la guerre du Vietnam, à des épandages
de produits chimiques destinés à détruire
le couvert végétal. Ces "défoliants"
contenaient divers agents chimiques, notamment l'agent orange,
en réalité de la dioxine. 83 millions de litres
furent répandus affectant 2,7 millions d'hectares au Viet-nam),
et a usé de bombardements aériens sur des villes
en Yougoslavie, en Afghanistan, en Iraq (cela se compte par millions
de tonnes de bombes), le rapport de l'ancien chef des experts
américains en armement en mission en Iraq, David Kay, est
arrivé à la conclusion que l'Iraq ne disposait pas
de stocks d'armes biologiques et chimiques. Il a donc démissionné
de son poste. (selon l'agence Reuters)
Contrairement aux engagements pris à l’époque
par le secrétaire d’État Colin Powell à
l’ONU pour faire jouer la « légitime défense
», aucune enquête judiciaire, ni internationale, ni
même états-unienne, n’a établi les responsabilités,
ni même éclairci les faits.
Après l'attaque et l'occupation de l'Irak en violation
des règles du droit international, les USA dont la violence
attise toutes les haines n'est vraiment pas "le pays de la
liberté guidant le monde", mais un Etat voyou que
seule une coalition de tous les autres Etats pourrait combattre.
Comment les États-Unis pourront-ils continuer à
apporter leur soutien politique, « moral » et militaire
à un État qui détient ce qu'ils interdisent
à tous les Etats arabes ?
Comment le président Bush pourra-t-il expliquer sa politique
de « deux poids, deux mesures », et sa « recherche
» par ailleurs d'armes de destruction massive ?
Et comment Israël pourra-t-il conserver sa politique pleine
d'ambiguïté : ne jamais se déclarer un Etat
nucléaire, sans le nier non plus ? N'oublions pas que les
USA sont le premier fournisseur d'armes au monde...
On peut même déceler de l'hypocrisie chez certains dirigeants
du seul pays au monde à avoir utilisé impunément
des armes de destruction massive (sur Hiroshima-Nagasaki.)
et suspecter que les attentats pourraient bien être commandités
par eux ! Le maquillage de faux attentats par les services secrets
spéciaux sert par la terreur des attentats à faire
accepter par tous les citoyens des mesures policières draconiennes
et d'atteinte aux libertés fondamentales (Stratégie
de la terreur).
Complément d'enquête sur le 11 septembre 2001
Nous le savions déjà, mais c'est aujourd'hui que
la moitié des New Yorkais est enfin persuadée que
le gouvernement US savait à l'avance que les attentats
du 11 septembre allaient avoir lieu et a choisi de les laisser
se produire. C'est le résultat
d'un sondage de Zogby International
Bien sûr, parmi ces New-Yorkais, il y en a encore certains
qui pensent que c'est W. Bush et la CIA qui ont directement organisé
les attentats du 11 septembre 2001. Un argument qui a beaucoup
frappé les esprits aux USA, celui qui a gagné, je
crois, les New Yorkais, c'est qu'habituellement, quand des avions
sont déroutés (ne sont plus sur leur route normale),
une interception par l'armée de l'air a toujours lieu de
manière efficace. Pas le 11 septembre, aucun des avions
n'a été détourné ! Pourquoi ?
Il a fallu que quelque part, tout en haut de la hiérarchie,
des ordres express soient donnés afin d'empêcher
que toute interception efficace ait lieu ce fameux 11 septembre
!
L'interception - et non pas l'abattage - est une mesure habituelle,
routinière, qui se produit souvent. C'est une mesure automatique
qui se fait immédiatement dès qu'un avion est dérouté
et que son transpondeur ne répond plus. On ne demande dans
ce cas l'autorisation de personne pour faire décoller les
avions militaires, afin de ne pas perdre de temps. Dans un tel
cas, les avions militaires décollent donc immédiatement.
Puis, ils tentent d'entrer visuellement en contact avec l'avion
dérouté pour aider le pilote à retrouver
sa route normale. C'est seulement ensuite, Le cas échéant,
quand il n'y a pas d'autre solution, qu'il faut une permission,
et même un ordre venant de tout en haut de la hiérarchie
pour pouvoir abattre l'avion dérouté (ou détourné)
et que les pirates refusent d'obéir et que cela devient
trop dangereux.
Mais, le 11 septembre 2001, si l'on n'a intercepté aucun
des avions détournés, cela ne peut s'expliquer que
par un ordre express venu du sommet de la hiérarchie US.
Cette vidéo
contredit la version officielle, celle des rédacteurs en
chef et journalistes experts de la manipulation de l'opinion publique
: Cette affaire permet de comprendre les mécanismes utilisés
par la presse pour discréditer une personnalité,
un scientifique, ou un politique. 43 % des américains ne
croient plus à la version officielle de l'administration
Bush.
Il y a aussi l'argument des dégâts : «Quand
on y réfléchit, il est également curieux
de constater le peu de dégâts réellement subis
par les Etats-Unis, lors des attentats du 11 septembre. Il est
utile de réfléchir à ce qu'auraient pu perpétrer
les pirates de l'air s'ils avaient réellement voulu faire
le plus de dégâts possible. Il me semble qu'un plan
en vue d'organiser les détournements à un moment
où ils auraient pu écraser un avion sur le sénat
ou le congrès en train de siéger, balayant ainsi
d'un seul coup une partie importante du gouvernement américain,
aurait tout aussi bien pu se réaliser que ce qu'ils ont
fait en réalité le 11 septembre. Ou écraser
les avions sur une centrale nucléaire, provocant une fusion
catastrophique et des dégagements de radiations, ainsi
que de graves interruptions dans les fournitures d'énergie.
Il n'est pas crédible de suggérer que ces plans
n'ont pas été menés à bien parce qu'ils
pensaient que la sécurité était trop resserrée.
En effet, ils furent assez confiant pour prendre le Pentagone
pour cible», comme le suggère si bien Steve Grey
:
http://www.perso.wanadoo.fr/do/ag/383.htm
Peut-être aussi cette page a-t-elle quelques chances de
convaincre :
http://www.perso.wanadoo.fr/do/ag/316.htm
Il faut savoir que ce qui est arrivé le 11 septembre
2001 a réjoui certaines personnes. Parmi celles-ci, beaucoup
refusent de voir que le 11 septembre est une manipulation de Bush
et de la CIA parce qu'elles veulent faire croire que la résistance
anti-impérialiste a pu mener une telle action.
Il faut savoir aussi que Dominique Baudis, le chef de la censure
à la télé française (CSA), est un
agent du groupe Carlyle : http://1libertaire.free.fr/Carlyle01.html
De 1999 à 2002, le groupe Carlyle a détenu 30% du
Figaro, et a imposé Dominique Baudis à la présidence
du Comité éditorial. Quand on sait à quel
point le groupe Carlyle est mouillé dans le coup d'État
mondial du 11 septembre, on devine pourquoi la télé
française ne permet pas l'expression de la vérité
(même à titre d'hypothèse) sur le 11 septembre,
et pourquoi elle a transformé le nom "Thierry Meyssan"
en une insulte ! (Ce journaliste a été le premier
à dénoncer la manipulation, preuves à l'appui)
...ces infos sont aussi sur : http://mai68.org |