Affaire Bygmalion, Nicolas Sarkozy doit être inculpé
Président
sortant, Nicolas Sarkozy était candidat aux présidentielles
de 2012.
La Commission nationale des comptes de campagne et des financements
politiques (CNCCFP) a rejeté les comptes de campagne 2012
de Nicolas Sarkozy, après avoir réintégré
des dépenses antérieures à sa déclaration
formelle de candidature le 15 février 2012, affirme "L'Express.fr"
vendredi 21 décembre2014. Une décision qui pourrait
priver l'UMP de près de 11 millions d'euros d'aide publique.
Le plafond de dépenses pour un candidat accédant
au second tour de l'élection présidentielle était
fixé à 22.509.000 euros. Un seuil dépassé
par le candidat, estime la commission. L'ancien président
de la République avait déclaré 21.339.664
euros de dépenses totales. Mais la CNCCFP compte un certain
nombre de dépenses additionnelles, en lien par exemple
avec des réunions publiques. Il a dépensé
plus de 40 millions d'euros, soit le double du plafond autorisé.
Mais Sarkozy peut encore déposer un recours devant le Conseil
Constitutionnel, "dans le délai d'un mois suivant
sa notification". Etant membre du Conseil constitutionnel,
Nicolas Sarkozy se sent fort, au-dessus des lois. Mais, dans l'affaire
Bygmalion, c'est 40 milions de dépensés pour
sa campagne, soit deux fois plus qu'autorisé !
Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 16 février
2016 par le juge Tournaire pour financement illégal de
campagne électorale. Mais il assure n'avoir aucun lien
avec l'affaire Bygmalion, ces millions d'euros de fausses factures
du principal prestataire de sa campagne. Quel culot, c'est lui
le principal intéressé et c'était lui qui
était à la tête du parti, non ? Mediapart
passe l'affaire au vérificateur
2016. L’ancien chef de l’État est mis en
examen dans cette affaire pour le financement illégal de
sa campagne électorale de 2012. Compte
2012 truqué : pourquoi Sarkozy devrait être disqualifié
pour l'Elysée. (Mediapart, 24 janvier 2016
| Par Mathilde Mathieu)
Fin de l’enquête dans l’affaire Bygmalion :
mardi 7 juin 2016 ? Non, septembre 2021
?
" Dans son livre, Nicolas Sarkozy se refuse à tout
mea culpa dans l'affaire Bygmalion, celle du financement
illicite de sa campagne de 2012. Il a pourtant dépensé
plus de 40 millions d'euros, soit le double du plafond autorisé.
Ce montant astronomique devrait suffire à le disqualifier
définitivement de la course à l'Élysée.
Procès-verbaux à l'appui, Mediapart rappelle quelques
faits que l'ancien chef de l'État semble avoir oubliés..."
Nicolas Sarkozy directement menacé. En effet,
il faisait faire des fausses factures pour éviter de devoir
comptabiliser dans le compte de sa campagne de 2007 des factures
de prestations liées à cette campagne (élections
présidentielle de 2007). L’infraction de «
financement illégal de campagne électorale »
et pas seulement d’« abus de confiance » est
passible de sanction. Selon le code électoral, c’est
le candidat lui-même qui serait puni s’il est avéré
qu’il a « fait état, dans le compte de campagne
ou dans ses annexes, d’éléments comptables
sciemment minorés ». Source :
http://www.lemonde.fr/enquetes/article/2014/10/06/affaire-bygmalion-nicolas-sarkozy-directement-menace
Septembre 2021. Le
procès en appel aboutit à un an de prison ferme
pour Nicolas Sarkozy. Au-delà de la situation pénale
personnelle de Nicolas Sarkozy, condamné dans l’affaire
Bygmalion après l’avoir été dans l’affaire
Bismuth, c’est tout son entourage, depuis ses mentors jusqu’à
ses plus proches collaborateurs, qui est aujourd’hui dans
le viseur de la justice à travers d’innombrables
dossiers. Suite...

Qui
est vraiment Nicolas Sarkozy ? un article qui en dit long
sur ce politicien qui voudrait reprendre le pouvoir en 2017. Nicolas
Sarkozy est un agent double :
"Pour comprendre comment un homme en qui tous s’accordent
aujourd’hui à voir l’agent des Etats-Unis et
d’Israël a pu devenir le chef du parti gaulliste, puis
le président de la République française,
il nous faut revenir en arrière. Très en arrière.
Il nous faut emprunter une longue digression au cours de laquelle
nous présenterons les protagonistes qui trouvent aujourd’hui
leur revanche." Source : Thierry Meyssan, journaliste
indépendant, voltairenet.org
(Réseau Voltaire) :
Opération Sarkozy, ou Comment la CIA a placé un
de ses agents à la présidence de la République
française
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