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PANDÉMIE covid-19

Évolution du nombre de personnes nouvellement hospitalisées et admises en réanimation :

On peut se demander s'il n'y a pas une manipulation des esprits, du jamais vu ! (Suite)

Le SIDA

le sida dans le monde

Le sida est la plus grande catastrophe de santé publique que le monde ait jamais connue. Une catastrophe qui a touché tous les continents très inégalement. Malgré la lutte des ONG, le SIDA continue à faire des ravages à travers le monde : une nouvelle contamination toutes les sept secondes, un décès lié au SIDA toutes les dix secondes.

Fin 2011, on estimait à environ 34 millions le nombre de personnes vivant avec le VIH dans le monde, soit une hausse de 17 % par rapport à 2001. Cela reflète un nombre important et continu de nouvelles infections à VIH et une expansion significative de l’accès au traitement antirétroviral, qui a contribué à réduire les décès liés au sida, notamment au cours des dernières années. cf. ONUSIDA, rapport 2011

Le nombre de personnes décédées de causes liées au sida a chuté à 1,8 million en 2010, contre un pic de 2,2 millions au milieu des années 2000. Au total, 2,5 millions de décès ont été évités dans les pays à revenu faible et intermédiaire depuis 1995 grâce à l’introduction de la thérapie antirétrovirale, selon les derniers calculs de l’ONUSIDA. Une grande partie de ce succès a été enregistrée ces deux dernières années grâce à l’amélioration rapide de l’accès aux traitements. Durant la seule année 2010, 700 000 décès liés au sida ont pu être évités.

Le 9 juin 2011, Michel Sidibé, Directeur Exécutif ONUSIDA, le Président Bill Clinton, Ban Ki-moon, Secrétaire Général des Nations Unies, Goodluck Jonathan, Président of Nigeria, Dr Eric Goosby, Ambassadeur Américain Global AIDS, Anthony Lake, Directeur Exécutif UNICEF, étaient réunis aux quartiers généraux des Nations Unies, New-York, durant le lancement du Plan Mondial pour éliminer les nouvelles infections au VIH chez les enfants et le maintien en vie de leurs mères.

sida 2007

graphiqueEn 2007, il y aurait eu plus de 33 millions de séropositifs dans le monde, selon ONUSIDA, site en français : www.unaids.org/fr/

Mais une autre source dit qu'avec 9,7 millions de porteurs du VIH, on est encore très loin de maîtriser l'expansion du SIDA... malgré quelques progrès.

En Août 2008, à la 17e Conférence mondiale sur le SIDA, on a parlé de stabilisation de la pandémie. Après un palier à 40 millions, le nombre descend et se stabilise à 33 millions de séropositifs dans le monde ... www.aides.org

En 2007, 130 000 personnes séropositives, et 1500 décès en France (cf. graphique).
Les femmes africaines, de Guyane ou des Antilles, qui émigrent en France pour se faire soigner sont en assez grand nombre.

En 2006, c'était 39,5 millions de personnes infectées par le VIH dans le monde et 2,9 millions de décès en 2006, selon les chiffres d'ONU-SIDA. "Aucun signe de déclin" de l'épidémie dans le Tiers-Monde. Comment cela est-il comptabilisé dans ces pays du Tiers-Monde ?

- En 2005, il y aurait eu 40,3 millions de personnes infectées par le virus du SIDA, dont 95% dans les Pays pauvres (1 million seulement ont accès aux soins en Afrique sub-saharienne).

- En 2004 : 40 millions de personnes infectées, 8 000 morts par jour, selon les chiffes d'ONU-SIDA. La courbe de l'évolution de l'épidémie ne cesse de monter dans les pays pauvres comme en Afrique sub-saharienne et explose en Asie ! Plus grave encore : dans les pays du Sud, seuls 400 000 d’entre eux, dont 140 000 au Brésil, bénéficient d’un accès aux anti-rétroviraux (ARV), alors qu’ils sont 6 millions a en avoir besoin de toute urgence (selon le 4ème rapport sur l'épidémie mondiale réalisé par les experts d'Onusida lors de la XVe conférence mondiale sur le SIDA qui s'est tenue à Bangkok en Thaïlande du 11 au 16 juillet 2004).

- En 2003, ONUSIDA déplore un bilan encore très lourd fin 2003 : il y aurait 40 millions de cas de SIDA dans le monde, dont 70 % en Afrique, le continent le plus touché, et sur 40 millions, seulement 30 000 personnes bénéficient de la tri-thérapie. Près de 5 millions de nouveaux cas, soit 14 000 personnes infectées chaque jour. Et 3 millions de décès en 2003. Le cumul serait de 26 millions de morts depuis le début. Le SIDA a réduit à 49 ans l'espérance de vie dans de nombreux pays d'Afrique (contre 62 ans au début des années 80). Il se développe en Asie de manière irrépressible, progresse en Europe orientale où il a bénéficié de la chute de l'empire soviétique. Aujourd'hui dans le monde, 38 millions de personnes sont infectées, dont 25 millions en Afrique noire. Comment interpréter ces résultats ?
. Face à cette hécatombe, la riposte est d'une lenteur coupable. Fin 2003, seulement 400 000 malades dans les pays en voie de développement bénéficiaient d'un traitement anti-sida. Les dépenses mondiales sur le sida sont passées de 300 millions de dollars en 1996 à presque 5 milliards en 2003. Il faudrait 12 milliards supplémentaires d'ici à 2005, selon les experts. Si la mobilisation internationale s'est intensifiée ces dernières années, avec notamment la création du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et la malaria, le financement de la lutte contre le sida reste un problème. Mais ce n'est pas le seul, il manque aussi dramatiquement des structures locales de santé suffisamment solides pour utiliser à bon escient l'aide financière. Comment cela est-il comptabilisé dans ces pays du Tiers-Monde ?
· L'Afrique subsaharienne, si elle n'abrite guère que 10% de la population mondiale, recense plus de deux tiers des personnes infectées. En 2003, il y aurait eu 3 millions de nouvelles contaminations et plus de 2,2 millions de décès. Le pays le plus touché est le Swaziland (38,8% de personnes contaminées), suivi du Botswana (37,3%), du Lesotho (28,9%), du Zimbabwe (24,6%), de l'Afrique du Sud (21,5%), de la Namibie (21,3%), de la Zambie (16,5%), du Malawi (14,2%) et du Mozambique (12,2%). «La pauvreté, l'instabilité sociale, le taux élevé d'autres maladies sexuellement transmissibles, le faible statut de la femme, la violence sexuelle et le manque de leadership face au sida contribuent à son expansion en Afrique australe», souligne le rapport.
· En Asie, l'épidémie de sida connaît la croissance la plus rapide du monde actuellement, même si le niveau de contamination, avec 5 millions de personnes infectées, reste nettement inférieur à celui de l'Afrique. Les porteurs du virus seraient de 7,4 millions. Chaque année, plus de 1 million de nouvelles infections d'enregistrées. Ce continent qui regroupe plus de 60% de la population mondiale est marqué par une épidémie particulièrement dynamique en Chine, en Indonésie et au Viet-Nam. La transmission du virus passe surtout par le biais de la toxicomanie intraveineuse, l'homosexualité et la prostitution, le virus s'étendant ensuite parmi les conjoints... Pourtant, des pans énormes de la population asiatique ignorent encore totalement comment le VIH se transmet et donc comment s'en protéger.
. La Chine recenserait près 840 000 personnes malades mais, selon l'Onusida, 10 millions de Chinois pourraient être infectés à l'horizon 2010 si rien de plus n'est fait. Le virus s'est propagé à toutes les provinces et le taux de prévalence parmi les drogués peut atteindre 80% dans certaines zones.
. En Inde, qui a la deuxième population infectée au monde après l'Afrique du Sud, avec 5,1 millions de personnes contaminées, un quart de la population n'aurait jamais entendu parler du sida. Les drogués du nord-est du pays, non loin de la Birmanie et du Triangle d'or, connaissent un taux d'infection pouvant atteindre 75%.
· En Europe de l'Est, en 2003, quelque 360 000 personnes ont été infectées par le virus du sida (VIH) portant à 1,3 million le nombre de personnes vivant avec le VIH en Europe de l'Est (contre 160 000 en 1995). «Fait frappant, plus de 80% d'entre elles ont moins de 30 ans, contre 30% en Europe de l'Ouest, souligne l'Onusida. Le principal moteur de l'épidémie est la consommation de drogues injectables, une activité qui s'est répandue au cours des années troublées qui ont suivi la fin du régime soviétique.» En Hongrie, République tchèque, Slovaquie et Slovénie, les rapports sexuels entre hommes sont le mode de transmission prédominant. La Russie reste l'un des pays les plus gravement touchés. De 1998 à 2002, le niveau d'infection parmi les femmes enceintes a décuplé, passant de moins de 0,01% à 0,1%. En France, le SIDA progresse : 7 000 personnes infectées en 2003
· En Amérique latine, vivent environ 2 millions de personnes atteintes par le virus du sida où l'épidémie touche surtout prostitués des deux sexes, consommateurs de drogues injectables et homosexuels. En 2003, le sida a fait 120 000 morts et contaminé 250 000 personnes en Amérique latine et aux Caraïbes. Certains pays comme le Brésil ont réussi à stabiliser l'épidémie, notamment en permettant un accès au traitement gratuit pour tous les malades.
· Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, 480 000 personnes vivent avec le VIH, et 75 000 d'entre elles ont contracté l'infection en 2003.
En 2003, le sida a tué quelque 24 000 personnes dans cette région où des mesures simples de prévention, comme la promotion du préservatif, sont pratiquement inexistantes. Par ailleurs, la condamnation des rapports sexuels entre hommes empêche la prise en compte ce risque de contamination. Le Soudan est le pays le plus touché, avec 2,3% de porteurs du virus. Au Maroc, 2,3% des professionnels du sexe seraient séropositifs.

l'épidémie du SIDA

Il y aurait eu 42 millions cas de SIDA dans le monde en 2002, et plus de 23 millions de morts depuis le début, dont 6 millions d'enfants. Le chiffre en constante évolution jusqu'en 2002 s'est stabilisé depuis. En France :

 
 
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