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Notre système politique. Qu'en penser ?

Il a contribué à ruiner la France

Dès 2007, Sarkozy a commencé à abuser du pouvoir. Alors qu'il bénéficie de tous les avantages d'un chef d'Etat (aucun frais à sa charge), que le budget alloué au palais de l'Elysée a doublé, le Président Sarko s'offre le luxe de tripler ses revenus, et de commander 3 supersonniques pour ses déplacements bien que les finances de la France soient catastrophiques, et on a vu les députés s'offrir un parachute en or ! Nos seigneurs députés de tous les partis se sont fait un joli cadeau : une décision unanime, prise en catimini par le bureau de l'Assemblée, permettant à tous les députés non-réélus, de continuer à percevoir leur indemnité parlementaire pendant encore 60 mois, au lieu de 6. Source

Il ment comme il respire, c'est pour cela qu'on l'appelle Pinocchio, la marionnette de Pepetto dont le nez s'allonge à chaque mensonge. Pour financer les "opérations militaires" en Afghanistan, en Libye, en Côte d'Ivoire, les centaines de milliers de radars de la police, les millions de vaccins antigrippaux et les voyages du chef d'Etat, le gouvernement ne compte pas. Mais pour les hôpitaux, l'éducation, la recherche, la santé, il se fait tirer l'oreille. D’ailleurs, l’armée nous coûte les yeux de la tête et on ne voit pas du tout l'intérêt d’une intervention armée en Afghanistan, où il y a eu près de 60 morts parmi nos militaires (sans compter les blessés) et on ne compte pas les victimes civiles !
Bilan de 5 ans de Sarkosie Il y a eu l'affaire Woerth-Bettencourt, l'odieuse affaire Tapie, et tout le reste qu'on nous cache. Plus grave encore, pour faire taire les journalistes qui ont des dossiers et enregistrements accablants, le pouvoir utilise des méthodes dignes de la Gestapo (écoutes téléphoniques illicites, cambriolages pour voler les disques durs des journalistes). L'avocat de Françoise Bettencourt-Meyers dénonce des "interventions du pouvoir sur la justice" après le vol des ordinateurs de plusieurs journalistes enquêtant sur l'affaire Woerth/Bettencourt.

Espionnage de journalistes : "Chaque jour apporte son lot de révélations sur la manière dont le pouvoir exécutif tente visiblement d'entraver le travail d'investigation des journalistes", le PS veut une "commission d'enquête parlementaire". L'attentat de karachi révèle une affaire qui empoisonne le Président Sarkozy...

Pour faire diversion pendant qu'il est au plus bas dans les sondages, Nicolas Sarkozy se lance dans une intervention militaire en Libye, contre celui qu'il a reçu en toute pompe il n'y a pas longtemps : Kadhafi. A-t-il été déçu par le dictateur Lybien qui n'a pas voulu conclure de contrat mal ficelé ?
Cela semble plutôt un complot ourdit avec l'OTAN, et les bombardements sont une drôle de méthode pour protéger les Libyens. Le chaos qui en résulte après coup en est la preuve !
La propagande ne peut convaincre les moins naïfs...
C'est comme dans l'affaire DSK, on nous prend pour qui ?

Les liens secrets de Sarkozy, l’Américain

L'affaire DSK est dans la main du procureur Cyrus Vance Jr, mais son père est Cyrus Vance, qui fut ministre sous le président Carter de 1977 à 1980. Et qui était son collègue ? Franck Georges Wisner !
Franck Georges WISNER est membre du conseil du ROCKEFELLER BROTHERS FUND, il travaille pour la CIA, et est le fils de Frank WISNER (1909-1965), qui fut le directeur du bureau de coordination politique des opérations spéciales de la CIA, et fut à l’origine de la création du groupe BILDERBERG.
En 1977, Pal Sarkozy se sépare de sa seconde épouse, Christine de Ganay, laquelle se lie alors avec le n°2 de l’administration centrale du département d’État des États-Unis. Elle l’épouse et s’installe avec lui en Amérique. Son mari n’est autre que Frank Wisner Jr., fils du précédent. Les fonctions de Junior à la CIA ne sont pas connues, mais il clair qu’il y joue un rôle important. Nicolas Sarkozy, qui reste proche de sa belle-mère, de son demi-frère et de sa demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des programmes de formation du département d’État.
Ce patron de la CIA est l’homme qui a épousé Christine de Ganay en 1977, la seconde femme de… Pal Sarkozy ! Elle est la belle-mère de Nicolas Sarkozy ! Celui-ci continuait de lui rendre visite aux Etats-Unis. Le couple Wisner-Ganay a eu plusieurs enfants, dont David Wisner, porte-parole et correspondant de la campagne présidentielle de Sarkozy aux Etats-Unis. C'est pour cela que son ami G. W. BUSH l'a invité après son élection pour fêter cela... il est leur meilleur allié et agent secret. On l'appelle Sarkozy l'Américain. Le dessin de Plantu était sans équivoque.
Un autre fils de Frank Georges Wisner est devenu un des piliers du Carlyle Group, fonds de placement comptant parmi ses investisseurs George W. BUSH, Olivier SARKOZY (demi-frère de Nicolas Sarkozy et co-directeur des services financiers globaux du groupe depuis 2008).
DSK était le leader le mieux armé pour représenter la gauche socialiste aux présidentielles de 2012 dans les sondages.
Oui, c’est un coup monté, ça arrange bien Sarkozy pour les présidentielles de 2012 !!! On n'en a pas fini avec ses manigances !
Le terrorisme, c'est bien uitle pour polariser la campagne sur ce thème qui lui permet de renforcer les mesures de contrôle de la population et le faire remonter dans les sondages... le coup monté a semble-t-il réussi en ce mois de mars, avec le jeune terroriste de Toulouse !

L’un des fils de Frank Georges Wisner, David Wisner (né en 1981) fut le porte-parole, pour les medias anglo-saxons, de la campagne présidentielle 2007 de Nicolas Sarkozy qui séjourne souvent chez les WISNER aux USA.

Le président de la République qui a réuni mercredi 8 février 2012 le comité de politique nucléaire, a décidé de demander à tous les opérateurs (AREVA, EDF, COMEGA) de se mettre en situation de pouvoir prolonger la durée de vie de nos réacteurs et centrales nucléaires au delà de 40 ans.

"Cela veut dire de procéder à tous les efforts de maintenance, de recherche des plus hauts standards de sécurité et de sûreté, pour faire en sorte que ce parc puisse être prolongé", a ajouté M. Besson.

"La décision est prise", a insisté le ministre. "Cela ne veut pas dire que cela se fera mécaniquement puisque c'est ensuite l'autorité de sûreté nucléaire" qui doit prendre in fine la décision, a-t-il toutefois précisé.

Une commission d'experts mettra en garde contre les conséquences d'une réduction de la part du nucléaire et prôner la prolongation du parc nucléaire français, dans un rapport sur les scénarios énergétiques à l'horizon 2050. Parmi les quatre options passées au crible figure une prolongation de la durée de vie des centrales actuelles au-delà de 40 ans.

Par ailleurs, la France doit se doter "d'un réacteur de moyenne gamme", c'est-à-dire "1.000 mégawatts", que "nous allons développer en partie avec les Japonais (l'Atmea) et en partie avec les Chinois", a estimé le ministre.

Le chef de l'Etat souhaite également que soit réalisée "une étude de faisabilité sur la possibilité de lancer des réacteurs de faible puissance, c'est-à-dire autour de 300 à 400 mégawatts".

Puis rejetant toute idée d'un retrait progressif du nucléaire, proposé par le Parti socialiste, il a estimé que "ce serait un gâchis d'arrêter nos réacteurs à 40 ans".

Les autres scenarii provoqueraient "des conséquences inéluctables", selon M. Besson, comme "l'augmentation du prix de l'électricité" et une "destruction d'emplois", "150.000" directs, de "300.000 à 400.000" indirects, sans compter les "2 millions d'emplois" industriels "potentiels" qui, selon le ministre, "peuvent être impactés". C'est ce qu'a indiqué M. Besson sur Europe 1

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