La fin des Trente Glorieuses*
* Période historique comprise entre 1946 et 1975, pendant
laquelle la France et la plupart des économies occidentales
connurent une croissance exceptionnelle et régulière
et à l’issue de laquelle elles sont entrées
dans l’ère de la société de consommation.
La fin des 30 glorieuses est gravée dans le marbre
de la loi de 1973.
CETTE RÉFORME DE LA BANQUE DE FRANCE EST Á
L'ORIGINE DE LA DETTE PUBLIQUE :
En 1973, les statuts de la Banque de France, laissés en
suspens à la libération, sont modifiés par
la Loi n°73-7 du 3 janvier 1973, signée par Pompidou,
Messmer, Giscard d’Estaing et parue au Journal
officiel le 4 janvier 1973. Dans l’article 25, il est stipulé
que « le Trésor public ne peut être présentateur
de ses propres effets à l’escompte de la Banque de
France ». En pratique, cela signifie qu’on oblige
la République à emprunter sur les marchés
à obligation contre taux d’intérêt.
Le 22 juillet 1981, 45 députés, dont Pierre Messmer
qui avait signé la loi 73-7, ont déposé le
projet de Loi n°157, pour permettre à la République
d’emprunter sans intérêts dans le cadre de
ses investissements économiques. Ce projet n’a jamais
été voté.
A partir de 1973, c’est la catastrophe, car la France n’a
plus sa Banque pour lui avancer de l’argent à taux
zéro par le mécanisme classique du crédit.
Les dettes publiques partent réellement de cette loi. Plus
tard tard, ce sont tous les Etats d’Europe qui se voient
imposer une loi identique dans le Traités de Maastricht
(article 104). De fait, tous les Etats d’Europe sont endettés
à partir du moment ou ils abandonnent leur droit d’emprunter
ou d'émettre la monnaie sans intérêts. Aucun
pays ne peut échapper à cela. Si la Grèce,
l’Espagne, l’Irlande, l’Italie, bientôt
la France sont aussi endettés, cela ne tient qu’en
quelques textes de loi qu’on nous a dissimulé. Le
chaos économique et social vient principalement de là
! ...Ce n'est pas une rumeur, comme les médias le prétendent.
• L'affirmation que le Président de la République
Pompidou a été préalablement
le Directeur de la banque Rothschild correspond
à UN FAIT, parfaitement incontestable.
Chacun peut se reporter à la définition du CONFLIT
D'INTÉRÊTS pour vérifier si, en l'occurrence,
il y a un risque ou pas pour l'intérêt général.
• L'affirmation que ce Président (d'abord d'une grande
banque privée, puis de la République) a signé
en 1973, au nom du peuple français, une mesure qui consiste
à obliger l'État à emprunter (principalement)
aux banques privées l'agent dont il a besoin (quand il
en manque) moyennant un INTÉRÊT RUINEUX,
et surtout à un TAUX VARIABLE AU GRÉ DES
HUMEURS DES MÊMES BANQUES (via des "agences"
complices), cette affirmation est aussi UN FAIT,
parfaitement incontestable.
• L'affirmation que cette mesure est contraire à
l'intérêt général (puisque tous les
emprunts d'État sont devenus mécaniquement coûteux)
ET favorable à l'intérêt
des banques privées (qui perçoivent précisément
ces intérêts, et dont fait partie, à plus
d'un titre, la banque Rothschild ellemême)
est encore UN FAIT, parfaitement incontestable.
• La constatation que la dette publique française
s'est progressivement envolée depuis cette année
1973, et l'affirmation que la charge de cette dette s'est envolée
dans le même mouvement, cette constatation est encore UN
FAIT, parfaitement incontestable.
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