LES DANGERS DE LA 5G
Depuis
longtemps, il y a des craintes sur la santé à cause
des ondes électro-magnétiques émises par
la technologie de téléphonie mobile. Les ondes électro-magnétiques
régissent déjà toute notre vie.
Aujourd'hui,
nous avons des smartphones qui fonctionnent avec la 4G. Mais il
est question de passer à la 5G,
ce qui pose débat, car beaucoup de craintes sont émises
sur la 5G à juste raison . Nous
ne voulons pas que l’on nous impose cette technologie sans
avoir eu un débat éclairé et démocratique
sur la question. Or, c'est exactement ce que fait Emmanuel Macron,
en prenant les opposants à la 5G pour des imbéciles
"amish" : un déni de démocratie flagrant
! Pourtant, le déploiement de cette nouvelle technologie
pose de réelles questions, dépassant largement celle
de ses conséquences potentielles sur la santé.
L'arrivée
de la 5G implique la production d'une quantité
phénoménale de nouveaux appareils compatibles pour
remplacer des appareils qui remplissent déjà leurs
fonctions et pour créer ainsi de nouveaux 'besoins' !
Beaucoup
trop ignorent encore les impacts potentiels de cette surproduction
sur l'équilibre entre êtres vivants - humains et
non-humains. Les sites d’extraction et surtout de traitement
des « terres rares » indispensables à la production
de smartphones, GPS, éoliennes, voitures électriques,
etc., entraînent le relâchement de substances chimiques
radioactives extrêmement néfastes pour la biodiversité
environnante, tel qu’à Baotou, en Mongolie intérieure.
On compte dans le monde déjà 53 millions de tonnes
d'e-déchets en 2019 selon le Global Waste Monitor 2020.
Alors qu’en France seulement en 10 ans on compte déjà
3 fois plus de milliardaires et 2 fois plus de SDF selon Forbes
Magazine et la Fondation Abbé Pierre. Ces quelques exemples
sont parlant de la trajectoire qu’on prend.
Évoquons
brièvement d'autres risques avec de nombreux petits satellites
qui se rajoutent à une myriade de déchets dans la
stratosphère et l’installation de nouvelles antennes
émettant des ondes sur des fréquences différentes
sur lesquelles on a qu'un faible recul sanitaire, favorisant l'omniprésence
des moyens de surveillance publiques et privés, des publicités
et de la technologie en général dans nos vies déjà
bien déracinées, "déconnectées"-
et tout ça pour quoi ? Quelques applis intéressantes
? Quelques millisecondes gagnées à chaque connexion
? Des objets connectés dans la maison ?
Signez tout de suite la Pétition
PAC contre la 5G
Signer cette pétition c'est mettre un frein sur une croissance
dangereuse obsédée de technologie. C'est apprendre
à nous respecter, à nous aimer, à aimer la
vie.
Pour suivre le Fil d'Actualité sur Facebook : www.facebook.com/groups/2319106911747852/
Dénonçons ce déni de démocratie.
Autre pétition
contre ce passage à la 5G : Signez-la !
________ LES RISQUES SANITAIRES AVEC LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES
________
Octobre 1996, dans Sciences & Vie : Portables,
des risques pour la santé ?
Puis en mai 2000 sur Doctissimo
; en 2005 sur Destination
santé...
Invité de Laurent Ruquier dans son émission "On
a tout essayé", Richard Forget, avocat au Barreau
de Paris, défenseur du lanceur d'alerte Etienne Cendrier,
faisait le point sur les dangers de l'utilisation du téléphone
portable. Voir
vidéo (2005)
Vote
de la loi sur l'exposition du public aux ondes le 29 janvier 2015.
Cette loi n'apporte rien de nouveau, mais insiste sur la nécessité
de brancher les oreillettes pour utiliser son mobile sans le coller
à l'oreille, comme le font la plupart des gens. Ainsi,
le kit main-libre devra être fourni obligatoirement avec
tout téléphone mobile, smartphone, etc...
La proposition de loi relative à la sobriété,
à la transparence, à l'information et à la
concertation en matière d'exposition aux ondes électromagnétiques,
introduite par Mme Laurence Abeille, députée du
Val-de-Marne, a définitivement été adoptée
par l'Assemblée nationale le 29 janvier et promulguée
le 9 février 2015. La loi confie à l'ANFR
de nouvelles missions et renforce ses missions actuelles. Après
plus de deux ans de travaux, le texte qui vient d’être
adopté souligne l’importance de la sobriété
en matière d’exposition du public aux ondes.
Vote
de la loi sur l'exposition du public aux ondes le 29 janvier 2015.
Cette loi n'apporte rien de nouveau, mais insiste sur la nécessité
de brancher les oreillettes pour utiliser son tout en veillant à ne pas freiner l’innovation et
le développement du numérique.
Les téléphones portables et les antennes-relais : dangereux
pour la santé ?
De
récentes études prouvent qu'il y a des risques de
tumeur cérébrale, confirmant les premiers résultats
que nous avions communiqués en 2007 : en 2001 l'étude
COMOBIO dénonçant l'influence nocive des ondes
émises par les téléphones cellulaires sur
le cerveau. L'étude
COMOBIO reconnaît qu'une exposition à des micro-ondes
GSM provoque une modification de la chimie du cerveau, grave chez
les enfants, alors que cette étude s'est faite sous contrôle
du lobby des télécom. Enfin, les études qui
ont été faites par les Suédois et par les
Américains montrent aussi la nocivité et le risque
de tumeurs malignes cérébrales chez les accros du
portable (31 août 2007). Comme l'affaire
concerne des milliards de gens il n'est pas tolérable
que l'on tergiverse ! Le lobby des opérateurs a fait étouffer
la vérité au sein de l''ICNIRP,
International Commission on Non-Ionising Radiation Protection.
Septembre 2007 - Des chercheurs français ont souligné
"une tendance générale à un accroissement
du risque de gliomes (tumeurs cérébrales) au sein
du groupe des gros utilisateur de téléphones mobiles
: utilisateurs de longue date, utilisateurs intensifs et utilisateurs
du plus grand nombre de portables". Leurs travaux, publiés
en septembre dernier dans la Revue d'épidémiologie
et de santé publique, s'inscrivent dans le cadre d'Interphone,
le programme sur les risques liés à l'utilisation
du téléphone mobile que l'Organisation mondiale
de la Santé (OMS) a lancé en 2000. Elle est enfin
publiée en juin 2011 et confirme le risque de cancer, confortant
les résultats de plusieurs études suédoises,
qu'évoquait Le Monde dans son édition du
2 octobre 2007. A savoir que l'usage d'un téléphone
mobile pendant dix ans et plus entraîne un "risque
accru" de développer des tumeurs cérébrales
(gliomes et méningiomes) et acoustiques. L’ensemble
des résultats promis pour fin 2003 sera-t-il publié
un jour ?
Le scandale de la dissimulation.
On attendait depuis longtemps la publication des résultats
de l'étude Interphone sur les risques des téléphones
portables, mais pas des antennes relais de la téléphonie
mobile qui elles, ne font l'objet d'aucune étude.
A partir du moment où on élimine de l'étude
Interphone les deux principales tumeurs dont l'augmentation est
significative, le lobby des télécoms, les institutions
sanitaires françaises et la presse, peuvent affirmer tous
en coeur qu'on ne trouve rien de nocif pour votre santé.
Donc déjà l'étude est faussée dès
le départ. L'étude n'a été réalisée
que sur les personnes de la tranche d'âge des 30 à
60 ans. Les jeunes génération gros consommateurs
de moyens sans fil ne sont pas pris en compte.
Sauf que depuis fin 2009, les tableaux ci-dessous avaient déjà
été dévoilés sur les liens 159 et
168 du site
de Marc Filterman.
Nombre de cas |
Types de tumeur |
Taux chez les utilisateurs |
2.708 |
gliome |
multiplié par 2 |
2.409 |
méningiome |
multiplié par 1,3 |
1.000 |
neurinome de l'acoustique |
multiplié par 4 |
0.600 |
glande parotide (ou salivaire) |
multiplié par 3
(chez les gros utilisateurs, étude israélienne) |
(hors étude interphone) |
cancer de la prostate |
multiplié par 4
(port du mobile à la ceinture) |
Avi Zini, Hadassah du School of Dental Medicine avait déclaré
que "Entre 1980 et 2002, le nombre de cancers salivaires
est resté stable à 25 par an. Ce chiffre est passé
à 75 lors des 5 années suivantes". Chaque patiente
était âgée de moins 20 ans à partir
de la 5 ième année.
De 1980 à 2006 : Une étude a été faite
sur la parotide par une association dentaire israélienne.
Conclusion : à partir de 2002, le cancer de la parotide
a donc été multiplié par 3
Voilà une petite partie des résultats qui ont été
dissimulés. De plus, sont considérés comme
de gros utilisateurs ceux qui utilisent leur téléphone
portable plus d'une heure par jour pendant 5 ans ou plus de 30
minutes par jour pendant 10 ans. Tout le monde comprendra que
la marge de manœuvre est faible.
L'étude Interphone ne concerne que les utilisateurs de
téléphone portable, mais pas du tout les personnes
exposées aux antennes relais de la téléphonie
mobile. En réalité aucune étude n'a été
faite par rapport aux antennes, alors que nous constatons sur
le terrain des augmentations des cancers et leucémies.
Vous pouvez donc continuer à être malade ou à
décéder en toute tranquillité sans que cela
n'inquiète les autorités sanitaires et encore moins
la conscience de nos experts officiels. Le système de santé
français est quand même merveilleux, surtout quand
il prend beaucoup plus soin de la santé de nos industriels,
au détriment de celle de la population.
Adonis
(COMOBIO +) Analyse dosimétrique des systèmes
de téléphonie mobile de troisième génération
Les résultats de l'étude d'Adonis
sur l'exposition aux ondes radiofréquences et relative
au débit d'absorption acceptable par l'utilisateur n'ont
pas, semble-t-il, été publiés. Toutefois
un certain nombre de résultats ont été publiés.
Parmi les principaux résultats : des gliomes et méningiomes
apparus chez des utilisateurs de portables alors qu'il y a moins
de 10 ans qu'ils sont répandus en Europe.
"L’hypothèse d’un accroissement des risques
de cette pathologie au-delà de 10 ans d’utilisation
semble donc aujourd’hui se confirmer et nous oblige à
nous interroger sur les risques à plus long terme. Qu’en
sera-t-il après 15 ans, 20 ans d’utilisation ? Si
les jeunes utilisent massivement le portable à partir de
13-14 ans, à 35 ans, ils auront déjà 20 années
d’exposition !"
Avis de tumeurs sur les téléphones portables
(Destination Santé - 10 décembre 2007)
Ouverture de la barrière hémato-encéphalique
par les irradiations micro-ondes. Aux vus de ces nouveaux
"éclairages", un scandale de plus se
précise-t-il ? Celui-ci risque d'avoir de très
lourdes conséquences sanitaires pour les enfants,
l'Education Nationale, et l'avenir de l'humanité.
COMOBIO
Septembre 2006 :
dossier AFSSET*, encore plus hallucinant !
* Agence Française de Sécurité
Sanitaire et du Travail L'AFSSET
recommande de réduire les expositions. Le rapport
de l’Afsset met en évidence l’existence
d’effets des radiofréquences sur des fonctions
cellulaires, rapportés par une dizaine d’études
expérimentales considérées par l’Afsset
comme incontestables... Le lien est donc établi
!!!
(Autorité Gouvernementale de Santé
de France ayant en charge la Téléphonie
Mobile)
- LES
SACRIFIÉS DES ONDES ÉLECTROMAGNÉTIQUES
-
(Vidéo soulevant un problème important avec
l'utilisation intense des téléphones portables)
|
PORTABLES EN ACCUSATION
Les autorités américaines ont financé pendant
des années des recherches sur les effets des ondes électromagnétiques
pour sécuriser les téléphones portables utilisés
par les militaires. Quand le scientifique américain George
Carlo révèle le résultat de ses recherches
sur les effets néfastes des ondes électromagnétiques
émises par les téléphones portables sur le
corps humain, les réactions ne se font pas attendre. L'industrie,
qui avait accordé 28 millions de dollars à son laboratoire,
lui a coupé les crédits. Incidemment,
sa maison fut complètement incendiée. Le professeur
Carlo préfèrerait oublier ce cauchemard, jusqu'à
ce qu'une victime atteinte d'une tumeur au cerveau gagne son procès
contre les industriels... Reprenant ses travaux, il cherche alors
un moyen pour annuler cet effet nocif, mais la technologie est
plutôt encombrante. Il a été alors mis au
point une micro-puce qui annule l'effet nocif, l'EMX
(à intégrer dans le portable), et cette invention
a connu le succès le 16 juin 2005 en recevant un prix aux
USA, mais on ne peut que regretter qu'il faille attendre le second
trimestre 2006 (selon le conférencier) pour que les opérateurs
commencent à sécuriser les téléphones
portables. Affaire à suivre.
Documentaire réalisé par Klaus SCHEIDSTEGER, diffusé
jeudi 18 mai 2006 à 23h sur France 2
On prend les gens pour des cobayes...
Pour
l'OMS,
"l'état des connaissances actuelles présente
des lacunes qui doivent être comblées pour permettre
une meilleure évaluation des risques sanitaires. Il s'écoulera
des années avant que les recherches nécessaires
sur les radiofréquences soient menées à terme
pour être évaluées et que les résultats
finals soient publiés."
Le Projet
international CEM, dont l'objectif est d'évaluer les
effets de l'exposition aux champs électriques et magnétiques
compris dans les fréquences de 0 à 300 GHz sur la
santé et sur l'environnement, n'a pas abouti à des
conclusions valables. (cf. Publications
du CEM)
« Le projet CEM était corrompu dès le départ,
estime Andrew Marino, professeur de biologie cellulaire au Centre
des sciences de la santé de l’université de
Louisiane (Etats-Unis). Michael
Repacholi était connu depuis plus de six ans comme consultant
rémunéré et porte-voix des compagnies responsables
de générer de la pollution électromagnétique.
»
Le discours rassurant de l'OMS sur les risques liés à
l'utilisation des téléphones portables est bousculé
par une nouvelle étude israélienne, partiellement
financée d'ailleurs par l'organisation onusienne. 2011,
finalement, l'OMS émet un avis, confirmant le risque de
cancer.
Les radiations émises par les appareils augmenteraient
clairement les risques de cancer des glandes parotides, situées
près de l'oreille.
Le Dr Sigal Sadetski et ses collègues du Centre médical
Tel Hashomer de Tel Aviv (Israël) se sont penchés
sur 402 tumeurs bénignes de la glande parotide, et 58 tumeurs
malignes diagnostiquées chez des adultes israéliens.
Interrogés sur leurs habitudes téléphoniques,
ils ont vu leurs résultats comparés à ceux
de personnes en bonne santé. Sans ambigüité
aucune, ils relèvent « un lien de cause à
effet entre l'utilisation des portables et le développement
de tumeurs des glandes parotides ». Et plus l'usage du téléphone
est prolongé, plus le danger paraît important. «
Le risque est (ainsi) augmenté de 50% chez les personnes
qui utilisent leur portable pendant plus de 22 heures par mois
». Autre point d'importance, l'exposition est plus dangereuse
en milieu rural (où les émetteurs sont plus puissants)
qu'en milieu urbain.
C'est un pas important qui vient d'être franchi. Car jusqu'à
ce jour, les conclusions sur les éventuels dangers des
champs électromagnétiques étaient contradictoires.
Plus de 600 études ont en effet déjà été
réalisées sur le sujet, dont la majorité
financée par les opérateurs eux-mêmes ! Pour
le Dr Sadetzki, « nous devons à la fois inciter les
gens à utiliser plus systématiquement les kits main-libres,
et ré-évaluer les normes en matière de téléphonie
mobile. Une nouvelle technologie devrait rapidement être
mise au point afin de réduire les risques de tumeurs liées
aux radiations ».
-- Source : American Journal of Epidemiology, 6 décembre
2007 --
PRECAUTIONS A PRENDRE
Tous les gens concernés
par l'existence même des risques
potentiels doivent prendre des précautions
pour s'en protéger.
Dorénavant, tout téléphone est fourni
dans un coffret avec un kit main libre (oreillettes) qu'il
faut brancher à votre mobile pour ne pas rapprocher
l'appareil de votre tête en téléphonant.
En veille, évitez aussi de le porter toujours à
la ceinture.
Le
débit d'absorbtion spécifique (DAS) exprimé
en W/kg quantifie le niveau d'exposition aux ondes électromagnétiques
et permet de vérifier la conformité des
mobiles à la réglementation française
et européenne. Donc, les gens qui sont concernés
peuvent choisir les nouveaux téléphones
en fonction du DAS de l'appareil puisque cette valeur
indique le niveau maximum d'exposition aux radio-fréquences
mentionné par le constructeur, le seuil d'exposition
maximum étant de 2W/kg.
Veillez donc à ce que le DAS, débit d'absorption
spécifique, soit inférieur à 2W/kg
(normes imposées par la communauté européenne).
Il semble enfin qu'avec la technologie UMTS, comparée
à la technologie GSM, une nette amélioration
dans les effets sur la santé a été
constatée. Mais, pour les gens réfractaires
aux oreillettes, il y a aussi en vente des sortes de para-ondes
(à partir de 29 €) ; la plaquette "Life
Maxx" (27 €) ; Le patch WPROTECT
(22,50 €) ; la micropuce Green
8 (entre $15,000 et $20,000 US)...
A) POUR LES UTILISATEURS DE TELEPHONES PORTABLES
- Utiliser les téléphones portables avec
modération.
- Éviter de les utiliser dans les zones où
les communications sont difficiles, car dans ces conditions
ils émettent à pleine puissance.
- Utiliser l'oreillette qui
permet de tenir le téléphone éloigné
du cerveau.
- Pour les utilisations en voiture, acheter et utiliser
un kit main libre.
- Éviter de porter à la ceinture ou dans
la poche un téléphone portable en veille,
car les ondes qu'il émet pénètrent
les organes qui sont proches.
- En raison de leur sensibilité plus importante,
les enfants devraient éviter
d'utiliser les téléphones portables.
- Les micro-ondes peuvent affecter le fonctionnement d'appareils
électroniques. Pour cette raison les téléphones
portables sont interdits dans dans les avions et les milieux
hospitaliers du fait du risque de perturbation des appareils
électroniques. Les stimulateurs cardiaques peuvent
être perturbés également. Une distance
de sécurité de 20 cm est recommandée
aux porteurs de pacemaker. C'est exactement la distance
de rayonnement dangereux tout autour de l'émetteur.
B) PAR RAPPORT AUX STATIONS-RELAIS
Pour les habitations, la distance
de sécurité qui permet de ne pas
dépasser une exposition moyenne de 0,1 µW/cm²
(microwatts par cm²), soit 0,6 V/m correspond à
environ une distance de 200 mètres
des stations (antennes-relais). Mais, selon la différence
de hauteur entre les antennes et les habitations, les
expositions peuvent être très variables.
Moyens de protection :
Pour les habitations proches des antennes-relais, des
écrans spécifiques permettent de diminuer
les expositions aux champs électromagnétiques.
C'est surtout aux fenêtres que des protections peuvent
être nécessaires parce que les ondes sont
très peu atténuées en les traversant,
alors qu'elles sont atténuées d'environ
90 % par les murs. Il existe des tissus écrans
avec lesquels on peut faire des rideaux. D'autres écrans
sous différentes formes peuvent être posés
sur les murs ou sous la toiture. Ils comportent un maillage
de fils métalliques très fins.
|
En 2007, on évalue à environ
53 millions le nombre d'utilisateurs en France. L'affaire fait
des vagues et une vaste enquête épidémiologique
internationale baptisée
Interphone est en cours. Mais les dangers sur la
santé des émissions de type électro-magnétique
concernent le téléphone portable comme le téléphone
à base fixe "DECT" et les émissions UMTS-Wifi-Wimax-Bluetooth
dont l'effet cumulatif est donc à redouter...et le
Parlement européen s’en inquiète (22 septembre
2008)... Enfin, en 2009 :
Les fréquences radioélectriques appartiennent au
domaine public de l'État. Celui-ci a confié à
l'Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques
des missions de planification, de gestion de l’implantation
des émetteurs, de contrôle et enfin de délivrance
de certaines autorisations et certificats radio (ANFR).
Risques potentiels
"Les opérateurs avouent qu'il existe un risque avec
les téléphones portables et recommandent d'utiliser
l'oreillette, mais qu'il n'en existe aucun avec les antennes-relais
alors que les deux sont liés par le phénomène
des ondes électromagnétiques qui ont un impact sur
le vivant, quelque soit l'émetteur ou le récepteur.
La nocivité des ondes émises a été
reconnue officiellement :
- L’OMS et le Centre international de recherche sur le cancer
(CIRC) ont établi un avis.
En juin 2001, le CIRC a procédé à une évaluation
formelle des preuves de cancérogénicité en
cas d’exposition à des champs statiques et à
des champs de fréquence extrêmement basse (FEB).
Il a estimé que les études épidémiologiques
sur des cas pédiatriques de leucémie avaient apporté
des preuves suffisantes pour qu’il puisse classer les champs
magnétiques d’extrêmement basse fréquence
comme pouvant être cancérogènes pour l’Homme.
Le CIRC a publié les résultats de cette analyse
en 2002 dans la Série de monographies du CIRC. Un aide-mémoire
sur ces résultats a été publié par
l’OMS en octobre 2001 ( Aide-memoire OMS, 2001) La monographie
EHC sur les champs statiques et les champs basse fréquence
devait être achevée en 2004. Le CIRC commencera à
recenser et à classer les champs de radiofréquence
une fois qu’aura été achevée et publiée
son étude épidémiologique multinationale
pour déterminer si l’utilisation de téléphones
portables peut avoir des effets indésirables au niveau
de la tête et du cou. La date prévue était
2005. La préparation de la monographie EHC sur les champs
RF débutera aussitôt après. La monographie
EHC sur les champs RF devrait être prête en 2007.
- En janvier 2005, par le professeur Sir William Stewart, expert
conseil officiel du gouvernement britanique qui a déconseillé
l'usage des portables aux moins de 14 ans et il est demandé
que les antennes-relais ne soient pas installées à
proximité des groupes scolaires.
- en février 2005, par l'IDEA, association des médecins
irlandais de l'environnement, avec le Docteur Michael Maier qui
a notamment déclaré : nous pensons que la preuve
est aujourd'hui écrasante.
Selon des sources scientifiques indépendantes et les
résultats d'enquêtes sanitaires, on peut affirmer
que le coefficient majeur de nocivité réside dans
les pulsations.
Antennes-relais
Causes de nocivité
Les causes de nocivité pour le vivant, exposées
par les publications des scientifiques indépendants internationaux,
résident dans la structure physique des émissions.
- Les bandes d'hyperfréquences utilisées, dites
porteuses, comportent une toxicité de base. Et pour cette
raison, elles ont été abandonnées par l'armée
; ce qui les a rendues disponibles pour des applications civiles.
- Les émissions comportent des fréquences de récurrence
en très basses fréquences, toxiques en raison notamment
de leur résonance avec les rythmes cervicaux répertoriés
sur les électro-encé phalogrammes. Ceci est mentionné
dans le rapport de l'Afsse (Agence française de sécurité
sanitaire environnementale devenue ANSES).
- Le coefficient majeur de toxicité réside dans
les pulsations. Depuis trois milliards et demi d'années,
les êtres vivants fonctionnent en résonance avec
des émissions électromagnétiques naturelles
dont la structure est régulière et continue. Tout
vivant est une composition d'ordres de divers niveaux. Ce qu'apportent
les pulsations est le désordre ; un désordre total
! Il suffit à désorganiser non seulement les fonctionnements
physiologiques mais même les structures moléculaires.
Pathologies résultantes
De ces agressions biologiques il résulte des perturbations
physiologiques primaires. Les principales perturbations constatées
sont :
- Perte d'étanchéité de la barrière
entre sang et cerveau. Résultat: des produits toxiques
pour les tissus du cerveau y pénètrent. (Travaux
de Frey - Salford - Winters - Tuddenham - Hyland).
- Diminution de production de la mélatonine, hormone
du cerveau produite par l'épiphyse qui régule, entre
autres, quelques rythmes physiologiques primaires dont le sommeil
ainsi que le taux de radicaux libres, actifs dans le blocage du
démarrage des processus cancéreux. Résultat:
perturbations physiologiques diverses suite aux troubles du sommeil,
fragilité accrue aux démarrages des cancers. (Travaux
de Stevens - Cherry - Henshaw).
- Perturbations des régulations membranaires des cellules.
Résultat : perturbation des processus physiologiques au
niveau élémentaire des cellules, notamment ceux
de la respiration et de la nutrition. Une cinquantaine de travaux
ont traité des perturbations membranaires des cellules
vivantes dont les régulations par les ions calcium sont
désorganisées par exposition à certains champs
électromagnétiques, notamment dans diverses fenêtres
d'extrêmement basses fréquences où ils sont
toxiques, en particulier pour le 16 Hertz. Expériences
menées soit avec des très basses fréquences
seules, soit combinées avec des hyperfréquences
dont elles sont les pulsations. (Travaux de Adey-Blackman - Sadcikova
- Zaret - Pilla - Uboff - Uburdy).
- Dommages génétiques. Ils résultent
de ruptures de fragments d'ADN assez importantes pour que les
processus naturels d'autoréparation ne soient plus opérants.
Résultat: les dommages génétiques sont multipliés
au même rythme que les cellules endommagées. (Travaux
de Garaj Vrhovac - Szmigielski - Lai et Singh - Phillips -Tice
et Hook).
Ces perturbations sont l'origine de pathologies de premier niveau
répertoriées médicalement comme syndrome
des micro-ondes, réparties comme suit :
- un syndrome asthénique : céphalées, nausées,
anorexie, dépression, irritabilité.
-un syndrome diencéphalique : troubles du sommeil, vertiges
et chutes, troubles sensoriels, pertes de concentration.
- un syndrome dystonique : perturbations de fréquence cardiaque
et de tension artérielle.
- des modifications sanguines : multiplication de lymphocytes.
- des troubles dermatologiques : eczéma, psoriasis, purpura,
allergies cutanées.
- des perturbations de l'électroencéphalogramme.
- des atteintes aux organes des sens : appareils optique, auditif,
olfactif.
Dans certains cas, il y a évolution vers des pathologies
lourdes :
- cancers du cerveau,
- cancers des liquides : leucémie, lymphome,
- cancers du système endocrinien, surtout la thyroïde,
- maladies auto-immunes,
- épilepsie : démarrage ou réactivation,
- interruptions de grossesse et malformations.
Dans les cas d'évolution vers des pathologies lourdes,
l'altération organique se développe dans une progression
chronologique dont l'ordre est le suivant : d'abord le système
nerveux central, ensuite le système endocrinien, enfin
le système immunitaire. Le risque éventuel de tumeurs
cérébrales n'est pas totalement exclu.
(Article d'une association de défense des usagers, Robin
des Toits)
PROPOSITION
DE LOI relative à la sobriété, à
la transparence, à l’information et à la concertation
en matière d’exposition aux ondes électromagnétiques.
Loi
du 29 janvier 2015... Vote
de la loi sur l’exposition du public aux ondes
La proposition de loi relative à la sobriété,
à la transparence, à l'information et à la
concertation en matière d'exposition aux ondes électromagnétiques,
introduite par Mme Laurence Abeille, députée du
Val-de-Marne, a définitivement été adoptée
par l'Assemblée nationale le 29 janvier 2015. La loi confie
à l’Agence
nationale des fréquences de nouvelles missions et renforce
ses missions actuelles.
Retour texte _________________________________________________
Tout sur la 5 G =>
L'autre solution ?
Une micropuce de lutte contre le rayonnement
de téléphonie mobile aurait été mise
au point en 2001: microchip-fight-mobile-phone-radiation
(l'info a disparu du web depuis, sauf ici,
in english)
Une société américaine prétendait
avoir développé une technologie qui réduit
le potentiel de risques sanitaires liés à l'utilisation
de téléphones portables : EXM. Elle prétendait
que sa minuscule puce électronique, appelée EMF
(micropuce à champs électromagnétiques biologiques),
peut protéger les cellules du corps d'utilisateurs de téléphones
mobiles contre les champs électromagnétiques émis
lorsque la micropuce est insérée dans les batteries
de l'appareil. "La micropuce d'EMF irradie une impulsion
électrique aléatoire ou «bruit» moins
puissant que le signal électromagnétique émis
par les téléphones portables et réduit ainsi
leur potentiel de nocivité. La première livraison
de batteries qui incluent ces puces seront disponibles en mars
2001. Ces batteries seront fournies à la gamme de téléphones
5100, 6100 et 7100 de Nokia."
EMX-100C
(le fichier a disparu du Web mais il y a "Green
8" qui coûte entre $15,000 et $20,000 US!)
"Peut-être pour la première fois dans notre
histoire, nous avons la possibilité d'utiliser la technologie
capable de neutraliser certains de ces effets négatifs»,
avait déclaré Thomas Magnussen, fondateur et chef
de l'EMX. Cinq universités en Europe, au Canada et aux
États-Unis ont testé la protection de la bio-technologie
de l'EMF et les résultats ont été publiés
dans des revues scientifiques, y compris Bioelectrochemistry et
Bioenergetics. Du bluff, tout cela ???
Cela ressemble à un canular : personne n'en a entendu
parler !
Pareil avec le WI-FI, le Bluetooth ???
Theodor Litovitz, professeur émérite au Catholic
University of America à Washington, D.C. a découvert
que les micro-ondes diminuent la capacité des cellules
à produire les substances naturelles qui éliminent
les déchets toxiques produits par le corps, ce qui se traduit
par une forme de vieillissement prématuré associé
aux maladies neuro-dégénératives, dont l'Alzheimer.
Je rappelle que le Bluetooth, et
le Wi-Fi norme IEEE-802.11 fonctionnent
sur les mêmes fréquences que les fours à micro-ondes,
c'est à dire en 2450 MHz, fréquence qui correspond
à fréquence de résonance de l'eau, qui compose
notre corps à 80 %. Quant à l'ADN, il est 400 fois
plus sensible que l'eau, au point où même des chercheurs
ont eu l'idée de l'utiliser comme conducteur dans les puces
des circuits intégrés.
Aujourd'hui, le vieillissement cellulaire prématuré
causé par ces micro-ondes reste un sujet tabou, alors qu'il
est connu depuis longtemps à la suite d'études faites
pour l'armée américaine. On ne fait que redécouvrir
ce qu'on sait en réalité depuis des dizaines d'année,
mais à France Télécom, Bouygues Télécoms,
SFR, Motorola, Nokia, et tous les autres, on fait en sorte qu'aucune
recherche militaire sur les micro-ondes ne soient prise en compte
dans les rapports, au motif que la téléphonie mobile
n'existait pas à l'époque. Sauf que, comme le rappelait
lors d'une conférence le Colonel Bouillet, un ancien de
Bouygues à la retraite aujourd'hui, une onde est une onde,
qu'elle soit basse ou haute, il n'y a pas de différence.
Dès les années 70 les anomalies biologiques étaient
mises en évidence à la suite des expositions de
la population aux radars en onde pulsée de l'US Air Force,
qui avait en plus fréquence de récurrence autour
de 16 ou 18 hertz. La distance de sécurité pour
ces radars peut atteindre 600 mètres pour certains. D'autres
études ont été faites sur les GSM pour le
compte de l'US Army...
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